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Dressage de Maryaline

Dressage de Maryaline



Cela fait longtemps que je fantasme sur la soumission. Comme mon mari n’est pas porté sur le bdsm, Alain a demandé à David un ami, qu’il aimerait qu’il me prenne en main plutôt que je fasse une mauvaise rencontre sur le net. Après plusieurs discussions avec lui, nous avons convenu d’un scénario. Il serait censé de me faire chanter et m’obliger à me plier à ses désirs.
David me dit alors :
« Demain à 10 heures, tu te présenteras devant la porte de te cave. Là je te prendrais en main. »
Alain approuve cette décision et moi je baisse la tête, honteuse et obéissante. Maintenant j’ai choisi aussi cette situation donc à moi de l’assumer. A 10 heures, je me présente un peu angoissée et fébrile devant la cave où m’attend déjà David. Je le regarde timidement et honteuse et ouvre la porte de ma cave. J’en ai presque les larmes aux yeux. David s’approche de moi et me caresse gentiment la joue. Il rentre de suite dans le jeu du scénario.
« C’est simple, soit tu fais ce que je veux, soit je donne ces photos à ton mari et je les diffuse sur le net. Je ne suis pas certain qu’il apprécie. Alors qu’est-ce que tu choisi ? »
« Qu’est-ce que vous voulez de moi Monsieur ? ».
David laisse glisser sa main sur mon coup pour descendre sur un de mes seins qu’il palpe doucement.
« Pas grand-chose, juste que tu te montres très gentille. C’est toi qui décide. »
Sa main serre plus fermement mon seins et il me regarde en souriant grimacer. David se colle à moi et je sens la bosse énorme dans son pantalon. Il joue maintenant fermement et sans délicatesse avec mes seins. Il me regarde grimacer de ces asseaux douloureux. Je ferme les yeux, honteuse de me laisser faire ainsi par notre ami. Malgré la rudesse des assauts mes tétons durcissent sous la pression de ses doigts.
« Salope tu as du répondant ! Tu es donc décidée à aller jusqu’au bout ? »
« Oui David. »
Il sait désormais que je vais satisfaire le moindre de ses désirs. Brusquement, il relâche son étreinte.
« Très bien. Remontes chez toi et me retrouver ici dans quinze minutes. J’exige que tu reviennes vêtue de ta robe sexy noire. Celle que tu mets quand tu vas te faire baiser. A poil dessous ! Tu as compris salope ? »
« Oui Monsieur ! »
« Quand tu reviendras, je vais te violer par tous les trous. Je vais baiser ta bouche, t’enculer violemment et tu te laisseras faire parce que tu es là pour ça ! »
Je remonte rapidement à l’appartement sans prendre attention qu’Alain est présent. Je me mets nue et enfile la fameuse robe. Elle est très décolleté et très courte et ne cache rien de mon anatomie.
« Déjà revenue ? Tu ne l’as pas déçu au moins ? »
Je sursaute en entendant Alain. Il s’est plaqué contre moi et me fouille ma chatte trempée d’émotion tout en me palpant un sein.
« Heu non non mon chéri. Il veut juste me baiser avec cette robe. »
Il me donne une bonne claque sur les fesses en me disant :
« Alors ne le fait pas attendre. Oust ! »
Je redescends rapidement à la cave chaussée de mes bottines et juste avec cette robe sur moi. En arrivant légèrement essoufflée devant David, il me dit :
« Tu as bien obéi, on dirait. »
« Avant toute chose, que ce soit bien claire. Je vous laisse faire ce que vous voulez pendant une heure, mais….. »
Alors que je lui parle, David s’approche de moi, pose sa main sur ma cuisse et remonte en relevant ma robe jusqu’à ma chatte dans laquelle il se met à farfouiller en me regardant dans les yeux.
« Qu’est-ce que tu disais Maryaline ? Je n’ai pas bien compris petite salope ! »
« Je disais, je disais que je voulais…huuum ! »
« Tu ne disais rien du tout ! A partir de maintenant, c’est moi qui dirige. Et si je te dis que je veux ta langue dans mon trou du cul, t’as intérêt à obéir et me la fourrer dans l’anus. C’est compris ? »
Il me pince le clito de plus en plus fort en attendant ma réponse qui ne tarde pas à venir dans un grimacement.
