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auto stop

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au milieu des années 70, je n’ai pas encore 18 ans, donc pas encore de voiture et je me déplace souvent en auto stop. quelques temps avant j’étais allé passer quelques jours à dieulefit avec des potes et j’avais kiffé comme on dit maintenant.jolie petite ville, un beau camping, une super piscine et beaucoup de jeunes dans une ambiance baba cool.donc me voilà le pouce tendu sur le borde de la route en ce de mois de juin ensoleillé.
j’ai du marcher 2 ou 3 bornes avant qu’une voiture ne s’arrête, une renault 8, la vitre passager est ouverte, une femme est au volant, déjà à l’époque, c’est rare qu’une femme seule prenne un mec . elle va aussi à dieulefit et veut bien m’emmener, je monte elle démarre, le bras par la fenètre mes yeux font le tour de la propiétaire! lol! c’est une « vieille » lol environ 40/45 ans, brune cheveux frisés mi-long, une mini jupe noire assez remontée sur des cuisses bien pleines, un chemisier rose, on voit le soutif blanc en transparence, les seins paraissent bien gros, en tout cas plus gros que ceux que j’ai déjà pu voir toucher ou téter chez mes occasionnelles copines, même si elle conduit je croise quelquefois son regard, elle me jauge aussi, elle ne conduit pas très vite, à peine 60/70 à l’heure, rétrograde souvent, presque à chaque virage et à toutes les intersections y compris les chemins de terre
elle lance la conversation
< souvent oui, par forcément par ici
A force de retrograder,freiner accélerer les jambes bougent, sa jupe remontem’offrant une super vue sur ses cuisses, elle lâche le volant se passe une main sur le front pour remonter sa frange, puis descend un peu et comme si elle le faisait pas expres en trifouillant son col ouvre un ou deux boutons de son chemisier, je vois le soutif maintenant autrement qu’en transparence et il est bien plein, je n’en perds pas une miette et elle le voit
< tu as déjà des aventures en auto stop ?
Je souris je ne réponds pas, ma main se pose sur sa cuisse, elle soupire et machinalement elle les écarte sensiblement, ma main monte, arrive à la culotte que je trouve légèrement humide, je caresse la motte à travers le nylon
Mais je continue, même pendant la traversée d’un village ou les piétons sur le trottoir pourraient nous apercevoir, à la sortie du patelin de nouveau c’est la campagne, elle roule de plus en plus doucement, j’ai passé la main sous le tissus j’ai les doigts dans sa chatte, parfois je remonte un peu la fente pour titiller le bouton, elle avise un chemin à droite qui descend vers un ancien alambic à lavande, elle s’y engage et plus bas se gare entre le bâtiment et la rivière, personne ne peut plus nous voir, elle coupe le contact met le frein à main se tourne vers moi m’att**** la tête et me roule une pelle d’enfer, ma langue s’enfonce dans sa bouche pendant que mes mains s’attaquent au chemisier, je suis pressé de voir ses nichons, le chemisier grand ouvert je passe les mains derrière pour dégrafer le soutif, puis l’attrapant par le devant je le fais passer au dessus des seins, quand elle arrête de m’embrasser, j’ai devant les yeux une magnifique paire de nichons, bien gros, bien ronds, ornés de gros tétons bruns déjà tout raides, ils sont étonnamment longs et je m’empresse d’y coller les lèvres, de les faire jouer avec ma langue, cela lui plait apparemment elle gémit et les tétons bandent encore plus, mes mains repartent à l’assaut de sa chatte, je veux lui enlever sa culotte et je m’y emploie ; elle n’est pas en reste en farfouillant elle a déjà réussit à défaire ma ceinture et s’attaque aux boutons du jean, la braguette ouverte elle a du mal à sortir ma queue du slip tellement je suis raide, je bande à mort, elle prend ma tige en main
Et elle commence à me branler en se tortillant pour que je puisse enlever sa culotte, puis sans que je m’y attende elle m’échappe ouvre la portière et sors de l’auto avec la culotte aux genoux, elle vient de mon côté ouvre la porte recule un peu et entreprend de se foutre à poil, la culotte part en premier suivit de la jupe puis du chemisier et du soutif, la voilà nue sur le chemin, elle est superbe ! ça change des minettes que j’ai pu baiser jusqu’à maintenant, elle est assez grande, de beaux gros seins je l’ai déjà dit, gironde sans être grosse, juste ce qu’il faut là où il faut quoi ! et surtout entre les jambes une jolie chatte brune, bien velue mais au poil court, bien entretenue quoi ! (eh oui on n’est pas encore à l’époque de la mode du rasage intégral que d’ailleurs je n’apprécie pas trop)je sors de l’auto à mon tour, la bite en avant, je quitte ma chemise, enlève aussi le bas, je suis aussi nu qu’elle, elle vient vers moi me pousse , je me retrouve assis sur le siège elle se jette sur ma queue bouche en avant et commence à pomper, bon dieu elle s’y prend bien, une main branle ma tige en tournant, ses lèvres aspirent mon gland que sa langue travaille, je suis aux anges tellement c’est bien fait, en même temps je lui caresse les globes en pinçant les tétons je bande vraiment à fond !elle se relève ? elle crie presque
Elle fait deux pas, s’appuie sur le capot
Je ne me fais pas prier, je prends ses hanches en mains, pointe sa fente et en une seule poussée je l’emmanche à fond, elle est tant trempée que c’est entré comme dans du beurre, mais elle a cependant une chatte qui me serre bien la queue, je ne vais pas être long à lui envoyer les jets, elle bouge son cul, elle veut que je la prenne bien à fond alors à chaque fois je sors d’elle en entier et j’y reourne sans la ménager, après quelques minutes de ce traitement elle crie à faire peur à tous les moineaux du coin, peut être même aux poissons, mais je n’arrête pas de la limer quand même, quand je lui envoie le jus et que je sors enfin d’elle, elle s’écroule sur le capot de son auto, étourdie, pantelante
Bénéfice de la jeunesse, je suis toujours dur, la queue en avant, prêt à remettre ça, je prend ma tige en main et avant qu’elle se redresse je balade ma queue dans sa fente trempée, je mouille bien le gland, je fais pareil avec deux doigts et lui doigte un peu le cul, je joue avec son petit trou avant de poser le gland sur la rosette, je pousse un peu, ça ne rentre pas
Je m’agenouille et lui bouffe le cul, je prépare le trou à coups de langue bien baveuse, j’entre dedans pour le distendre un peu, remets un peu les doigts et enfin repointe le gland à l’entrée, ça commence à entrer, elle souffle, je continue, plus doucement que pour la chatte mais bientôt je suis au fond de son cul, bien logé au fond je la redresse et prends ses seins en main, je l’encule en triturant ses nichons, ses petits cris me disent qu’elle aime ça, je lâche un sein pour aller toucher le clito, elle s’emballe, elle bouge bien son cul maintenant sur mon chibre et nous éclatons ensemble une nouvelle fois.
Elle a bien nettoyé ma queue en la suçant et rhabillés nous avons repris la route, arrivé à dieulefit, elle n’a pas voulu me donner son numéro, ni prendre le mien
Pourtant après je suis allé plusieurs fois à dieulefit, arpenté le village d’est en ouest, du nord au sud je ne l’ai jamais revue

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