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Evelyne 1

Evelyne 1



1. Évelyne
Depuis mes 20 ans, je me trouve laide…

Je venais à 19 ans, de réussir mon bac, enfin…
J’habitais chez mes parents en banlieue d’une grande ville, dans un pavillon agréable, j’avais hérité d’un chien lors d’un Noël vers mes 16 ans, et maintenant j’hésitais sur mon choix post baccalauréat, comme nombre de mes camarades.
Nous l’avions fêté, d’abord en famille, ensuite avec ma classe et quelques copains du club de gym, car j’avais la chance d’être dans un Lycée de sportifs, beaux comme des dieux, sur lesquels je fantasmais depuis mes treize ans…
J’étais moi-même assez portée sur le sport, athlétisme, basket, natation, etc…
Mais du rêve à la réalité il y a un pas, que je n’avais pas pu franchir encore…
Mes 20 ans arrivaient à grands pas, et je n’étais toujours pas « une vraie femme »…

Oui, je ne vous l’ai pas dit, on ne peut pas tout dire d’un coup, je suis vierge…
Eh, oui, à presque vingt ans !
Pas de souci du côté possibilité, ni volonté, je suis construite normalement, mais les occasions manquent cruellement.
D’autre part, la vie en famille ne simplifie pas le côté obscur et intime de la chose.
Ah, oui, j’ai une sœur Aline, ma cadette de deux ans, donc dix-huit à l’heure où je me confie à vous…
Pour en revenir aux choses de la vie, mes dix-huit ans devaient être le grand départ, mais il y eut beaucoup de péripéties contre moi, mes règles, la voiture de ma mère, une grippe, ma grand-mère (paix à son âme), et j’en passe.
Bref la soirée super chaude dont j’avais rêvée fut reportée, déportée, et annulée…
Ensuite le train-train des études, le temps qui passait, je fus rattrapée par ma sœur…

Si nous ne partagions pas la même chambre, merci à mes parents, nous ne partagions ni nos copains, ni nos goûts, ni nos rêves… Et encore moins n’échangions sur notre vie intime…
Pour moi c’était ma petite sœur, j’avais du mal à changer cela… Pourtant, ma mère me fit une réflexion quelques semaines avant mon bac :
– Aline est partie en week-end avec ses copains… Elle avait l’œil brillant, est allée chez le médecin cette semaine, ça sent la première fois….
Je n’avais pas relevé, changeant de sujet, prenant dix ans de plus en quelques secondes… Et pan !
J’écrasais une larme moralement, mais ce n’est pas ma faute, si je bosse, si je ne sors pas comme elle, si je ne danse pas tous les samedis… Je cours, je saute, je marche, je fais de la gym, je nage…
Ceci me força à fixer une date qui fut celle de mes vingt ans pour aller voir le loup…

Une année se passa, année de BTS, mon choix fut sport et management, je pus continuer à m’exploser en secret, me vidant tous les jours ou presque de toutes les sanies de la vie et de mes pensées secrètes… Mais je reconnais que ça me travaillait de plus en plus…

Oh, je ne dis pas que je restais innocente, pas du tout même. Internet avait réglé les détails, mes copines et copains avaient fait le reste, avec parfois un baiser volé, une caresse en vitesse, une soirée entre amis…
Le plus beau souvenir étant un soir d’été, en vacances, avec ma sœur, dans les Landes, en camping. A 14 et 16 ans, nous étions canon en maillot et les garçons nous tournaient autour, même que mon père fut obligé de s’en mêler, instaurant une distance de sécurité interdite aux garçons de moins de 21 ans, autour de notre mobile-home….
Entre la piscine, les jeux aquatiques, le lac, le pédalo, les promenades en soirée, les animations et jeux divers incontournables, nous n’étions pas sans activité. De plus je me levais à 6 heures chaque matin pour courir mes 10 kilomètres… Seule… J’y tenais !

Bien, donc un gaillard moins bête que les autres, vint me parler alors que je regardais miss camping faire ses gammes, jouer avec une poitrine opulente, un tee-shirt mini, et un mini short échancré…
Elle venait d’être élue et nous démontrait sa passion de majorette… Ils badaient tous et toutes, rêvant pour les unes d’être à sa place et pour les autres, de l’emmener sur la plage un soir de nuit complète…
Il s’appelait Max et était de mon âge, sportif comme moi, discutant de ses idées en matière de miss, et finit par m’avouer qu’il préférait mon style, sage et secrète, des yeux à faire de la natation aux Seychelles et des courbes à surfer sur les plus belles plages du monde…
Je riais, ce qui ne m’arrivait pas souvent avec les boutonneux ou les machos de mon quartier…

En fin d’après-midi, il m’accompagna faire quelques courses pour mes parents, et on prit un verre.
Il se montrait agréable, ouvert, mes choix musicaux ne le choquaient pas, mon horreur de la télé, non plus, par contre il me suivit sur les livres, l’écriture, et toute forme d’évasion de l’esprit, jusqu’au sexe auquel il fit une allusion discrète et particulièrement ingénieuse, en parlant d’internet et du virtuel, il préférait le réel à tout autre chose, ainsi que pour les jeux, même interdits…