« Oui…aiiiie ! »
« Oui qui ? »
« Haaaaa !- Oui monsieur ! »
David me regarde droit dans les yeux pour mieux m’humilier. Mais malgré la honte qui m’envahie, je ressens un profond plaisir. Brusquement, il sort sa ma main de ma chatte et porte ses doigts gluants de mon liquide intime à mon nez. Il éclate de rire en me voyant rouge de honte.
« Qu’est-ce que ça sent, salope ? »
« Je… je ne sais pas, monsieur… ??? »
« Ca sent la petite chienne en chaleur… Comme si tu ne le savais pas ! Nettoie mes doigts ! »
Docile, je me mets à lécher comme une petite chienne les doigts de David qui tout à coup me les enfonce dans ma bouche. Il savoure mon humiliation.
« Tu sais, je crois qu’on pourrait foutre autre chose dans une si belle bouche, non ? »
Je continue à sucer ses doigt comme on suce une bite. Je salive et me bruits de succion semble exciter David qui reprend :
« A ton avis, qu’est-ce qu’on pourrait mettre dans ta bouche ? »
Je continue à lui sucer les doigts ne voulant pas m’abaisser à lui répondre.
« Je vais y mettre beaucoup de choses ma petite chienne. Mais pour l’instant, embrasse-moi ! »
Perturbée, j’ai un moment d’hésitation.
« Tu n’as pas compris ce que je t’ai demandé ? J’veux qu’tu’m roules une pelle comme une salope que tu es ! »
Il me pince le téton et en poussant un petit cri de douleur, je l’embrasse fougueusement en me collant à lui. Pendant que l’embrasse, David me pelote les fesses et un doigt s’insinue entre mes globes pour venir titiller ma rosette.
« Doucement s’il vous plait ! »
« Non mais où te crois-tu salope ! T’es ici pour mon plaisir. Tu n’es qu’un objet sexuel point ! Tu oublie ton accord avec Alain ? A genoux et suces-moi ! »
Je m’agenouille et commence à déscendre la braguette pour sortir son chibre.
« Non, pétase ! Pas avec tes doigts ! Baisse la braguette avec ta bouche ! »
Ses mots crus et mon humiliation, même consentie, me fond venir les larmes aux yeux. En tentant de prendre la braguette entre les dents, je sens la bite palpitante et en érection compressé par le pantalon. Lorsque je réussie à ouvrir la braguette, sa bite jaillie comme un diable de sa boite en me frappant la joue. Je commence aussitôt une fellation comme je sais si bien les faire.
« Dis-moi Maryaline ! Tu aimes le sperme ? »
La bouche pleine je n’émets à cette question qu’une sorte de borborite. David en me prenant par les cheveux imprime le rythme de ma fellation.
« Ma petite salope, je vais te faire goûter mon sperme. Tu vas voir, il a du goût. Tu me diras s’il est meilleur que celui de ton mec. »
Tout en me parlant il enfonce sa grosse queue encore plus profondément dans ma bouche. Je gémis de plaisir et ma langue s’enroule autour de sa bite. Puis, il se retire de ma bouche, la bite luisante de ma salive. En souriant, David la passe sur ma figure, laissant des traînées blanchâtres sur mes joues.
« Tu vas sentir la bite ma salope. »
Je ferme les yeux de honte devant l’ami de mon homme. David s’approche de mon visage et le renifle en souriant.
« Ouais ! Tu sens la bite. Ouvre ta bouche ! »
Soumise, je l’ouvre et le salop me l’enfonce jusqu’à la garde. Je suis à deux doigts de vomir sous cet assaut. Il me maintient ainsi quelques secondes en me tenant par les cheveux et brutalement, il me repousse. Je m’effondre sur le sol.
« Debout petit pute ! »
Je reste au sol, les larmes aux yeux et toussant encore.
« Mets-toi à quatre pattes, que je vois un peu ton gros cul de salope. »
Je m’exécute et il rentre 3 doigt dans ma chatte ouverte et dégoulinante de mouille. Je pousse un soupir de plaisir.
« Tu mouilles petite chienne ! »
Pour toute réponse, il a le droit à mes couinements. Il passe de ma chatte à mon clitoris tout en étalant parfois ma mouille dans ma raie des fesses et sur mon anus qu’il ne tarde pas à pénétrer d’un doigt. Je suis alors au bord de l’orgasme.
