Au marché
* * *
Par ce beau dimanche, en fin de matinée, nous arrivons au marché en plein air. Il y a beaucoup de monde qui, panier en main, furète à la recherche de bonnes affaires et d’achats quotidiens de fruits et légumes. Pour moi ce sera le grand sac et ma femme va faire sa quête et nos emplettes avec son petit panier, parmi une foule de plus en plus dense. J’espère que quelques épisodes érotiques vont venir pimenter cette fin de matinée. Je n’allais pas être déçu.
Je vois, beaucoup plus rapidement que je ne le pensais, avec un certain plaisir un vieux, plutôt de type espagnol, qui consciencieusement et ostensiblement lorgne en direction de la jupette beige à carreaux assez courte et des gambettes de ma femme, les cuisses et mollets gainés de bas dim-up beige clair hyper-fins et campés sur des escarpins noirs sexy. Ils sont d’ailleurs plusieurs mecs, qui semblent communiquer entre eux en silence par œillades –un véritable septième sens-, à répéter ce « matage en règle » au fur et à mesure de l’avancée de ma femme parmi les étals des marchands, la vision érotique pour les mâles se répandant comme une traînée de poudre.
Il faut dire qu’elle détonne un peu et sort de l’ordinaire de la ménagère, habillée fort joliment et attirant les regards des mâles vicieux toujours à l’affût de visions érotiques même en ce lieu a priori banal et peu propice. Je suis heureux et excité de voir ma femme reluquée ainsi, ses « cannes » admirées, son fessier tendu sous la jupette enviée, ses escarpins appréciés. Mais elle aussi, la coquine, s’en est rendu compte et elle agace un peu les types en fendant la foule hardiment ; de temps en temps, elle bouscule un bonhomme un peu surpris, qui se retourne sur son passage, parfois fait demi-tour et zyeute la jolie femme provocante, seins arrogants, en avant, moulés par son soutien-gorge balconnet dont la forme de la dentelle au contour des deux globes se devine très précisément sous un tee-shirt ajusté. Je me demande même si elle ne vient pas de donner un coup de téton au type !
Je devine leurs pensées derrière leurs yeux empreints de lubricité et je suppose qu’ils seront nombreux à se masturber ce soir dans leur lit en pensant à ma femme, imaginant toutes sortes de scénarios où ses gambettes, ses escarpins, ses seins arrogants, sa jupette ou sa chevelure de lionne auront les honneurs des bites enflammées, des pognes branleuses et de giclées vigoureuses.
D’ailleurs, de plus en plus de types suivent ça et là ma femme à travers le marché. Ils matent à la dérobée, s’en approchent un peu, tournoient autour d’elle, hésitent, repartent, reviennent, les yeux toujours plus lubriques. De temps en temps, elle asticote leur vision en se penchant dans un étalage, étendant un bras, soulevant un pied, son petit cul s’agite sous sa jupette ajustée qui bouge au gré des mouvements, dévoilant bien haut ses cuisses. Je vois un vieux binoclard se passer la langue sur les lèvres, tout en adressant un regard complice au vieil espagnol de tout à l’heure : aurait-il aperçu le liseré supérieur des bas ?
