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RDV BDSM

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Cela fait un certain temps que j’échange sur xhamster avec des inconnus du site. Ils aiment dominer virtuellement la belle libertine sans tabou que je suis et ils apprécient mon mon côté pervers.
Aussi lorsque l’un d’eux m’invite au restaurant, après mûre réflexion et avec une certaine hésitation, j’accepte. Pour l’occasion, j’enfile une robe de soirée courte et très décolletée. Arrivé au rendez-vous, je suis assez angoissée. Il m’accueille avec un large sourire en me découvrant dans cette robe très sexy.
Se remémorant de mes histoires, il me demande assez directement :
« Bonsoir Michèle ! Tu es en beauté. Cette robe te va comme un gant. Serais-tu nue dessous ? »
Je pique mon fard. Un serveur proche de nous a entendu et sourit légèrement en me matant à la dérobée. D’une voix feutrée à peine audible, je lui murmure :
« Vous êtes bien indiscret. Et bien non. J’ai des dessous. »
Il se raidit et me regardant froidement, me répond d’un ton sec :
« Tu oublies tes bonne manière Michèle ! Non qui ? »
Il veut déjà jouer ce jeux avant même de commencer la soirée. Je suis un peu décontenancée mais je me plie à son exigence.
« Non Monsieur !»
Il a un petit sourire satisfait et continue pour me provoquer ou m’humilier en me demandant à haute voix :
« Et que portes-tu sous cette robe ? »
« Juste un string Monsieur. »
« Ôtes -le et donnes-le moi ! »
Mon regard croise celui du serveur qui sourit. Je suis morte de honte. Pourtant je m’exécutes et tends mon string qui met dans sa poche.
Le repas se déroule agréablement. A la fin du repas, il me dit :
« Je t’ai réservé une petite surprise. »
Je suis inquiète quand nous montons dans sa voiture mais n’ose lui demander où il m’emmène. Au bout d’une demi-heure nous arrivons devant une longère. Il m’ouvre très galamment la portière et avant de me faire entrer dans la maison, il me bande les yeux. Je suis fébrile mais je me laisse faire.
Nous entrons dans la maison et là, il m’ordonne :
« Enlève ta robe ! »
Docile, j’obéis et me retrouve nue. Malgré mon angoisse, la situation est excitante. J’ai des papillons dans le ventre et je sens que je mouille. Nous entrons dans une pièce où je perçois le bruit d’un bouillonnement d’eau. Il me guide pour entrer dans ce que devine être un jacuzzi. L’eau est chaude. C’est agréable. Des bulles chatouille mon sexe et je me détends.