« De quoi as-tu envie maintenant ? »
« Baisez-moi Monsieur ! »
« Dis le plus fort j’ai rien entendu ! »
« Prends-moi comme une chienne! J’veux ta bite profond ! »
« T’as oublié que tu dois me vouvoyer petite salope ? »
« Pardon Monsieur !!! Prenez-moi ! Prenez-moi Monsieur !!! »
David se redresse et pour mieux me dominer, il me regarde d’un air dédaigneux en tournant autour de moi.
« Je sais pas si une chienne en chaleur comme toi mérite ma bite et mon sperme. »
« Je vous en prie Monsieur…. Baissez-moi !!! donnez-moi votre queue et votre sperme !!! »
A mes suppliques, David me prend par les cheveux et me refourre sa grosse que dans la bouche. Je le suce avec ardeur un mélange de bave et de liquide séminal coule sur mon menton et sur ses couilles. A cette cadence, je sens que David ne va pas tarder à jouir dans ma bouche. Je l’entends haleter de plus en plus fort tout en me traitant de pute. Il pousse alors une sorte de cri de bête blessée et une première giclée de sperme tape le fond de ma gorge. Les suivantes éclaboussent mon visage. La crème s’écrase presque violemment sur moi. Je suis peut-être son vide couille mais à ce moment-là, je le sens vulnérable.
« C’est parfait petite pute. Demain même heure, même endroit. Si tu me supplies bien, je te défoncerai la chatte. »
Je restais un peu sur ma faim, n’ayant pu jouir comme je l’aurais souhaité mais je souhaite respecter le contrat.
Je lui lance alors un regard chargé de désir. C’était décidé, demain je me mettrais à genoux devant lui pour devenir la plus parfaite des salopes. Je suis encore à genoux, le visage dégoulinant de sperme. David s’accroupi près de moi et prenant un pan de ma robe, il essuie son sperme sur mon visage.
« Tu es vraiment une belle petite salope. Je crois que tu as besoin d’être dressée. »
« Oui Monsieur »
« Ton mari ignore la chance qu’il a. Je vais te dresser. A demain. »
le lendemain.

Alain et David, le soir même avaient discuté de ma prestation devant moi comme si je n’étais pas là. Mon humiliation continuait. Ils décidèrent ensemble de la tenue et de l’heure à laquelle je devrais me présenter le lendemain. David suggéra que ça se passe dans sa maison de campagne.
Le lendemain donc, Alain Me dépose devant la grille du parc de la maison de David et repart aussitôt en me disant :
« Sois bien obéissante surtout ! »
J’e suis nue sous un manteau qui cache un collier et une laisse. Frissonnante, je sonne à la porte. David m’ouvre avec un air jovial et me fait entrer
« Bonjour Maryaline. C’est bien tu es à l’heure. Je vais te débarrasser de ton manteau. »
Joignant le geste à la parole, il ôte mon vêtement et je me retrouve entièrement nue devant lui. Il sourit de me voir ainsi et me dirige vers le salon comme si de rien n’était.
« J’ai préparé pour mon jouet sexuel une petite surprise que tu n’es pas prête d’oublier je crois. »
Sa réflexion me fait peur mais je suis ici pour çà aussi.
« Tu es vraiment une ravissante petite pute. Tu es en beauté. Tu t’es faite belle pour te faire sauter comme une chienne? »
David peux lire la honte sur mon visage et il s’en amuse.
« J’ai tiré le gros lot avec toi. Quelle chance ai-je d’avoir un ami comme ton homme. Mais il va falloir que je sache à quel point ces jeux de soumission te plaisaient. »
Tout en avançant dans le salon, j’écoute à peine ses propos. Je regarde et découvre la décoration de cette pièce. Je pousse alors un petit cri de stupeur et j’entends dans mon dos que David verrouille la porte. Je me sens comme prise au piège.