La foule, à cet endroit est plus dense, un goulot d’étranglement ; ça bousculerait même. Ma femme a deux ou trois mètres d’avance sur moi, gêné par quelques ménagères –ce qui me permet d’observer de loin- et… le binoclard lubrique. Astucieux, ce dernier slalome, s’intercale devant moi en m’ignorant et vient se placer juste derrière ma femme ; tout juste son derrière même. Je m’approche. Super ! Le type réussit à se coller à elle en avançant lentement dans l’allée encombrée. Il ne m’a pas remarqué comme le mari éventuel et c’est tant mieux. Je tente de regarder par-dessus son épaule. Il est vraiment tout contre ma femme, leurs deux corps se touchent c’est sûr. L’allée est de plus en plus encombrée, ça piétine et tout le monde ralentit. A un mouvement de ses épaules et de son torse cambré, je devine qu’il appuie son bas-ventre contre le cul de ma femme. La coquine doit sentir la bite enflée contre ses fesses ; d’ailleurs il me semble bien qu’elle ralentit encore plus sa marche d’elle-même, comme pour mieux sentir la virilité de cet inconnu salace dans son dos. Il n’y a plus de doute, il la frotte à bloc : il l’a ferrée ma petite salope ! Mon sang afflue et mon excitation monte d’un cran… je bande aussi, d’autant plus que le binoclard a sa bouche dans ses cheveux, humant son parfum de femelle BCBG… elle doit sentir son souffle, ça se trouve, elle est tout excitée… mais rien ne paraît. Il pourrait même lui chuchoter à l’oreille quelques cochonneries !
En tout cas, pendant deux minutes, au milieu de cette cohue immobilisée, elle s’adonne à ce plaisir érotiquement fugace de sentir une bite bandée contre ses fesses, qu’elle tend en arrière en se trémoussant imperceptiblement. Je suis aux anges !
Hélas pour ce frotteur momentané ! la foule s’éclaircit. Ma femme contourne un étalage, le gars est un peu désemparé en plein milieu. J’avance à sa hauteur et je lorgne vers son pantalon : la bosse est significative et bien visible! Ce vieux binoclard salaud vient de bander comme un âne contre les fesses offertes de ma femme ; oui, offertes car, pas de doute, cette coquine n’a pas pu ne pas sentir cette pine gonflée contre son arrière-train pendant ces trois minutes.
Le mec semble un peu gêné de mon regard trop insistant. Prend-il peur ? Probablement car il disparaît subrepticement. « Dommage » me dis-je en moi-même (car je restais sur ma faim, en fait) … il aurait pu aller plus loin ! J’aurais bien aimé voir jusqu’où elle allait, alors que je n’étais pas censé être complice de quoi que ce soit. Au contraire même, ceci se passait plutôt à mon insu dans la tête de ma salope de femme et c’est son plaisir seul qui est en jeu.
Des pensées lubriques revenaient alors : « et si ce n’était pas la première fois ? et si elle aimait se faire frotter dans les lieux publics ? s’ils la connaissaient ces salauds de frotteurs, pour l’avoir déjà asticotée dans le marché, en pelotant ses fesses ou appuyant leurs queues bandées ?»… tous mes fantasmes prenaient corps alors !
Attendons la suite.
Soudain, j’aperçois à trois mètres de là la figure bien connue d’un vieux vicelard qui s’adonne à ce plaisir de frotter les femelles dans les foules… et toujours avec quelque hardiesse.
Lui, ne me déçoit pas. Il a dû zyeuter la jolie femme aguichante et aussi repérer, en habitué du frottage de femelle aguicheuse, le manège du binoclard. En effet, dès que l’ouverture se confirme, il se précipite vers ma femme. Celle-ci, probablement encore émoustillée par le premier frotteur, m’a « envoyé » chercher les pommes de terre à un étalage voisin, pendant qu’elle furète, jupette tendue, cuisses arrogantes et escarpins bandants bien à la vue de salauds éventuels, dans un étal de fruits et légumes légèrement en retrait, où la foule devient serrée. Soupesant fruits et légumes, elle pose son panier au sol. Un court instant son cul élargi et bien tendu vers le haut, sous le tissu de la jupette a été une offrande aux yeux insidieux du vieux vicelard et de quelques autres mateurs ou frotteurs à l’affût.
Depuis l’étalage voisin des pommes de terre, fébrile d’excitation, je n’en perds pas une. Hyper excité, j’attends la suite des opérations.
