Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…
Julie, pute de l’école. Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.
– Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème.
Julie frissonna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement.
– Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !
Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.
– C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher son irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse.
Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans son pantalon.
– Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?
Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint son attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.
Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de son membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.
– Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien.
Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale.
– Et nous alors ? gronda le blondinet.
Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira son gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième.
– C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre son membre jusqu’à la garde.
Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.
– Je vais bien m’occuper de toi…
Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raison ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.
– Aaaaah !
Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.
– Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sortit son membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.
Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet.
Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec son portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet.
– Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique.
Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.
– Aïe !… cria Julie. Oui… J’aime ça !
Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle.
Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de son petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser son insertion mais le black avait une autre idée en tête.
– Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !
Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de son fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus brutal. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.
– Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses.
Julie ne contrôlait plus son corps. Elle était comme possédée, criant son plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée.
Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de son vagin. De son côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester son plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de son corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre son engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur son joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner.
Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.
Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec son téléphone.
– A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.
Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.
– Pas maintenant.
– J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi. C’était le deal.
Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :
– C’est vrai. Mais pas devant elle.
Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.
Julie se retrouva toute seule. Elle observa son reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur son visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raison. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.
– Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout.
Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.
Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui.
– Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…
Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?
– Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi.
Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit son sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans son dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille…
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