« Qu’y a-t-il ma chérie ? »
« Ce n’est rien David, répondit Jean-Pierre, tranquillement installé dans le canapé et sirotant une bière. Je crois que ta petite chienne est un peu surprise de me trouver là. Tu permets que je t’appelle ainsi et que je te tutoie, n’est-ce pas ? »
En découvrant Jean-Pierre, je comprends trop bien ce qui risque de se passer. Je me retrouve nue, affublée d’un collier et une laisse de chienne, en face d’un collègue de mon mari. Je sais que c’est un homme vicieux qui a plusieurs reprises avait essayé de me coincer et me tripoter. De plus, je savais qu’il n’aimait pas mon mari. La possibilité de m’utiliser comme un jouet devait l’exciter au plus haut point.
« Elle est trop timide pour te répondre. » Lui dit David en partant dans un grand éclat de rire.
David se met alors derrière moi et commence à me malaxer les seins en regardant Jean-Pierre. Je suis prise de panique et me débat pour m’enfuire vers la porte.
« Ne me dis pas que tu n’es pas excitée par la situation, Maryaline ! Je me suis peut-être trompé à ton sujet. Mais je ne crois pas. Et puis tu sembles vite oublier notre discution d’hier soir avec ton mari. »
A ces mots, je m’arrête et penaude reviens vers David la tête baissée.
« Stop ! Maryaline, tu es une chienne et une chienne c’est à quatre pattes que ça se déplace. »
Morte de honte j’obéis et je vois le large sourire de Jean-Pierre qui jubile de voir la femme de son collègue ainsi humiliée.
« Je veux bien faire ce que vous voulez, mais lui doit partir ! »
« Mais je vais te dresser petite peste. Tu crois que tu peux dire ce que tu as envie ou non ? »
« Pas très docile la femme d’Alain. Tu m’avais pourtant dis que c’était une bonne salope ! »
« Bientôt, elle sera notre petite pute et rien de ce qu’elle dit ne va changer cela. Je te l’assure Jean-Pierre. »
Puis s’adressant à moi :
« Je ne suis pas certain que tu aies bien saisi ce qui va se passer ici ! A partir de maintenant, tu ne parles que si nous t’adressons la parole. Tu feras tout ce que je te dirai et tout ce que Jean-Pierre te dira ! »
David me laisse, à quatre pattes devant son ami et le rejoint dans le canapé.
« Tu ne trouves pas qu’elle est belle, avec ce collier et cette laisse, ses loches pendantes ? »
« J’en bande déjà. Approche une peu pétasse ! »
Humiliée et folle de rage contenue, Je fusille des yeux Jean-Pierre mais me déplace à quatre pattes vers lui. Jean-Pierre caresse ma cuisse et remonte jusqu’à mes fesses. Lorsqu’il touche ma peau, je ne peux m’empêcher de frémir.
« Et dire que tu as l’air coincée et prétentieuse le reste du temps. J’aurais jamais pu deviner que la femme de ce connard était une petite salope. Ecarte un peu les jambes que je m’amuse avec toi. »
Je sens les larmes de rage et de honte qui me montent aux yeux mais je desserre les cuisses. Jean-Pierre entreprend alors de me fouiller la chatte. Je sers les dents car je ne veux pas faire le plaisir à ce salop de m’entendre gémir. David me fixe et je sens qu’il apprécie de me voir ainsi troublée à mesure que son ami me branle. Je tente de dissimuler mon plaisir, mais ma poitrine qui se soulève de plus en plus rapidement me trahi.
« C’est fou, elle mouille déjà ! On va bien s’amuser avec toi ! »
« Elle a une bouche à pipe en plus »
« Ca va me botter de me vider dans sa petite gueule. »
« Tu sais en plus cette pute avale tout ! Je l’ai testé hier. »…
A ce moment, je ne peux contenir un gémissement de plaisir. Jean-Pierre sourit.
« Eh bien, tu es très mal élevée Maryaline. Ton abrutis de mari ne t’a jamais dit que tu ne dois pas jouir sans qu’on t’y ait autorisée ? »
Tout en me grondant, il fouille ma chatte de plus en plus profondément. Là je n’y tiens plus et miaule de jouissance.
« Tu es vraiment une salope Maryaline pour te faire tripoter comme çà devant nous et en plus exprimer ton plaisir ! »
« Dis-le ! Dis que tu n’es qu’une petite pute faite pour la saillie ! »
Dans un gémissement de plaisir :
« Je ne.. Je ne suis qu’une… petite pute »
« Tu aimes ce que je fais ? » demande Jean-Pierre la main engluée de ma cyprine.