Prestement, le vieux vicelard vient occuper LA place derrière les fesses de ma femme, qui attendaient manifestement une pine frotteuse. Elle ne doit pas être déçue ! Immédiatement l’autre se met en action et plaque son bas-ventre, à peine couvert par un fin jogging, contre le fessier ferme et charnu de ma salope de femelle en chaleur. Elle a dû sentir son insistance car je la vois bouger un peu. C’est vrai qu’il est moyennement discret. Mais, sur la gauche de ce ‘couple’ agité, c’est le binoclard de tout à l’heure qui est revenu se placer, cachant la vue alentour, aux mégères jalouses et moralisantes. Ma femme doit percevoir tout cela car elle ne bronche pas en changeant de place, mais en choisissant des légumes toujours plus éloignés d’elle –cela l’oblige à se pencher en avant et tendre son corps entier dans l’étalage et, donc, à offrir une vue plus complète sur ses cuisses dévoilées plus haut et un angle de contact avec ses fesses encore meilleurs.
Soudain, je demeure muet de stupéfaction à ce que je viens de voir. Le vieux vicelard trique comme un âne : sa bite est à l’équerre et n’importe qui peut l’apercevoir car il exhibe fièrement aux autres types sa bandaison sous son jogging, qui ne dissimule pas grand chose. Il sourit même béatement vers les autres mâles affamés –et vers moi aussi comme pour nous dire : « vous avez vu ? je l’ai frottée cette chienne, elle l’a senti ma queue, je bande ». Par chance, -et pas par hasard sans doute car il a voulu marquer son territoire- ce sont trois types, plus ou moins âgés qui profitent de cette séance pour le moins surprenante. Le binoclard frotteur de tout à l’heure, probablement un peu jaloux et frustré de s’être fait piquer la place. Le vieil espagnol est là aussi, ainsi qu’un petit gros un peu rougeaud, les deux mains dans ses poches, et un vieil arabe à cheveux grisonnants et aux yeux scrutateurs. Discrètement, je m’approche de cette animation érotique. Eux ne se doutent pas que je suis le mari ; elle, encerclée par les cinq vicelards, m’a totalement oublié.
Le vieux à l’équerre reprend sa place et rapplique à nouveau contre le cul offert. Sans fioriture, il revient à la charge et appuie sa tige érectée contre le fessier tentateur bien dans l’axe du sillon dessiné par la jupette. Ma femme le sent aussitôt revenu, car elle a dû reconnaître la vigueur de cette pine, elle tressaille… mais ne se dérobe pas… au contraire. Je vois son arrière-train répondre aux coups de boutoir simulateurs d’une levrette, en allant à l’encontre de la grosseur de la bite frotteuse. Le vieux salaud se régale manifestement et appuie sa queue de plus en plus fort, par de petits mouvements du bassin sans équivoque, serrant ses fesses en brèves saccades.
De temps en temps, il toise du regard les autres types, comme pour dire fièrement : « elle est à moi, les mecs ! »
Rapidement, je jauge la situation. En fait, il n’y a aucune chance de scandale car ma belle femelle n’est entourée que de types, qui en ont après son cul, ses gambettes, ses escarpins ; le tenancier de l’étalage est occupé, les ménagères inquisitrices sont trop loin pour s’apercevoir de quoi que ce soit. Ma femme sait-elle tout cela ? Je crois que oui. En effet, elle ne fuit pas cet attouchement prolongé… au contraire, elle semble l’encourager.
La pine bandée doit lui faire du bien et l’exciter. Pour moi, je suis excité à bloc et je trique comme une bête dans mon futal à cette vision géniale. Le vieux continue à frotter, il est scotché à elle, leurs deux corps sont soudés. Plus de doute pour personne : pour lui –qui sait que LA femme est consentante-, pour elle, qui s’éclate à se faire frotter avec insistance, et pour les quatre types formant le cercle d’initiés, évincés (momentanément ?)…et aussi pour moi qui me régale au bord de l’explosion, tout en me rapprochant au plus près.
