Ma meilleure amie est mon esthéticienne. Cela fait maintenant 3 ans que je fréquente son institut à raison d’une fois par mois. Bien sûr nous nous voyons aussi en dehors car des meilleures amies ne se contentent pas d’une fois par mois. Léa et moi sommes très libres, très libertines. Enfin, moi depuis pas si longtemps. Nous parlons souvent de sexe. Nous nous racontons nos soirées coquines avec nos mecs… Bref le courant passe très bien.
Il y a 2 ans, un matin du mois d’août, je me rendais à l’institut pour mon épilation mensuelle des aisselles et des jambes. Mais cette fois-ci j’avais décidé d’y ajouter le maillot. C’était la première fois que j’allais me faire épiler cette partie du corps. J’aimais bien parler de sexe mais montrer mes parties intimes à une autre personne que mon copain et mon gynéco était pour moi impensable.
Ce jour là, je décidai cependant de sauter le pas car c’était devenu une habitude pour les filles de mon entourage qui se foutaient un peu de moi. En tout cas Léa accueillit cette nouvelle avec un petit sourire de satisfaction. Nous entrâmes dans la petite pièce rose et jaune d’épilation qui sentait bon la lavande. Petite pièce qui reste aujourd’hui l’un de mes endroits préférés. Léa s’approcha de moi, passa ses bras autour de ma taille et descendit la fermeture de ma jupe qui tomba à mes pieds. A chaque fois, elle prenait elle-même le soin de me dévêtir que ce soit pour l’épilation des aisselles ou des jambes. Ce rituel avait pour effet de me rendre toute chose et elle le savait. J’aimais sentir ses doigts sur ma peau, son souffle près de ma bouche. En soutien-gorge et en string je m’installai sur la méridienne de cuir blanc.
Léa resta debout face à moi. Nos regards se croisèrent et ce fut le signal. Je savais déjà ce qui allait se passer et sans me l’avouer j’attendais ce moment depuis très longtemps. Ses mains caressèrent mes pieds, remontèrent sur mes jambes puis frôlèrent mes cuisses en faisant de petits mouvements circulaires. Je commençais à avoir chaud. Ma respiration s’accélérait. Ses douces mains se posèrent sur l’échancrure de mon string déjà humide et le firent glisser lentement sur mes cuisses pour enfin me l’enlever. Puis elle dégrafa mon soutien-gorge.
Mes seins apparurent énormes et fiers. Leur taille, imposante, parut la ravir. Les mamelons dressés réclamaient milles et uns baisers. Ils ne tardèrent pas à être honorés par les savants coups de langue de la coquine, qui me procurèrent beaucoup de plaisir. Plaisir qui accéléra la production de sève juteuse de ma petite chatte.
Laissant de côté ma poitrine, elle se dirigea vers mon mont de Vénus qui n’en pouvait plus tant il attendait qu’on s’occupe de lui. Elle glissa un doigt puis deux dans ma fente maintenant largement ouverte. Elle fouillait au fond de moi. Tout mon corps avait chaud. Elle accéléra le mouvement. Je me cambrais. Je gémissai de tout mon saoul. J’en voulais plus !
Mes jambes s’écartaient toutes seules. Encore, encore ! Un 3ème doigt vint participer à la fête. Mais celui-là c’est à mon clitoris qu’il s’en prenait. Il le cherchait, oui ! Le malaxait, le caressait, hmmmmm ! il lui faisait du bien. Non, c’est à moi que ça faisait du bien ! D’un seul coup elle arrêta tout. Je la regardais, les yeux tout rond. Non, encore ! semblaient-ils dire.
Elle ouvrit un tiroir et en sorti un somptueux phallus en plastique. Soulagée, je lui adressais un grand sourire de satisfaction. Elle enfonça ce membre en moi et le fit bouger avec délicatesse puis de plus en plus vite, de plus en plus loin. Mes lèvres s’ouvraient toujours plus. Je hurlais ma satisfaction. Je jouissais et la regardais, elle, cette fille qui me faisait du bien. Ma liqueur inondait la méridienne. J’étais au paroxysme du bonheur.
Elle s’arrêta à nouveau et me regarda en passant sa langue sur ses lèvres. J’imaginais que ses lèvres étaient les miennes. Celles qui sont entre mes cuisses et qui, à ce moment, dégoulinaient de délice. Elle sourit et me dit :
– « La prochaine fois je goûterai ton fruit ».
Histoire by Laura
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