« Oui… J’ai… J’aime ce que vous me faites. »
Alors Jean-Pierre enfonce bonne partie de sa main qui disparait dans ma chatte. Là, je me mets à hurler de douleur ce qui fait rire les deux hommes. Jean-Pierre continu ses allers et venues et la douleur remplace une montée de plaisir fulgurante. Je pousse un hurlement lorsque mon orgasme explose devant ces deux vicieux qui éclatent de rire devant mes grimaces de jouissance. Puis, il retire sa main et l’essuie dans mes cheveux. Jean-Pierre se lève, s’approche de moi et m’embrasse à pleine bouche. Puis, il se recule et me crache en pleine figure.
« Depuis le temps que j’aurais voulu faire çà à Alain. Je vais me venger sur sa salope ! »
Je sursaute devant l’insulte et veux essuyer le crachat sur mon visage. Mais Jean-Pierre m’en empêche.
« T’es une petite roulure comme ton pd de mari. C’est tout ce que tu mérites ! »
David semble très amusé par la scène. Je devinais que les deux compères étaient vraiment des sadiques et qu’ils allaient me faire ramper et me briser. En rigolant, Jean-Pierre me donne alors une grande claque sur les fesses qui me fait tomber en avant.
« Allez, va nous chercher à boire ! »
A quatre pattes, je m’éloigne pour aller chercher les boissons. Je les entends discuter de moi dans des termes avilissant. Je sers les dents pour ne pas hurler de me faire ainsi humiliée par se salopard de Jean-Pierre. Quand je reviens avec les boissons, les deux hommes se sont mis à jouer aux cartes.
« Est-ce que tu t’y connais en cartes Maryaline ? » me demande David.
« Parce que David et moi allons jouer à un petit jeu. Celui qui gagne sera le premier à t’enculer. » continue Jean-Pierre.
« Tu es d’accord bien sûr ? » poursuit David.
Je reste muette en les regardant bêtement à tour de rôle et en baissant les yeux :
« Je suis d’accord Messieurs. »
« Reste à quatre pattes pendant que nous jouons. ». dit Jean-Pierre sans même me regarder.
« Met-toi à genoux les mains sur la tête et fait waf waf en tirant la langue ! »
J’hésite un instant mais je le fait. Eux semble ne pas me voir et parle de moi comme si je n’étais qu’un objet.
« Elle a un peu de bide, tu ne trouves pas ? » fait Jean-Pierre en posant une carte.
« Oui, elle a eu deux femelles mais qu’est-ce qu’elle suce bien. Elle a une petite langue qui s’enroule autour de ta bite… Tu vas voir, un délice »
« Arrête de parler comme ça d’elle, ça l’excite je suis sûr » dit Jean-Pierre en souriant.
La partie s’éternise et ils continuent à parler devant moi du plaisir qu’ils vont avoir à me baiser à tour de rôle et comment ils vont m’utiliser.
« T’as remarqué comme ces bouts de seins pointent ? »
« Oui, pourtant il ne fait pas froid ici. Tu crois qu’elle est excitée ? »
Ils éclatent de rire.
« S’il vous plait. » J’ose dire à un moment.
Ils se regardent :.
« Elle a parlé ? »
« Je crois oui. Qu’est-ce qu’il y a Maryaline ? »
« Je… J’ai mal aux genoux. »
JP regarde David en souriant.
« Et alors ? »
« Laissez-moi m’asseoir, s’il vous plait. »
« Tu me demandes une faveur petite salope ? C’est ça ? »
« Je serai gentille avec vous si vous me laissez m’asseoir. »
Jean-Pierre s’approche de moi me chope par les tétons les pinçant durement. Je grimace et gémie sous la douleur. « Espèce de salope. Je vais te montrer comment tu vas être gentille. »
Il me prend par les cheveux, me met à quatre pattes et sortant sa queue me la met d’un coup dans la chatte. Je pousse un cri de surprise mais elle rentre facilement tant je mouille. Même si la pénétration est brutale, elle n’en est pas moins bonne. Mais aussitôt il se recule et sort de mon doux écrin.
« Tu veux quelques chose peut-être ? » dit-il amusé.
