Côtoyant Andrée durant une bonne parti de l’hiver. Elle avait réussi à peaufiner mes aptitudes sexuelles le faisant ensemble en moyenne de deux à trois fois par semaine. La madame m’avait tout apprit fourrant dorénavant de la bonne façon. Aidant certaines de ses amies qui m’étaient inconnues jusqu’à présent excepté Michelle. Une dame de 61 ans qui n’avait vraiment pas le profil de l’adultère. Mère deux fois et grand-mère de trois petites filles. Mariée depuis déjà 36 ans avec une routine bien établie. Mince, châtaine aux yeux verts portant des lunettes. Avec une poitrine tombante bien galbée. Elle n’avait connue qu’un seul homme dans sa vie. J’arrive alors chez elle en début de soirée dans le but de déneiger son entrée. Son mari absent pour des raisons quelconques. La madame m’avait accueilli après ma corvée avec un verre de gin ajouté à du miel et de l’eau chaude. Pour ensuite engager une longue conversation ensemble au salon. Apercevant par moment assis sa petite culotte blanche sous sa jupe courte. Revenant dans l’heure de la salle de bain ne portant que son t-shirt gris pâle. Avec sa toison grise mouillée bien apparente apparaissant au bas de celui ci. Pour ensuite fourrer solide sa petite chatte serrée par en arrières sur son long divan couleur vert pomme. Puis sur le côté avec sa jambe droite appuyée sur mon épaule. Svelte et sérieuse avec le regard plaintif dirigé vers l’arrière. Apposant sa main droite sur mon torse imberbe. Éclaboussant le meuble de quelques jets de cyprine. Citant mon prénom à plusieurs reprises durant l’interaction. Je savais maintenant qu’Andrée et elle étaient de très bonnes amies. Car elle m’avait fait une fellation du tonnerre avant le début des hostilités…
Moi – Vous vous connaissez depuis longtemps…
Michelle – Un bail…
Moi – Ah…Ok…
Michelle – Elle m’avait prévenue que tu allais assurer…
Moi – Alors…T’as aimée…
Michelle – Passablement…Je suis venu trois fois en une demi heure…C’était vraiment trop bon…
La madame au corps souillé remettant ses vêtements avec sa chatte remplie de mes semences. Elle voulait seulement le faire une fois. Mais elle m’avait avouée qu’elle allait peut-être changer d’idée au courant de la semaine. Même si elle aimait toujours son mari.
Vint Louise dans la même perspective de rapprochement. Apportant le journal de Québec chez elle depuis peu. Une autre madame déjà mariée dans la soixantaine. Petite et menue mesurant 5 pieds avec de gros seins ronds. Brunette aux yeux bruns. Grand-mère depuis peu sa fille ayant eu un enfant. Passablement riche vu l’apparence et les dimensions de sa maison. Son mari travaillait pour Hydro-Québec. Elle m’avait accueilli avec des chien-chauds à la saucisse merguez. Ajouté d’une sauce au pomme tout à fait délectable. Puis d’une deuxième rouge très épicée. Me signifiant qu’elle était une bonne amie d’Andrée et que son conjoint allait être absent pour la semaine. Elle m’avait chevaucher pendant plus d’une heure. La dame exprimant plusieurs Allez…Résiste…durant l’interaction. Avec mon corps allonger sur un tapis en fourrure d’agneau devant le foyer du salon. Démontrant son énergie sexuelle explosive durant l’interaction. Vorace de sexe chaud. Elle avait déjà coucher plusieurs fois avec le fils d’une de ses amies par le passé.
Puis une anglaise durant l’été s’appelant Sylvia. Je comprenais son dialecte à environ 85 pourcent. Pour y aller d’un dialogue de mon côté très approximatif. Divorcée et célibataire. Elle avait apparemment connue beaucoup d’hommes dans sa vie. Une belle blonde de 67 ans aux yeux bruns. Avec de gros seins en forme de bananes. De ma grandeur mesurant 5 pieds 6 pouces faisant un peu d’embonpoint. Une vrai cochonne qui avait une attitude assez dominatrice. Après l’avoir fait plusieurs fois durant quelques jours consécutifs. Elle m’avait obligé à lui faire l’amour en sous-vêtements de dentelles gris foncés pour femme. Portant ceux ci avec une robe de soirée de couleur noire les lèvres rougies. Pour finalement m’uriner dessus une fois dirigé vers l’extérieur de sa maison le soir. Fourrant dans une petite pataugeoire gonflable en pleine nuit sous une pluie battante. Elle m’avait chevaucher pendant une bonne vingtaine de minutes sous une température assez froide. Faisant ainsi durcir la pointe de ses seins comme des petits cailloux. Ses voisins immédiats pouvaient peut-être nous voir ou bien nous entendre dans la pénombre de sa court arrière non-éclairée. Devenant ainsi l’acte sexuel fait en publique le plus osé jamais subi de mon côté. J’étais revenu dans son lit pour la fourrer par en arrière quelques instants plus tard. Avec sa petite culotte rose pâle souillée et imbibée d’urine sur ma tête. Très expressive elle s’exprimait beaucoup durant l’ébat…
Sylvia – Come on…Fuck me…Fuck me…Harder…(Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…)…
Prenant son opulente poitrine tombante de mes mains. Sylvia était une chaude mature insatiable de sexe.
Puis vint la dernière et non la moindre Lucie. Brunette aux yeux bruns ultra cochonne. Ressemblant un peu à la politicienne Nicole Léger mais en plus belle. Âgée de 64 ans avec des courbes et une grosse poitrine. Petite mesurant 5 pieds 3 pouces, célibataire et séparée de son conjoint depuis quelques années. Voisine de Sylvia elle nous avait entendu puis vue nous accoupler durant la nuit sous la pluie battante. Trouvant ce fantasme presque irréel voulant répéter l’exploit elle aussi. Elle invita même sa soeur un peu plus vieille pour le faire à trois un jour de pluie. Prenant celle ci par la porte arrière. Elle adorait se faire sodomiser par des petits jeunes dans des circonstances particulières. Fourrant les deux madames dans le jardin puis dans son lit. M’obligeant même à me raser le pubis puis leurs chattes une fois entrée dans la maison. Pour ensuite lécher leurs vieilles fentes absolument délectables. Immaculant les couvertures de terre noire, de sueur, de cyprine et de semence pendant la soirée.
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