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Hôtel des Artistes…

Hôtel des Artistes…



Quand j’étais en activité – je suis à la retraite – j’ai beaucoup voyagé. Essentiellement en Europe. La nuit, je devais dormir à l’hôtel. Et j’en ai connu de toutes sortes : des hôtels de « charme », comme on dit, des trois étoiles, des cinq étoiles… Ceux que je préférais, c’était les hôtels situés en ville et non en périphérie, dans ces zones commerciales sans âme ni personne…
Je me suis rapidement rendu compte, en effet, que la soirée et la nuit étaient plus intéressantes dans ces établissements dont les chambres donnaient sur des cours intérieures, des ruelles et des appartements en vis-à-vis plutôt que dans des palaces impersonnels qui peuvent compter jusqu’à 20 ou 30 étages. Comme moi, vous avez pu noter que les appartements qui sont situés face aux chambres de hôtels sont souvent habités par des exhibitionnistes et surtout des voyeurs. Et de tous âges !
J’ai ainsi vécu des expériences bien sympathiques dans ces hôtels en pleine ville, me transformant simultanément en voyeur et en exhibitionniste. Je ne me suis jamais intéressé aux femmes de ménage ou aux room service qui viennent vous apporter le petit-déjeuner et que vous recevez à poil ou en train de vous branler. Non, ce qui m’intéressait, c’était les gens en face et j’ai été rarement déçu.
L’histoire qui me vient en premier à l’esprit se passe à Lyon, dans les années 80. Il y a derrière le théâtre des Célestins, un hôtel bien connu des comédiens : l’Hôtel des Artistes. Les chambres donnent sur l’arrière du théâtre. Quand je passais par Lyon, je descendais toujours à cet hôtel.
Ce jour-là, je fis comme d’habitude : à peine entré dans ma chambre, j’allumai (il était plus de 22 heures), ouvris rideaux et fenêtres et… me mis à poil ! Nous étions en plein mois de juin, avec une chaleur étouffante. Mon sang bouillait, j’avais envie de me branler et je commençais à bander. Visiblement, ma chambre était située exactement en face de ce qui devait être un local technique du théâtre, faiblement éclairé par une ampoule unique et où il n’y avait personne, m’avait-il semblé.
Et je m’installai. Je mis ma valise sur le lit et je l’ouvris. J’étais devant la fenêtre, nu comme un ver, éclairé par une lampe sur guéridon, de profil par rapport à la fenêtre, très visible depuis ce local technique. De temps à autre, j’entretenais mon érection en me caressant la queue.
Je revenais de la salle de bain où je venais de ranger mes affaires de toilette et me dirigeai directement vers la valise quand je choisis de me diriger vers la fenêtre qui était, rappelez-vous, grande ouverte. Dans la rue, en bas (j’étais au premier étage), deux jeunes femmes passaient. L’une m’a vu et a susurré quelque chose à l’oreille de l’autre qui s’est aussitôt retournée. Elles ont étouffé un rire avec leur main, toutes les deux en même temps et sont restées là, 10 ou 20 secondes, à regarder dans ma direction avant de tourner les talons, tout en parlant, très excitées. Je pensais qu’elles n’avaient pas pu voir grand-chose et je commençais à le regretter quand je compris que le réverbère de la rue éclairait en plein ma chambre et qu’il y avait bien pleins feux sur ma bite ! Instinctivement, je me branlais, excité, toujours à la fenêtre.
Puis, je levai la tête et je vis, avec surprise, qu’un homme me matait, immobile, dans la pénombre du local technique. Une vingtaine de mètres nous séparaient. Il voyait donc très bien ce que je faisais et moi je devinais que sa main bougeait lentement à hauteur de sa braguette. Mais comme il était en contre-jour, on ne discernait rien d’autre que sa corpulence qui était forte.
– « Je vais te faire plaisir, mon coco », ai-je murmuré.
Je me suis d’abord mis bien de profil et j’ai commencé à caresser consciencieusement ma bite, remontant des couilles vers mon gros gland, lentement, sur toute la longueur de la hampe. Puis redescendant. En faisant cela, je regardais fixement dans sa direction. Je le voyais bouger, de temps à autre. C’était une sorte de balancement de gauche à droite et de droite à gauche. Ca devait grossir dans son pantalon !
Je changeai alors de position. Je rentrai dans la chambre et, tout en restant près de la fenêtre, vins mettre ma bite sous la lampe sur guéridon. C’était comme une sorte de « poursuite » de théâtre sur ma queue et ma main qui la branlait, en quelque sorte ! Mon gland commençait à me faire mal mais il fallait tenir encore un peu si je voulais une grosse et puissante éjaculation.
De l’autre côté de la rue, je suis certain qu’il se branlait car il bougeait de plus en plus. Alors, j’ai tout lâché. Mon sperme a bondi à plus d’un mètre et a copieusement arrosé la petite table, toujours éclairée par la lampe. Il n’a rien raté du spectacle, c’est certain. Calmé mais toujours en érection, je me suis alors rapproché de la fenêtre, ai posé ma bite sur le rebord de la fenêtre et ai longuement regardé le type… qui m’a alors adressé un signe de la main : un pouce levé appréciateur ! J’ai répondu à son salut d’un signe de la main, moi-aussi… et suis retourné à ma valise.
Longtemps après, toujours à poil, je suis revenu à la fenêtre : mon mateur n’y était plus mais je me suis de nouveau branlé tout de même…
J’ai un autre souvenir qui me vient à l’esprit. Cela se passait dans un hôtel à Angoulême, cette fois. Je me suis exhibé en me douchant. Mais ce sera pour la prochaine fois. Bonne bourre !

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