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La fin du dressage pour Sofia et moi

La fin du dressage pour Sofia et moi



Comme la première partie de notre dressage, même si elle fût humiliante et pénible, nous avait bien plu, mon mari décide avec le groupe de Maîtres de remettre ça quelques jours plus tard, mais cette foi dans les entrepôts de son entreprise.
Durant ces quelques jours, Sofia et moi devons faire abstinence de tel façon à être prêtes comme des chiennes enragées pour la deuxième partie de notre dressage.
Nous nous préparons donc mentalement à cette séance de dressage. Nous ne savons pas ce qu’ils ont concocté pour nous. Mais je leurs fait confiance pour être inventifs. Je harcèle de question Alain qui me tient en haleine en prétendant qu’il n’en sait rien non plus.
« Tu verra bien assez tôt. Christian et les autres sont plein de ressources pour vous. »
Le jour J arrivant, On nous demande de juste mettre un imper sur nous et de rester nues dessous.
Nous somme toutes excitées malgré une angoisse latente qui nous plombe le ventre. Pendant le trajet, je sens ma chatte couler doucement.
Arrivé sur les lieux, nous nous dirigeons vers la grande porte coulissante de l’entrepôt. les Maîtres nous y attendent. Alain déverrouille la lourde chaîne et fait glisser la porte métallique sur ses gonds dan un grincement dramatique. Ils nous entraînent ensuite vers notre lieux de supplice où trône divers instrument de tortures médiévales. Un frisson me glace le sang et remonte ma colonne vertébrale en voyant cette installation qui nous est destinée. Je regarde Sofia comme pour me rassurer. Mais elle semble sereine et même je devine une sorte d’impatience en elle.
Ils enlèvent nos imper et nous voilà nue comme au premier jour devant eux. Alain et Christian appuient sur nos épaules pour nous mettre à genoux, alors que les autres sortent leurs verge avec arrogance. Le début de nos épreuves n’en est pas une et c’est avec plaisir que nous les prenons en bouche pour les pomper un à un. Au bout de quelques minutes, ils cessent pour ne pas éjaculer trop tôt et se réserver pour la suite. Guillaume et Seb, nous affuble d’un collier étrangleur et accroche une laisse. Ils tirent d’un petit coup sec pour bien nous faire sentir l’agression des picots du collier sur nos cous en ordonnant :
« Avancez à quatre-pattes comme de vraies chiennes ! »
David et les autres, nous disent, comme si on ne le savait pas :
« Obéissez à tous nos ordres, sans broncher salopes ! Vous avez compris? »
«Dociles, nous leurs répondons :
« Oui Maîtres ! Merci de nous prendre comme des chiennes ! »
Dans quoi s’embarque-t-on? Je le sais au fond de moi et je ne peux réprimer une peur insidieuse en moi. Mais au même titre que Sofia, je mouille tellement que ma cyprine rend luisante le haut de mes cuisses. Pas question d’arrêter maintenant. Je veux aller plus loin dans ma déchéance de petite bourge BCBG.
Ils nous promènent comme de vraies chiennes et nous demande d’aboyer. Nos glapissements résonne en échos dans ce grand local industriel. Le sol en béton râpe nos genoux. Ben demande à Sofia de se mettre à genoux les mains sur la tête pendant que David me tirant par les cheveux me relève. Debout devant ma copine, Christian m’écarte largement les jambes et pendant que Guillaume glisse une bassine entre mes pieds, il m’ordonne de pisser dedans. Ma vessie est bloquée et je n’arrive pas à en tirer une goutte. Alain va chercher quelques accessoires dans une armoire et revient d’un air aggacé vers moi en me disant :
« Tu es certaine de ne pas vouloir pisser devant nous ? »
J’ai à peine le temps de lui dire que je n’y arrive pas que je reçois un coup de martinet sur les seins. Je pousse un cri de douleur et de surprise en faisant tout ce que je peux pour pisser, mais rien y fait. Le coups pleuvent et me rougissent les seins. Puis c’est au tour de mon coquillage de subir le même traitement. Je pleure et supplie mais rien y fait et tant que le liquide doré ne s’échappe pas de mon urètre. Enfin un jet continu frappe la bassine dans un clapotement cynique. Les coups cessent et le groupe de mâle est ravi de voir cette pluie dorée. Je suis meurtrie et couverte de honte. Mais des fourmillements de plaisir envahissent mon ventre.