En douceur, sans gêner la progression des autres ni leur vision, j’ai réussi à venir me placer sur la droite du vieux vicelard, laissant le binoclard et l’espagnol aux premières loges. Je suis en deuxième rideau par rapport à ma femme, qui ne peut pas me voir… sauf à se retourner, ce que, bien sûr, elle ne fait pas car cela arrêterait immédiatement la séance.
Je souris et fait un clin d’œil au vieux vicelard qui bande toujours contre le cul de ma femme. Il m’adresse une esquisse de sourire crispé, tout en continuant à appuyer sa tige contre la jupette, placée dans la raie culière enfonçant les tissus. Il se cambre au maximum : sa pine reste en place mais tous –les autres mateurs-frotteurs et moi- admirons sa baise simulée.
Ma femme, probablement très surexcitée, provoque encore plus et, soudainement, elle se penche en avant pour ranger une poche d’artichauts dans le panier posé au sol. A ce moment, la folie collective redouble. Le vicelard frotteur est ‘dans l’axe’, il appuie encore plus sa pine à l’horizontale maintenant, quasiment face à la fente de la vulve de ma femme, qui doit être détrempée dans sa culotte (que je sais fine et ample, favorisant les contacts arachnéens). Le vieil espagnol profite de ce bref instant pour palucher doucement la croupe tendue avec le replat de sa main. Ma femme se laisse faire ; elle sait qu’ils sont plusieurs attroupés derrière son cul. Alors, un peu fou, je glisse à l’oreille de l’espagnol : « elle a des bas, si elle se penche encore caresse lui la culotte sous la jupe ! ». Interloqué, il me regarde interrogatif.
Mais l’espagnol n’a pas besoin d’attendre qu’elle se penche à nouveau. Une fois relevée, ma femme plonge bien en avant dans l’étalage pour choisir des tomates éloignées. Sa jupette se tend au maximum sur son cul offert et remonte haut, dévoilant la bande élastique de ses bas dim-up, tandis que son escarpin se frotte contre la jambe du vieil arabe. Le vicelard frotteur doit laisser à regrets le fessier s’éloigner un peu de sa trique tendue, toujours plus visible à nos yeux, ménageant ainsi une petite ouverture pour la pogne de l’espagnol. Ce dernier avance prestement sa main en direction du haut des cuisses, ses doigts s’attardent un peu sur la douceur du fin nylon du bas… ma femme ne réagit pas ; la voie est libre. Alors sa pogne remonte et disparaît sous la jupette. Soudain ma femme s’agite ; il a dû arriver à la culotte ou à sa chatte. En tout cas, elle ne se dérobe pas. Le vicelard, grand seigneur, laisse l’autre palucher la bourgeoise sous les regards envieux des deux autres et le mien surexcité. Je vois son avant-bras se tourner un peu, il doit fourrager sous la culotte car ma femme ondule imperceptiblement de la croupe, se prêtant volontiers à cette caresse en semi-public. Les autres bavent d’envie. Le gros rougeaud tente d’approcher son bas-ventre de la cuisse gauche mais l’espagnol le gêne. Par contre, le vieil arabe, juste devant moi, s’est un peu baissé et, le bras pendant le long de son corps, il peut palucher les bas de ma femme sur sa jambe droite, devenue momentanément accessible. Hélas pour eux, ma femme bouge un peu et interrompt le jeu; il faut bien faire semblant de faire les courses.
L’espagnol retire sa main de dessous la jupette et, sous nos yeux ébahis et envieux pour les autres, il porte ses doigts à sa bouche et les suce avec délectation. Du coup, le vieux frotteur se repointe (ou plutôt repointe sa tige bandée) contre le cul de ma femme. J’entends l’espagnol lui murmurer « zé té lé préparée, elle est a point, elle mouille, la zalope ». Je crois que ma femme a entendu cette fin de phrase car elle se retourne un peu… le regard hypocritement réprobateur, elle a dû pouvoir constater l’attroupement de vicieux et ne m’a pas aperçu, caché que je suis par le vieux frotteur et l’arabe… elle doit me croire encore aux patates !