Nous sommes partis vers la jetée, puis revenus par les jardins, où nous nous assîmes quelques instants pour nous reposer. C’est dans ce havre de verdure qu’il me serra contre lui, prit ma main en plongeant ses yeux verts dans les miens, et que je sentis ses lèvres sur les miennes…
Certes ce n’était pas le premier que j’embrassais, mais celui-ci me fit beaucoup d’effet… Un peu trop à mon goût… Je mis fin à la promenade romantique devant le supermarché, et promis de le revoir…

Le lendemain, nous fîmes la même chose, je m’étais motivée pour un flirt agréable… ce fut le cas…
Le même banc revécut la même scène, abandon dans ses bras, lèvres entrouvertes, langues mêlées, caresses… Je recommençais à couler d’envie… Mon sexe s’ouvrait seul, je sentais sa verge contre ma cuisse… Je vis les images d’internet que j’avais matées, apparaître à mes yeux, des vidéos de membres érigés qui pénétraient en cadence les sexes rasés et béants de femmes dénudées et sonores…
Il me caressa tendrement les cheveux, le cou, attendant un signal de ma part, ce que je trouvais charmant…
Je lui rendis ses baisers et quelques caresses bien innocentes dans sa chemise, et nous échangeâmes nos mails et téléphones, venant de lui avouer mon départ le lendemain…
Il était bien triste, effondré, presque en larmes, il m’attendrit…
Il voulut me revoir en soirée, mais je déclinais car il nous fallait tout ranger et nous préparer…
– Tu pourrais me faire une câlinerie, au moins… Que j’aie un souvenir de toi, tu es si désirable…
– ??
– Juste une caresse, si tu veux bien…
– ??
– Avec ta main, gentiment… Tu n’es pas nunuche ?

Je revins après avoir tout rangé et nettoyé dans notre chambre, mais lui promis juste pour un baiser vers 22 heures, même lieu, même banc, même position, même dispositions quand il m’effleura… Le baiser était…
– Tu as réfléchi, si tu es là…
A cette heure, l’endroit s’était vidé et les frondaisons nous masquaient des passants éventuels…
Comme je restais muette, il comprit que j’acceptais… Qui ne dit mot… Mais j’avais plus peur d’être surprise, de mal faire, de faire mal, de me salir, de… D’être nunuche, justement…
Il déboutonna son short, le baissa et sortit sa verge, tendue, longue…
Je glissais ma main et la referma sur le sexe brûlant… Il se serra contre moi, passa une main sur ma poitrine…
Je le laissais faire, il aura une main occupée…
Les grandes eaux recommencèrent… Mais encore mieux, mon ventre me faisait mal, comme s’il se tordait, tandis que ma main coulissait sur l’objet en érection…
Il atteignit un sein, je fondis…
Je me mis à gémir en silence (et oui, on peut !)… Je le sentais vibrer de désir entre mes doigts… Je n’étais pas une experte, et ne l’avais pratiqué que de rares fois, mais il semblait apprécier ma caresse…
Sa bouche essaya d’atteindre un téton, je le lui dégageais de mon soutien-gorge…

Un feu d’artifice illumina la nuit… Un vrai… Sur la plage… Je ne voyais plus que les éclairs, ressentais des ondes parcourir mes reins… Le bruit de chaque détonation faisait écho dans mon ventre, me transperçait, en me faisant sursauter…
Je sentis une main sur mes cuisses… Sa tête était toujours penchée sur ma poitrine, je m’étais arrêtée pour regarder les dernières fusées… Il pinçait mon téton entre ses lèvres, le mordillant tendrement, passant sa langue sur l’aréole, je sentis une vague me submerger, j’eus très chaud de partout…
La main vint se nicher dans mon intimité, retroussant ma robe légère sur mes cuisses ouvertes… C’était doux, charmant, je ressentais son désir, je ressentais le mien, j’étais bien, détendue…
Je repris ma caresse, masturbant la chose, me disant que s’il jouissait, il me laisserait tranquille…
Mais il déclencha une deuxième vague de chaleur, dans tout mon être, mes cuisses s’écartèrent encore, mon sexe libérait des litres de jus gluant dans ma culotte, j’eus honte, qu’il s’en aperçoive… Sa main soulevait le mince tissu de coton, et ses doigts glissaient insidieusement sur mon bouton érigé….
– Tu ruisselles dans mes doigts… Tu en as envie ! J’ai envie de toi aussi, envie de te prendre là, dans les fourrés…
– Pas dans les fourrés, pas comme une fille des rues. Je veux me donner dans un vrai lit, à mon premier amant et faire l’amour toute la nuit…
Il appuya sur mon bouton en réponse, je lâchais un cri, j’avais envie de dire oui maintenant, j’avais envie qu’il me prenne, de sentir son sexe se glisser dans le mien, comme dans un fourreau…
J’avais envie comme ces filles dans les vidéos, de crier mon plaisir lorsqu’il s’enfonçait en moi, pénétrant et dilatant mon sexe, à me faire crier jusqu’à connaître l’orgasme suprême…
Oui ! Viens !
C’est lui qui a crié ! Je sentis son sexe se tendre et durcir encore, puis expulser dans ma main un jus blanc, gluant… Des milliers de bébés qui s’en vont…
Ah ! Son doigt est entré en moi, en même temps qu’il jouissait, il m’a pénétrée, m’a déflorée… Il m’a amenée aux portes du plaisir…
Je tâtais pour savoir si je saignais… Il s’était levé, je passais un mouchoir qu’il m’avait tendu, mais pas de sang… Je ne m’inquiétais pas car j’avais lu et appris aussi qu’en tant que sportive, mon hymen avait disparu depuis longtemps…