Machinalement je fais aller et venir mon bassin, à la recherche de sa queue. Jean-Pierre se recule à chaque fois, m’empêchant ainsi de me faire sauter. Je n’en peux plus et j’ai besoin d’une queue qui me fourre.
« Prenez-moi ! Je vous en supplie. »
Jean-Pierre me tire par les cheveux :
« Qu’est-ce que tu as dit petite pute ? »
« Prenez-moi !!!! »
« Je ne comprends pas ce que tu veux dire. »
« Baisez-moi… Défoncez-moi… »
« Dis-moi que tu veux être violée… »
« Vio…Violez moi… »
Jean-Pierre s’enfonce alors brutalement en moi me clouant sur le canapé. Il enfonce mon visage dans un coussin et commence à me ramoner vigoureusement tout en m’insultant. Je me mets à jouir en continue tout en poussant des cris de douleur chaque fois qu’il me tire les cheveux en arrière pour voir mon visage. Brusquement, il se retire, sa queue luisante de mouille.
« Baise mooooiii !!!! »
Avec un sourire amusé, Jean-Pierre mei dit :
« Supplie moi salope ! »
Je me cambre plus :
« Baise moi, je t’en supplie !!!!! »
Jean-Pierre défait sa ceinture et me fouette les fesses d’un grand coup.
« Je suis sûr que tu peux supplier mieux que ça ! »
« Aiiiie !!!- Je t’en supplie, prends moi… !!!! »
Pour toute réponse, Jean-Pierre me donne un nouveau coup de ceinture.
« J’ai très envie de te la mettre dans le cul ! »
Jean-Pierre un sourire mauvais, me prend les fesses, les écarte, crache un gros mollard dans sa raie et pousse sa queue sur mon rosette.
« Montre-moi sa petite gueule pendant que tu l’encules ! Je veux voir son expression en se prenant une bite dans le cul. »
Jean-Pierre me tire alors par les cheveux tout en s’enfonçant dans mon anus. Je me redresse et crie, Je passe d’une expression de douleur à une expression d’extase. Je me mets à gémir. Tout en me pistonnant, il enfonce deux doigts dans sa bouche que je sucent bruyamment.
« Ça te plait salope ? »
Je tente de répondre mais mon oui est étouffé par les doigts de Jean-Pierre. Au moment de jouir, il me prend par les cheveux et sort de mon cul pour éjaculer sur mon visage. Les traînées blanchâtres s’étalent et coulent du menton sur mes seins. Pour le dernier jet, Jean-Pierre rentre sa queue dans ma bouche pour que je déguste son nectar.
« Pendant que tu y es, nettoie ma queue »
Je le nettoie contentieusement, avalant tout son sperme. « Elle est vraiment trop bonne cette putain ! Et dire qu’Alain se tape çà »
Je suis encore haletante de cette sodomie. Jean-Pierre se retire de ma bouche et lance à David :
« Elle est vraiment trop bonne à enculer. Va y jee lui ai bien défoncé le cul, mais je suis sûr que ça la botterait encore de se faire défoncer… pas vrai petite chienne ? »
« T’es vraiment une salope Maryaline. T’en veux encore ? »
Pas encore remise de mes émotions, je relève la tête en regardant David.
« Rampe vers moi ! »
Je m’allonge à terre et rampe jusqu’à David qui a sorti sa grosse queue.
« Tu sais ce qu’il te reste à faire n’est-ce pas ? »
Jean-Pierre ricane de me voir ramper au sol. Arrivée devant David je me saisis de sa queue et commence à le sucer. Bientôt j’englouti tout à fond. Jean-Pierre sort son téléphone portable, prend quelques photos et compose un numéro. Il tend l’appareil à David.
Je relève la tête un instant mais :
« Continue de sucer petite pute ! J’ai quelques mots à dire à ton mari. »
« Salut Alain. Oui, c’est ça… Tiens écoute comme elle suce. »
David approche le téléphone de sa queue et mon mari peut entendre tous mes bruits de succion.