Surexcité, galvanisé, j’ai envie de plus de sexe, je deviens fou d’excitation et m’adressant au frotteur : « si elle se penche encore, putain, t’as le temps, tu baisse ton froc et tu l’enfiles !» Le mec, incrédule me regarde. Je lui fais un petit « oui » d’encouragement de la tête et je rajoute : « on te cache, personne ne verra rien, y a que des types derrière elle… vas-y, je te dis, tu peux la choper là ».
Le gros rougeaud, profitant de ce que l’espagnol s’était un peu reculé pour lécher ses doigts empreints de la cyprine de ma femme, vient appuyer sa bite à travers son pantalon contre la hanche gauche de ma femme. A-t-elle compris qu’il n’avait eu droit à rien ? En tout cas, sans hésiter, d’un geste direct, la main gauche de ma femme, passant légèrement dans son dos, vient caresser la bosse significative du gros rougeaud qui n’en croit pas son plaisir, et, aux yeux des autres, elle masse consciencieusement sa queue à travers l’étoffe pendant quelques instants. Nous quatre, les autres, voyons nettement ce geste ostensible. Le gros tend son bide et se laisse masser la queue en public. Elle est prête à tout. En tout cas, c’est ce que doit penser le vieux frotteur qui, se souvenant de ma suggestion, s’enhardit et envoie des coups de bassin encore plus appuyés contre la jupette pas mal remontée, suite à la pognée investigatrice de l’espagnol.
Alors, ma femme se penche à nouveau sur son panier pour ranger ses tomates. Aussitôt, en un éclair, le vieux vicieux baisse l’élastique de la ceinture de son jogging et immisce son gros dard, que nous avons à peine le temps d’apercevoir, dur et tendu, sous sa jupette. Il saisit immédiatement ma femme aux hanches car son fessier charnu lui fait face et la visse contre sa pine. Il a dû l’enfiler d’un coup car elle a un soudain soubresaut et un petit gémissement. Aux yeux écarquillés du vieux frotteur, je comprends qu’il l’a pénétrée… la pogne de l’espagnol avait bien dû préparer le vulve mouillée et écarter le rebord de la culotte facilitant l’accès. Ma femme ne bouge plus, jambes tendues légèrement écartées et bien campées sur ses escarpins, le cul haut en arrière. L’autre ne la lime pas vraiment, il impulse de petits coups de bassin, bougeant de manière imperceptible. Personne dans le marché ne peut se douter de ce qui est entrain de se passer ici. L’arabe l’interroge « t’y es didans ? ». Le vieux fait un oui silencieux de la tête (je deviens fou… car je ne vois rien mais je devine tout) et continue ses mouvements frénétiques appuyés, maintenant bien le cul de ma femme contre sa pine enfoncée avec ses deux mains fermement accrochées en haut du replat de ses fesses. Je l’entends haleter de plus en plus vite. Ses yeux deviennent hagards… il est entrain de la baiser !
« Vas-y, pine-la bien, allez » lui dis-je… comme s’il avait besoin d’encouragements. « Fais-lui sentir ta grosse queue ».
Il se retourne un peu vers moi et, grommelant entre ses dents, il me murmure hagard et tremblotant: « ahh ! ça y est, je la baise, trente secondes et je lui décharge dedans … je me la fais cette salope !»
« Ouais, ouais, vas-y, vas-y, tiens-la, prends-la… on te cache… tu peux y aller, vas-y, remplis lui la chatte » ;
Encouragé, dédouanné, excité à bloc, le mec tremble de plus en plus ; il se crispe sur les hanches de ma femme, qui a probablement compris que son baiseur arrivait au bord de la jouissance et reste penchée sur son panier. Putain ! je n’en peux plus moi non plus, c’est le pied total de voir ma femme ainsi baisée au marché, de savoir que trois autres vieux salauds se régalent aussi et voudraient imiter le vieux frotteur. D’ailleurs, le vieil arabe s’est penché et cherche à voir ce qui se passe en dessous, alors que le gros rougeaud, soulevant un peu la jupette de ma femme, touche sa chair en haut des bas et sa culotte.
