Précédemment : moi Hugo, 23 ans, je vis avec mon père trans qui, après m’avoir surpris dans mes petits plaisirs, s’est occupé de moi.
– Je sais que tu te plais dans notre petite routine secrète, mais je crois que tu es prête pour essayer de nouvelles choses. Ca te dirait que j’invite des amis à la maison ?
– Je ne sais pas ce que tu as comme idée maman, mais je t’aime et je suis prête à tout pour toi.
– C’est bien ma fille, répond ma mère en me caressant le visage. Dans ce cas il va falloir qu’on t’entraine un peu, viens je vais te montrer ma collection personnelle.
Je suis ma mère dans sa chambre, me vois dans la glace mise en face du lit, et je me trouve sexy dans la lingerie de ma mère. Cette pensée fait perler quelques goutes de sperme.
– Je ne t’ai rien encore montré et tu taches déjà ta culotte. Voilà, dit-elle en ouvrant une valise.
A l’intérieur il y a plusieurs godes, certains assez gros, dont un ressemblant à une queue de cheval qui était long mais surtout large, avec son énorme gland en forme champignon.
– Je vois que ton regard se porte sur mon étalon. Je ne pense pas que tu sois prête pour ça encore, on va commencer par ce modèle.
Ma mère sort une gode très long avec un gland à chaque bout, large d’au moins 5cm.
– Assis toi en face de moi et écartes bien les jambes.
Je m’exécute, et ma mère fait de même. Elle libère sa queue qui ne demandait qu’à sorti de sa petite culotte aux motifs léopard. Elle commence à se branler et à lécher les deux embouts du sextoy, puis elle écarte sa culotte et enfile avec une facilité déconcertante une dizaine de centimètres.
J’ai envie de me toucher aussi, mais alors que j’approche ma main ma mère m’arrête.
– Non bébé, tu vas en mettre partout sans ta couche. Je vais te faire du bien autrement ma chérie tu vas voir.
Ma mère retire le plug de mes fesses, et je sens son sperme de ce matin qui commence à sortir.
– Ton anus reste ouvert, c’est tellement beau, et ça va bien glisser avec tout ce ju.
Je suis surprise comment j’accepte facilement ce gode en moi, j’ai même envie qu’il aille plus loin, plus profond. Comme si elle lisait dans mes pensées, ma mère commence à bouger le gode rapidement d’une main tout en se branlant de l’autre à la même cadence. Lorsque je vois ma mère éjaculer, je sens à mon tour l’orgasme venir. La dernière pression du gode sur ma prostate me fait décharger.
Après s’être remise, elle décide de m’offrir un de ses godes pour que je m’entraine toute la semaine. Ce modèle était plus large que le précédent, dans les 6cm. Le 1er soir j’ai du mal à le faire rentrer, mais j’insiste car je suis excitée et curieuse de voir ce que ma mère me réserve avec ses amis. A la fin de la semaine, je montre les résultats à ma mère en m’empalant devant elle.
– Tu es prête pour la dernière étape, m’annonce-t-elle en sortant son gode qui imitait en tout point la queue d’un cheval.
Je ne sais pas si je suis prête à pouvoir m’enfiler un gode aussi gros, et ma mère lit l’inquiétude sur mon visage.
– Ca va aller, allonges-toi et prend ton biberon que j’ai mis de coté.
Le biberon est presque entièrement rempli de sperme, et pour une telle quantité je sais que tout ne viens pas uniquement d’elle et moi. Je m’allonge et commence à boire, ce qui me rassure et m’apaise. Après quelques instants compliqués, j’entends un cri de joie venant de ma mère.
– La tête est entièrement rentrée, c’est le plus dur, c’est bien ma chérie. Maintenant je n’ai plus qu’à jouer avec.
Et là pendant cinq bonnes minutes, je suis pilonnée par cet énorme queue, je ne sais plus ou donner de la tête et je continue de boire le contenu du biberon de plus en plus avidement.
Lorsque ma mère arrête je découvre que j’ai dû jouir 2 ou 3 fois vu comment les draps sont souillés. Une fois le gode sorti, je ressens un vide. Ma mère essaye de me remettre le plug mais il ne tient plus en place tellement je suis dilatée.
– Je vais pouvoir organiser notre petite soirée, mes amis vont t’adorer ma chérie, ils vont bien prendre soin de toi.
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