Ses mains se mettent à parcourir mon corps. Ses douces caresses font monter en moi des vagues de plaisirs. J’ouvre ma bouche sous l’effet sensuel de ses doigts qui s’invitent dans mon intimité. Il en profite pour y glisser son membre tendu que je commence à sucer sans même qu’il ait besoin de me le demander.
« Oui c’est ça ma belle ! Applique-toi bien! Je sais que tu adore sucer alors fait toi plaisir avec ma grosse queue ! »
Ses paroles m’électrise et je le suce avec une réelle gourmandise.
Alors que je sens son membre prêt à éjaculer, il se retire de ma bouche en me disant :
« Pas si vite Michèle ! Nous avons toute la nuit. »
Je suis une frustrée. Il me sort du jacuzzi, fouille ma chatte pour vérifier mon état d’excitation et toujours les yeux bandés, il m’affuble d’un collier et d’une laisse en me disant :
«  A quatre pattes chienne petite chienne ! »
Comme je ne suis pas assez rapide à son goût pour me mettre en position, je reçois un coup sec sur les fesses. Il me fait marcher à quatre pattes en me tenant en laisse, comme on le ferait avec un a****l de compagnie. Il s’amuse de me voir ainsi et me demande :
Aboies et fait la belle ! »
J’aime se genre d’humiliation. Il le sait et je ne me fait pas prier pour obéir.
En récompense j’ai le droit de lui lécher la queue. Pendant que je le suce, il m’enlève mon bandeau. Sur le coup, la lumière m’aveugle. Puis je m’y habitue et là quelle n’est pas ma surprise de découvrir quatre hommes qui me regarde sucer avec des yeux avides et qui se branle devant le spectacle que je leur offre bien malgré moi. Je comprend mieux maintenant de quelle surprise il me parlait. Perturbée, je m’arrête de le sucer.
Mécontent de ma réaction, il me couche sur ses genoux et m’administre une fessée magistrale. Les claques s’abattent sur mon pauvre petit cul dont la couleur vire rapidement au rouge écarte. Je me débat, je crie, je supplie, mais rien y fait. Mon cul est en feu.
Il invite alors les quatre mecs à s’approcher.
« Approchez mes amis venez jouir du spectacle en attendant de jouir de cette petite pute ! »
Tout en se branlant, ils se moquent de moi. De m’entendre gémir sous les coups, ces quinquas bandent de plus bel. En passant ses doigt dans ma fente, il constate :
« Messieurs, Michèle aime mon traitement ! Regardez ! Elle dégouline de mouille !  Cette salope ! »
Il me relève en tirant sur la laisse et me tire vers une table basse ou il m’oblige à monter.
« Alors mes amis ! Si nous procédions à la saillie de notre femelle ? »
Ils répondent en cœur :
« Avec plaisir ! Nous allons voir si ta petite chienne est prête a se faire enfiler. »
L’un d’entre me dit pour m’humilier un peu plus
« Je suis vétérinaire alors j’ai l’habitude d’inséminer les petite chienne comme toi ! » 
Puis, s’adressant au Maître des lieux il lui dit :
«  Tu l’a bien dressé ! On voit bien qu’elle est chaude et n’attend qu’à se faire enculer ! »
Ils éclatent de rire comme si la tirade de ce salop était marrante. Je suis rouge de rage, d’humiliation et de honte. Mais en même temps j’aime être à la place où je suis.
C’est le départ pour l’orgie dont je suis la victime. Une bite viens de défoncer la chatte bestialement pendant qu’on me baise la bouche. Ces porcs passe à tour de rôle en soufflant comme de bœufs. Ils jouissent sur mon cul et dans ma bouche. Malgré moi mon corps exulte et je joui également. L’un d’entre eux lance :
« Mais elle joui sans notre autorisation cette chienne ! »
Un vieux baise ma bouche avec force et son irrumation est violente. Je suffoque. Je bave.

