Ressortant de la salle de bain laver avec une serviette à la taille Anne-France me proposant un thé vert. Allant se doucher à son tour ressortant habillée d’une robe de chambre blanche légère avec une petit motif florale rouge situé sur son sein gauche. Discutant me demandant si j’étais sa première vieille lui disant que non mais ma première femme connue du grand publique oui. Une dénommée Colette ayant parfait mon éducation sexuel par le passé. Ayant fourré cette dame dans tous les recoins et toutes les positions dans sa maison. À peu près du même âge qu’Anne-France avec des gros seins tombant et un corps svelte. Son conjoint atteint d’une maladie grave l’ayant involontairement délaissée. L’aidant avec ses travaux extérieurs accumulant les conversations et les paiements toujours trop élevés de sa part (La madame préparant le terrain pour se faire assouvir). Vint un moment où tellement habitué de la voir en petite tenue au matin venant à me poser quelques questions à son sujet. Y allant souvent de plusieurs allusions sexuelles durant les discussions sans pour autant embarquer dans son jeu. Après s’être retrouver coller un peu trop longtemps contre mon flanc une journée. Caressant d’un geste délicat mes omoplates du bout des doigts tout doucement. Sa chatte dégageant une certaine chaleur sa poitrine effleurant sans retenue mon bras gauche. Ajouté d’un regard insistant exprimant un viens- tu, j’en est besoin. Humectant de mes parois nasales un début d’odeur de femme émoustillée. Me retrouvant alors dans son pieu entrain de pénétrer farouchement sa grosse chatte mouillée. Jouissant citant quelques fois mon prénom en attouchant mon fessier. Réalisant l’exploit à plusieurs reprises devenant ainsi son amant régulier.
Buvant le breuvage de madame Goldwater me proposant de revenir au lit enlevant sa robe de chambre. M’agenouillant à ses côtés la tige bien dressée prête à passer à l’action. Me masturbant de sa main droite pendant que je la doigtais en même temps en guise de préliminaire. Venant empaler sa grosse chatte sur ma verge bougeant à présent fougueusement ses hanches sur ma hampe. Le lit brassant passablement m’indiquant vouloir y aller sur une longue distance la madame ralentissant la cadence par moment. Elle savait bouger son bassin avec grâce me démontrant toute son expérience avec enthousiasme et délicatesse. Me sentant un peu écrasé par son poids exerçant une forte pression sur mon bassin Éjaculant au bout d’une demi heure avant de sommeiller tous les deux. Anne-France me réveillant dans la nuit pour me gratifier d’une fellation juteuse et douce. Me permettant de la baiser à nouveau dans la position de la pieuvre éjaculant une dernière fois en elle la madame finalement comblée. M’avouant être une de ses plus belle prise à vie jusqu’à présent. Me rechevauchant au lendemain matin me sentant presque abusé.
Les jours suivant plutôt tranquille avec celle ci quelques jeunes japonaises après mes spectacles se retrouvant dans mon lit. La revoyant au bar de l’hôtel dormant avec elle une dernière fois. Se permettant même de filmer le tout en guise de souvenir de voyage. La pilonnant avec ses deux jambes bien ouvertes rappelant les ailes d’un aigle déployées. L’ayant au préalable assouvie d’une branlette espagnole m’accaparant de sa généreuse poitrine dodue. Cette femme était une insatiable de sexe venant une nouvelle fois à trois reprises en elle. Expérimentant la position du 69 avec celle ci l’appréciant grandement. Ses deux gros seins étalés sur mon abdomen créant une situation particulière. Comblée par ma jeunesse insouciante se régalant de chacune de mes intrusions charnelles. M’avouant ne pratiquer qu’un seul sport dans la vie étant la baise ajoutant la chasse au petit gibier au final.
Fourrant cette dernière tel un guerrier samurai dans la position de la levrette. Insérant la lame de mon sabre katana dans son fourreau comme la chaleur intense d’une bataille en progression. La madame gémissant d’une chaleureuse voix vive sentant son corps soumis à ma volonté intrusive. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce accompagné de nombreux gémissement. J’étais comme un jeune loup entrain d’assouvir sa grosse cochonne pouvant presque l’entendre couiner. M’invitant à ne surtout pas arrêter mes vas et viens devenant toujours plus insistant. Prenant plaisir la madame jouissant à gorge déployée. Sa chatte mouillant tel le torrent d’un ruisseau chaleureux en pleine ébullition. Noyant ma verge dans sa vulve humide comme un morceau de pain dans du miel chaud.
Goldwater résonnant un peu comme du miel affirmant une femme hyper chaude d’une présence assurément intense. Me donnant ainsi son adresse et ses coordonnées au cas où on ne se revoyaient pas dans les jours suivant son départ. Vivant quand même à une bonne distance de celle ci ne lui promettant rien. La madame complètement conquise et comblée ne regrettant rien à présent de son voyage vécu en solitaire. Venant m’embrasser sur la joue à la sortie de sa chambre souillée.
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