Mon ventre était redevenu un ventre, normal, mon sexe suintait encore un peu, mes doigts sentaient l’homme, le sperme… Il s’installa accroupi entre mes cuisses et vint lécher nos sécrétions amoureuses…
Je me battais pour garder mes soupirs et mes râles dans ma gorge et refréner mon désir…
Je compris qu’il suçait mon petit bouton, me masturbait sans vergogne, je poussais un grand soupir et le laissa faire, me faisant franchir un peu d’inconnu, je jouis pleinement, oublia l’heure, la plage, ma sœur, je planais, j’avais chaud, mon ventre suivait sa caresse, je me soulevais vers sa langue qui m’emportait…
L’orgasme me dépassa, franchit ma gorge, je bredouillais des Oh !, des Ah !, tout bascula, j’étais heureuse, je me suis faite sucer pour la première fois…
Je me rhabillais, remis mon sein en place dans son bonnet, replaça ma culotte. Je me touchais encore pour voir, je sentis comme un pincement, ma chatte regrettait les doigts coquins qui venaient de la câliner…
Il me prit par les épaules et me donna un doux baiser… Sa langue était imprégnée de moi…
– Tu es merveilleuse, je sais que tu as peur, que tu ne voulais pas aller jusque-là, mais ceci ne fut qu’un flirt… J’ai adoré ce que j’ai pu caresser de toi, j’en aimerais bien encore un peu, découvrir d’autres trésors, ressentir ta tendresse et prendre tes seize ans…
– Je pars demain, on aura sans doute l’occasion de se revoir ici, je te le dirai… J’ai aimé ta délicatesse, j’ai adoré tes baisers, ton calme, tu as su me parler surtout… Je n’ai pas fait cela souvent… Cela m’a montré que je suis prête pour la suite. J’ai aimé ce que j’ai ressenti en te câlinant… Et surtout ce que tu viens de me faire… C’est nouveau pour moi…
– Avec ta bouche ce serait magnifique pour moi, tu as des lèvres faites pour ça…
– N’exagère pas… Tu as eu beaucoup pour moi… Alors laisse le temps décider… Je n’ai pas d’ami tu t’en doutes, je ne vis que pour le sport, et mon métier futur… Je ne veux pas que mes parents se privent pour moi, pour ma sœur ensuite…

Il me raccompagna jusqu’à franchir la barrière virtuelle de sécurité qui ne serait plus de mise, mais je regrettais de ne l’avoir connu plus tôt.
Il fut la première expérience significative d’un flirt poussé, il ne me manquait plus grand-chose, juste l’essentiel…
J’étais certaine que si je l’avais connu trois jours plus tôt, j’aurai franchi le pas avec lui… Ah, Max… Quelle soirée !…

Mes parents me trouvèrent triste, ma sœur riait bêtement à chaque réflexion…
– Bien quoi, je suis sûre qu’elle l’a fait, elle a les yeux qui pétillent…
– Tais-toi bécasse, tu ne sais pas de quoi tu parles…
– Mais si, de sexe… Elle a fait le sexe avec son copain rouquin…
– Allez, les filles ça suffit ! Demain lever tôt, donc couché tôt… On a rangé cet après-midi avec maman, il ne restera que vos affaires et votre sac perso.

C’est pratiquement la même chose que j’ai ressenti lorsque ma sœur est rentrée de son week-end, raccompagnée par « un copain », vannée, les cernes sous les yeux trahissant sa dernière nuit…
Je la trouvais pétillante et surtout, elle se mit à parler d’une façon différente, plus assurée, presque plus grave, comme si elle venait d’enlever sa dernière pelure d’enfance…

Bien plus tard, elle me parla, elle me dit que j’avais eu raison ce soir-là… Alors je lui avouais qu’elle n’était pas passée loin non plus, mais juste un gros flirt…
Elle eut alors ces mots :
– Tu as deux ans de retard !… Si tu savais comme c’est bon… Quand tu commences, tu ne peux plus t’arrêter, il te les faut tous, enfin tous les plus beaux, les plus sexe…
Je ne lui demandais pas ce qu’elle voulait dire par là… Plus sexe ? Je pense attractivité…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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