Nous sommes totalement sous leur emprise et dans l’humiliation, la honte et la douleur, nous sommes excitées comme jamais.
Sofia se fait baiser la bouche à tour de rôle par les mecs déchaînés. Heureusement qu’elle a comme moi l’habitude des gorges profondes car ils la baise sans ménagement en allant à fond, touchant ses amygdales. En même temps qu’ils lui labourent la bouche, les autres me tiraillent les tétons violemment. Ils me les serrent, les tournent, m’arrachant des cris de douleurs.
Puis ils s’arrêt de lui fourrer la bouche et c’est à mon tour de subir la même chose alors qu’Alain ordonne à Sofia :
« Viens ici et lape la pisse de ma femme dans la bassine ! »
Elle obéit, et comme le ferait une chienne, elle se met à laper mon urine encore chaude.
« Vous avez vu les mecs ? C’est une vraie chienne notre Sofia ! »
Les queue qui buttent contre ma glotte me donnent à un instant un petit haut le cœur. Puis, mises toutes deux à quatre pattes, en sentant l’odeur le la moule dégoulinante de Sofia, je suis obligée d’entreprendre son nettoyage en règle ce qui malgré l’humiliation, n’est pas pour me déplaire.Ma langue lape son clito tout dur d’excitation. Je lape sa rosée odorante et l’aspire entre mes lèvres gourmandes. On ne se préoccupe plus des Maître qui nous observent en rigolant, mais que de notre plaisir en couinant de plaisir. Je fait glisser ma langue le long de sa vulve et la pénètre tel un petit sexe mué d’une vie intérieur. J’aime la lécher. Sa chatte est si douce. Je continue ainsi pendant plusieurs minutes, alternant, l’aspiration de ses lèvres, de son clito et la pénétration de ma langue dans son vagin onctueux de jus de femelle. Sans en avoir reçu l’autorisation, je la fait joui. Sa mouille coule comme une fontaine et je la bois prenant à mon tour un plaisir proche de l’orgasme. D’un coup de laisse qui agresse ma gorge en bloquant ma respiration, Christian stoppe notre plaisir.
« Foutues femelles ! Qui vous a donné l’autorisation de jouir ? »
J’écarquille les yeux lorsque je vois Ben qui glisse sous notre nez une gamelle en inox remplie de sperme d’inconnus. David nous lance :
« Vous allez laper tout ça comme de vraies chiennes ! Il ne doit rien rester. »
Ce sperme a une odeur très particulière et même si Sofia et moi en buvons régulièrement, celui-ci nous rebute. Nous hésitons un instant toute les deux mais recevons rapidement des coups de ceinture qui nous décide à boire cette infâme crème gluante.
Pendant que nous lapons cette semence, les Maîtres nous fouilles les orifices si bien offert dans des va et viens rapides, nous fistant de plus en plus profondément en nous insultant. Des mains nous pincent le clito. Nous gémissons d’humiliation,de plaisir et de douleur. Nous sommes prises dans un tourbillon orgiaque et essayons de nous concentrer sur cette gamelle de foutre.
Nous mouillons comme des salopes. Ils retirent brusquement leurs mains et, toujours affairées sur notre gamelle, nous sentons un liquide chaud frapper nos fesses. Tous de concert, nous pissent dessus. Leurs urines coulent le long de nos trous encore dilatés par les fisting. Une fois leurs vessies vidées et la gamelle de foutre propre, Christian nous dit :
« Vous êtes de très bonnes femelles. Vous êtes obéissantes et votre dressage une vraie réussite. »
Ben s’approche de moi, il me caresse les seins et me dit :
« T’es une bonne salope, j’aime les chiennes comme toi ! »
Il me tire par la laisse et m’amène devant une grande croix en bois. Des sangles sont fixées à chaque branche de la croix. Les autres mettent en marches leurs téléphones que tout cela soit mis sur internet.
J’ai la tête vide. Il m’attache en croix totalement offerte à leurs sévices. Sofia attend sagement au milieux d’eux à quatre pattes.