Tout en m’enfilant la chatte, un mec me doigte le cul sans ménagement puis essaye de me sodomiser. Je me retrouve remplie de tout les côté., dilatée, exploitée. Je suis plus pour eux qu’un garage à bites. Non content d’être aisi aservie, voilà qu’il leurs prend l’idée de me faire bouffer trois bites à la foi. J’ai mal à la machoire.
Je suis pris de convulsions. Je suis comme une damné tremblante, habituée par des êtres malsains. Mais ils n’ont que faire de moi et poursuivent leur œuvre. Je les entends dire :
«  Son cul est un bonheur ! Qu’es ce qu’on est bien dedans ! »
« Explosez-lui le cul à cette branleuse ! » Rajoute un autre.
Après le forçage de ma bouche, il s’en prennent à mon cul et à mon vagin pour voir combien de verges ils peuvent y garer. A poil sur une table, je prends toute la mesure de ma déchéance et de mon humiliation. Je ne suis plus qu’un objet sexuel entre les mains de pervers qui abusent à outrance de moi.
Je ne sais plus où je suis. J’avale du sperme, je suis remplie, j’en prend tant que ça déborde. Je suis une vrai chienne. Je ne suis plus moi-même ou plutôt je suis à ce moment une vraie femelle en chaleur, la chienne lubrique qui sommeille en moi. On me tire sur la laisse et bloque mes bras dans mon dos pour que ces malades jouissent sur moi et inondent mon visage et mes mamelles de sperme. Le liquide onctueux et tiède coule sur ma face, dans ma gorge, mes yeux et se mêle à mes larmes. Les mâles en me regardant rigolent et félicitent leur ami d’être en possession d’une si belle petite chienne.
Je crois que mon calvaire est terminé mais il souhaite m’humilier encore plus.
Heureux de ces compliments, il dit à ces amis en prenant un paquet de feuilles:
« Je vais vous lire les amis l’historique de nos conversation sur xhamster. Vous allez voir, c’est édifiant.Comme vous avez pu le constater, ses caractéristiques de petite salope lubrique ne sont pas que du fantasme. »
Après cette lecture, s’engage un questionnaire pour mieux me rabaisser encore.
«  Quel âge as-tu putain ? »
« 50 ans Messieurs. »
« Quand as-tu commencé à te faire défoncer salope ? »
« A 13 ans Messieurs. »
« Par qui chaudasse ? »
« Par mon Tonton Messieurs. »
« T’as des enfants pétasse ? »
« Oui ! Deux filles Messieurs. »
« Elles sont aussi pute que toi ? »
« Je ne sais pas Messieurs ? »
Je réponds à leurs questions comme une automate dans la position la position obscène où je suis.
« Quand as-tu eu tes dernières règles connasse ? »
Je rougie sur une question aussi curieuse et intime.
« La semaine dernière Messieurs »
Des dizaines de questions m’assaillent, plus intimes les une que les autres. A peine ai-je fini de répondre à l’une qu’un autre arrive. Je me sens perdre pied. Epuisée et complètement déstabilisée par le tour que prennent les questions. 
« Mouilles-tu rapidement comme une grosse chienne en chaleur ? »
« Oui Messieurs »
Lorsque cela s’arrête enfin. Ils me font entrer dans une cage et le Maître me dit :
« Nous allons nous pencher sur la suite à donner à ton initiation ! »

Je les entends décider de mon sort comme on décide d’utiliser un objet. Mes membres s’engourdissent dans l’étroite cage. Quand ils m’en sortent, c’est pour m’attacher et me suspendre à une poutre. Je m’attends à être flagellée, mais je vois, avec un frisson de crainte, l’un des hommes s’approcher avec un seau de pinces à linge.
Tous deux commencent à me les placer une à une sur le corps. La morsure des pinces est douloureuse. Aucune partie de mon corps n’est épargné. Lorsque le seau de pince est vide, les mecs s’écartent pour admirer leur œuvre. Ils me laissent subir la morsure cuisante des pinces un long moment et me disent,
« Maintenant, nous allons te les enlever au fouet ! »
Je serre les dents alors que les coups se succèdent rapidement. Chacun leur tour, ils tentent de faire sauter avec plus ou moins de précisions les multiples pinces qui recouvre mon corps endolori. La douleur est intense. Je ne peux plus retenir mes cris.
Lorsqu’ils s’arrêtent enfin, je suis détachée et totalement anéantie, je suis une loque qui leur tombe dans les bras. Avec une grande délicatesse, il me lavent dans la salle de bain et m’enduisent d’une crème apaisante. Je renfile ma robe sans attendre et un taxi m’attend pour me ramener chez moi.
Il me dépose devant ma porte mais avant que je descende, il me dit :
« Ma p’tite dame, vous oubliez de m’régler la course ! »
Je suis surprise car je croyais que c’était mon internaute de maître qui avait réglé. Je pense que j’avais assez payé de ma personne quand même.
« Mais je n’ai rien sur moi monsieur ! Je monte vous chercher de l’argent »
« Non non pétasse, ton maître m’a dit que tu payais en nature ! Alors suce moi salope ! »
Heureusement pour moi, il éjacule rapidement dans ma bouche. J’avale naturellement sans qu’il ait à me le demander. Et je m’enfuis chez moi torturée entre honte et plaisir.Dans mon sommeil agité, je me demande si je répondrais à son prochain mail.

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