« Elle suce très bien. Tu devrais voir comment ma bite lui déforme sa jolie petite gueule. Mais ce n’est pas pour ça que je t’appelle : voilà, je sais que tu m’as donné les pleins pouvoirs sur ta femme, mais je voudrais que tu lui fasses répéter à haute voix le petit règlement que nous avons établie ensemble. »

« Arrête de sucer salope. Je te défoncerai la bouche plus tard. Ton mari veut te parler. »
David me tend le téléphone. Il se délecte de me voir à genoux, la bouche gonflée par la pipe, en train de parler à mon mari. Jean-Pierre se caresse doucement la bite en me regardant, reprendre les mots de mon homme :
« Oui, j’obéirai à tous les ordres de David et aux ordres de ses amis. Je serai punie si je lui désobéis. Je ne suis qu’une petite salope qui mérite d’être baisée et soumise. Je suis une chienne. »
Je redonne le téléphone à David :
« Que désirez-vous Monsieur David ? »
« Ah voilà comment une petite pute doit parler à son Maître. Tu vas me finir et ensuite j’aurai une course à te faire faire. »
Il me reprend par les cheveux et engouffre sa grosse queue dans ma bouche. Tout en me baisant la bouche Davide me malaxe fermement les seins. Il me torture les pointes des nichons d’une main en me maintenant la nuque pour mieux s’enfoncer dans ma bouche. Je pousse de petits cris et des gémissements où se mêlent douleur et plaisir. Au bout d’un moment, il me presse sur la nuque et il se met à jouir au fond de ma gorge. Il ressort sa queue pour que les derniéres giclées tomber sur le sol.
Je le voie faire un clin d’œil à Jean-Pierre :
« Lèche le sperme petite salope. Nettoie bien le parquet ! »
Ils rigolent tous les deux de me voir ma langue glisser sur le sol, avalant les traces de sperme.
« Reste à quatre pattes comme ça pendant un moment et écoute ce que j’ai à te dire. Connais tu notre voisin, Monsieur Christian ? »
Je me met à rougir en entendant ce nom et je suis effrayé des bizarreries qui trotte dans la tête de David.
« Oui. Monsieur David. »
« Cambre-toi mieux que ça ! Il faut que je puisse voir ton cul ! Putain, tu ne l’as pas loupé Jean-Pierre. Elle a encore le trou du cul distendu. »
Jean-Pierre éclate de rire.
« Que penses-tu de Monsieur Christian, Maryaline ? »
« C’est un vieux… vicieux. »
« Oh Petite salope, il n’est pas si vieux que cela. Figure-toi qu’il m’a proposé un mois de loyer pour te sauter. »
Je relève la tête en écaillant les yeux.
« Tu as très bien compris. Tu vas te remaquiller et aller sonner chez lui. Tu seras très, très gentille avec monsieur Christian. Tu n’oublies pas ce qu’a dit ton mari n’est-ce pas Maryaline ? »
Sans attendre ma réponse, David me repousse du pied et je roule sur le sol. Jean-Pierre, au-dessus dde moi me prend par les cheveux et m’oblige à me redresser.
« N’oublie pas ton engagement petite pute ! »
Quelques minutes plus tard, après un remaquillage rapide, je sors de l’appartement et traversait le couloir, nue et terrorisée d’être surprise ainsi par les voisins et par ce qui m’attend avec le vieux. Mais je me dois d’obéir à mon contrat. David en fait avais demandé à mon mari ce que je pensais de Monsieur Christian. Je n’aimais pas ce satire avec ses réflexions salaces. C’était un homme qui vivait seul et matait toutes les femmes de l’immeuble d’une façon vraiment indécente. Je sonne à la porte. J’ai les jambes qui tremblent. Le vieux salop tarde à ouvrir et je m’impatiente car je ne voudrais pas que quelqu’un me découvre ainsi. Je sais qu’il se trouve derrière la porte, mais il doit se faire plaisir à me faire patienter dans le hall, nue avec pour seul vêtement un collier et une laisse de chienne. Après une minute interminable, il ouvre la porte.
« Que me vaut le plaisir ? » fait-il avec un sourire vicieux.
D’un voix hésitante :
« Monsieur David m’envoie pour votre plaisir Monsieur. »
Ce vieux cochon prend la laisse et me conduit dans son salon.
« T’es vraiment jolie avec ton collier de chienne et ta laisse. Alors comme çà tu veux que je te saillise ? »
Je ne réponds pas et me contente de baisser les yeux tandis que Monsieur Christian tourne autour de moi en me détaillant comme un a****l qu’on va mettre en vente.