Puis, se tournant vers notre petite assemblée, il déclare :
« Sofia approche ! Tu aimes les mamelles de Michèle. »
« Oui Maître. »
« Ils sont très sensibles ? »
« Oui Maître. »
«  Bien alors nous allons les tester. Tu vois Sofia ces pinces à seins, sont redoutables, surtout à la dépose. Nous te laissons le soin de les lui installer ! »
Sofia s’insurge ne voulant pas me faire souffrir. Mais elle reçoit aussitôt un coup de ceinture pour son impertinence. Sofia les mains tremblantes les pose sur mes tétons et je gémis de douleur. D’un coup de ceinture, il fait reculer Sofia pour que tous admire son œuvre.
« Belle déco qu’en pensez-vous ? »
Guillaume lui suggére :
« Avec des clochettes se serait plus saillant non ? »
« Oui en effet ! » Reprend mon mari.
« Sofia pose-lui des clochette à cette chienne ! Nous allons les faire tinter ! »
Docile, elle accroche les clochettes au bout des pinces.
David lance une idée tordue :
« Si nous entendons ces clochettes tinter, Sofia sera fouttée à chaque tintement. »
Ils la mettent alors à genoux, les mains sur la tête et Christian vient me pénétrer avec un gros gode mécanique qui se met rapidement en action. L’action de la machine me met dans tout mes états. Mais je tente de ne pas bouger pour ne pas faire tinter les clochettes. Au bout d’un moment je ne peux plus me retenir et me tortille dans tout les sens et le calvaire de Sofia commence. Aucune partie de son corps n’est épargné par les coups de fouets des mâle en ruts. J’explose dans un orgasme dévastateur qui me met pantelante au bout de mes attaches. Sofia est couvertes de zébrures rougeâtres et des boursouflures. Alain vient retirer mes pinces, me provocant de vives douleurs. Les pinces laissent sur mes tétons des traces profondes. Les autres relèvent Sofia qui a du mal à tenir sur ses jambes. Mais ce n’est pas fini car ils veulent découvrir nos limites aujourd’hui. Dans un état second, nous souhaitons aussi aller plus loin et leurs montrer notre asservissement.
Christian nous demande :
« Pensez-vous pouvoir vous tenir sur la croix sans que nous soyons obligés de vous y attacher ? »
Fière dans notre soumission, Sofia et moi acceptons, inquiètes mais excitées.
«  Oui, bien-sûr Maîtres. »
Nous nous mettons en position et nos hommes se saisissent de fouets. Ils tournent autour de nous comme des rapaces sur leurs proies. Leurs mains passent sur nos fesses, nos chattes, nos seins. Puis, très délicatement, les premiers coups ressemblent à des caresses, les lanières s’enroulant autour de nous.. S’en suit, comme une tornade. Les coups de fouets s’intensifient. Les coups pleuvent, sur nos ventre, le haut de nos cuisses, nos fesses, nos seins et et le bas de nos dos. Nos corps ne cessent de monter en ébullition. Nous nous lâchons sans pudeur aucune en gémissant et en nous tordant sous les coups. Nous nous surprenons à savourer ce moment. Nous ressentons même l’envie d’en recevoir davantage. Lorsqu’il arrêtent, nous sommes tiraillées entre le désir de continuer et l’envie de goûter à leurs queues dans une orgie où nous deviendrons les consentantes victimes.
« Merci Maîtres ! Donnez nous vos bites et défoncez vos chiennes ! Nous voulons boire votre sperme ! »
Dans un tel cri du cœur, nos esprits sont déconnectés. Nous avons le cœur au bord des yeux mais nous ne pleurons pas. Ils nous offrent leurs belles verges et en quelques minutes nous devenons amoureusement leurs vides couilles.
Tous épuisé de tant de sensations, Christian et Alain nous félicitent.
« Vous devez être fière des marques que nous avons laissé sur vous et de la semence que nous vous avons offerte. Vous pouvez être fières ! Maintenant, vous allez passer les prochains jours à penser à nous en admirant les traces que nous vous avons laissé  sur la peau. »
Sur ces mots, nous terminons cette belle soirée et rentrons chacun chez nous.

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