Soudain, son baiseur explose, dans le silence le plus relatif possible, maîtrisant au maximum l’explosion de son plaisir. Grognant gutturalement, lèvres serrées, il explose dans la chatte de ma femme. Des mouvements saccadés de son bas-ventre m’indiquent qu’il décharge en elle, ses pognes sont complètement crispées sur les hanches de ma femme, dont la jupette est quasiment remontée jusqu’à sa culotte… permettant d’ailleurs aux trois autres de se rincer l’œil avec le soyeux tissu et la chair blanche bien visibles maintenant. Je suis aux anges !
Il doit l’inonder de foutre car il n’en finit pas d’avoir des secousses approfondies, ma femme doit bien sentir le chaud liquide l’envahir car elle ne se relève toujours pas de cette position sans équivoque. Le gros rougeaud sort alors son gland et, agitant prestement sa pogne sur sa tige, éjacule trois belles bordées sur la fesse gauche de ma femme, à moitié sur sa culotte, à moitié sur sa chair et… quelques gouttes à l’intérieur de la doublure de la jupette. Simultanément ou presque, le vieil arabe devant moi, que je n’avais pas eu le temps de voir sortir sa tige brune, basarde quelques bonnes giclées de foutre épais sur ses mollets en maculant ses bas et sur un de ses jolis escarpins.
Son baiseur se retire alors, dévoilant un court instant à nos yeux subjugués une grosse pine dégoulinante et au bout luisant, bandant encore en banane, qu’il range aussitôt dans son jogging. Ni vu, ni connu. Ma femme se relève un peu, mais n’a pas le temps de rabaisser sa jupette car le vieil espagnol l’enfile aussitôt, profitant du passage lubrifié. Plaquée debout contre l’étalage, ma femme ne résiste pas… d’autant plus que personne alentour ne semble avoir remarqué quoi que ce soit. Ils sont soudés l’un à l’autre, debout contre les fruits et légumes. Trois pénétrations appuyées et deux minutes suffisent au vieil espagnol pour éjaculer en elle en tremblant de toute sa carcasse et rallonger la sauce de l’autre, tout en murmurant son plaisir à l’oreille de ma femme. Je le regarde s’activer au cul et dans la chatte de ma femme… mon propre foutre affleure mon gland et se répand dans mon slip.
En trois secondes, le petit groupe se disloque. La jupette de ma femme est retombée, celle-ci a empoigné son panier, se retourne et fait mine de m’apercevoir, comme si de rien n’était, avancer vers elle mon sac à provisions rempli de patates.
L’air un peu bizarre, les yeux légèrement chavirés et le rose aux joues (mais je ne bronche pas), elle me dit : « c’est bon, j’ai tout ce qu’il faut… on rentre ».
Oh, que oui, je sais qu’elle a eu ce qu’il faut… et nous fendons la foule pour prendre le chemin du retour. Elle ne me dit rien, je ne dis rien. Se doute-t-elle que je l’ai vue se faire mettre là dans ce marché ?
En silence, nous rentrons. Je peux juste voir le sperme dégouliner imperceptiblement le long des bas sur ses cuisses, quelques tâches humides sur sa jupette aussi, qui ne trompent pas. Mais le plus visible, c’est bien le foutre de l’arabe sur son mollet, décorant le bas et sur son escarpin noir décoré de perles blanchâtres.
Combien de mâles se sont retournés sur notre passage ? Envieux ?
Avec ma femme, on s’expliquera dans la voiture. Vais-je lui dire que j’ai tout vu ?
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