« D’ordinaire tu m’évites et aujourd’hui tu sonnes à ma porte, nue comme la dernière des chiennes. »
Je sursaute en entendant l’insulte.
« Donc si tu viens ici, je suppose que c’est pour régler le loyer de David ? »
Je relève la tête vers Monsieur Christian.
« Non, Monsieur, il m’a dit que vous accepteriez un arrangement. »
Le vieux vicieux me regarde alors avec un sourire mauvais.
« Quel genre d’arrangement ? »
« Le genre d’arrangement où j’obéirai à tous vos désirs. »
Il s’approche de moi en me fixant dans les yeux.
« Tu veux dire, comme une gentille petite pute c’est ça ? »
Tout en me parlant, il pose son pouce sur ma bouche et l’enfonce entre mes lèvres.
« Une gentille petite salope qui mouille quand on l’insulte et qui aime se faire baiser comme une chienne ? »
Rouge de honte j’acquiesce de la tête tout en lui suçant le pouce.
« Tu as un bon coup de langue d’après David. »
Monsieur Christian en profite pour me palper les seins tout en faisant aller son doigt dans ma bouche. Il fait durer la situation, cherchant mon regard.
« Mais c’est vrai que tu suces comme une trainée. C’est fou comme tes tétons sont durs. Tu es déjà excitée à l’idée d’être mon esclave ? C’est très bien. On va peut-être pouvoir faire affaire ensemble. »
Je garde la tête baissée. Tout en parlant, Monsieur Christian continue de me palper comme un a****l.
« Ecoute, tu vas commencer par faire le ménage dans mon appartement. »
J’hésite un instant et Monsieur Christian s’approche de moi en me vrillant un téton. Ce qui me fait hurler de douleur.
« Je n’aime pas répéter Maryaline ! Tu as compris ? »
« Oui monsieur. »
Tout en m’empoignant la chatte :
« Je veux que tu m’appelles Maitre Christian ! »
Il enfonce deux doigts dans mon sexe humide et dans un gémissement :
« Bien maître Christian. »
« C’est très bien. Commence par nettoyer ça.» dit Maître Christian en éclatant de rire.
Je suis horrifiée en voyant l’endroit qu’il me désigne. Il s’agit de petites flaques de sperme.
« Depuis ce matin, je n’arrête pas de me branler en pensant à toi. Il faut que tu nettoies tout ça. »
« Bien maître. »
Je prends une serpillère mais Maître Christian me saisit par les cheveux, glisse une main dans la chatte et commence à me branler vigoureusement.
« Tu mouilles déjà. Une petite pute comme toi n’a pas besoin de torchon. Tu as une langue il me semble. »
A quatre pattes, je commence à laper le sol. Maître Christian profite de ma position pour frotter sa chaussure sur ma chatte. Il contemple un instant sa chaussure dont le bout était taché de ma mouille. J’ai envie de vomir mais je nettoie tout le sperme avec ma langue. Maître Christian avec un sourire vicieux approche sa chaussure de ma bouche.
« Nettoie ça putain ! T’as dégueullassé mes pompes ! t’es vraiment une salope qui ne sait pas se tenir ! »
Totalement soumise, je lèche ma mouille sur ses chaussures. Maître Christian me saisit par les cheveux :
« Il y a autre chose que tu vas pouvoir nettoyer petite pute. »
Il sort son sexe bandé et j’ai un mouvement de recul devant son énorme chibre.
« Tu fais ta sainte nitouche ? » s’amuse le salop en défaisant sa ceinture.
« Non maître. Laissez-moi prendre soin de vous. »
Ma langue commence par glisser sur son gland. Puis je débute une fellation comme je sais si bien les faire. A ce moment, il entend une clé jouer dans la porte. Je relève la tête.
« Je ne crois pas t’avoir dit d’arrêter salope. Continue de me pomper putain ! »
Maître Christian me prend par les cheveux et me gifle violemment en me faisant tomber au sol.
« Ce n’est que mon fils qui rentre. Eh Tophe, regarde ce que j’ai pour toi. »
L’homme, âgé d’une trentaine d’années est un vieux garçon, tout aussi vicieux que son père. Je l’évitais car il me faisait peur. Il était vraiment le plus sadique de tous. Avec lui je savais que j’allais manger chaud.

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