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Belle Yaëlle (1)

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Belle Yaëlle

Soir 1 : Rencontre

Il est à présent 7h du matin, cette nuit encore je n’ai pu dormir… Sept jours, sept nuits, sept putains de nuits … je suis épuisé.

J’ai tenté en vain de prendre des médocs pour m’assommer, de boire jusqu’au c***, rien n’y a fait.
Tout cela à cause de cette nana, de cette chose qui me hante en permanence, ho, au début j’ai trouvé cela sympa… mais à présent je comprends que je n’aurais pas dû.

Cela a commencé il y a tout juste une semaine, comme à mon habitude je recherchais des sensations fortes, du plaisir vite fait, une quelconque prostituée ou même une pauvre nana qui aurait abusé de cette boisson à succès qui désinhibe et augmente l’appétit sexuel. Je remerciais notre merveilleuse société d’avoir autorisé ce genre de produit car bénéfique au bien être mental des concitoyens… Vaste blague, mais bon, tout le monde y trouvait son compte, même ces pauvres tâches trop timides qui n’osaient aborder des femmes ou ces femmes complexées qui n’assumaient pas leurs corps…

Bref, ce soir-là je ne sais pas pourquoi mais je n’avais pas trouvé de nana à mon goût, trouver une nana prête à s’envoyer en l’air n’était pas difficile en soi, mais trouver le genre de chienne que j’aimais baiser à même la rue dans la crasse de cette ville croupissante d’autosatisfaction c’est plus dur.

Mon adrénaline à moi c’est le vice, c’est la dépravation, plus le sexe peut être bestial et dégradant, plus ça me plait, baiser comme une brute une femme shootée à ce « X-trm » devant ses copines ou son mari, lui-même en train de se faire pomper par n’importe quelle bouche, ou alors fouetter jusqu’au sang une jeune femme ne sachant plus si elle doit hurler au secours ou lâcher un rire hystérique tant cette drogue légale vous bousille tout sens des réalités, , c’est ce qui me fait bander dur, vraiment dur. Ce n’était pas l’acte que j’appréciais le plus, même si il faut l’avouer j’adore atteindre cette débauche de sexe ; mais plutôt la satisfaction que le lendemain, lorsque la drogue se sera entièrement dissipée, les esprits n’auront quant à eux rien oublié.

Mais ce soir-là je craignais de devoir faire appel à une de ces bornes automatique qui vous masturbe et vous suce jusqu’à entière satisfaction. Mais elles sont illégales et véhiculent les MST vu que tout le monde vient avec son hygiène douteuse et que le système de désinfection automatique tombe régulièrement en panne entre deux clients.

Je commençais à désespérer lorsque je l’ai vue, cette nana à faire bander un cadavre, de dos une de ces beauté, un châssis de rêve, de longs cheveux noirs, rasés en partie comme ces punkettes que l’on voit un peu partout dans les rues. Des mèches rouges entourées d’autres d’un mauve très sombre, un cou d’une finesse, de ceux que l’on pourrait briser d’une main, surligné à la perfection par un tatouage étrange, remontant finement le long des arrêtes arrières de sa nuque, comme des pointes remontant de ses épaules. Malheureusement en partie masqués par la masse de sa chevelure sombre.

Une chute de rein parfaite, moulée dans un haut sombre présentant des ouvertures, comme des traces de griffes dévoilant quelques portions de peau, invitant aux désirs les plus primaux. Et ce cul, bordel ce cul, je pense ne jamais avoir vu pareille merveille d’aussi loin que ma mémoire puisse remonter, il faut dire que ce pantalon noir en cuir le mettait parfaitement en valeur. J’espérais instantanément être tombée sur une jeune femme prête à toutes les orgies, à m’en demander toujours plus jusqu’à risquer la mort pour jouir davantage.

J’avançais lentement, la dévorant du regard, prenant un plaisir inqualifiable à m’imaginer les pires scènes de stupre.

Arrivé enfin derrière elle, je réalisais l’objet de son attention, une femme à genoux dans la rue en train de pomper au bas mot une dizaine de lascars, en y regardant de plus près je constatais la taille des membres de ces gars, tous montés comme des minotaures. En train de fourrer au plus profond la gorge de cette salope qui semblait en redemander. Les insultes fusaient de partout, les crachats et les gifles. De multiples mains déchiraient les vêtements de la femme, attrapant au passage ses seins flasques et lourds. Elle, n’était pas à mon gout, pas vraiment moche, juste inexistante, le genre de nana que tu peux croiser mille fois dans la rue sans jamais la remarquer. Mais son comportement était tel qu’immédiatement mon sexe se mit à tressaillir, gonflant mon pantalon.

Cette femme au milieu des lascars était visiblement incapable de supporter des sexes enfoncés aussi loin, pourtant ses mains se plaquaient sur les fesses du veinard comme pour l’attirer toujours plus loin, les mouvements de queue se faisaient dans un gargouillis permanent de bulles de salive, ressortant même par ses narines, c’est un bruit délicieux que beaucoup d’hommes rêvent d’entendre un jour et qu’ils leur arrive souvent d’imaginer dans leurs fantasmes les plus machistes.

Cela ne semblait en tout cas pas déplaire aux gars devant moi, chacun à leur tour finissant par jouir dans la bouche de la pompe à bite à genoux devant eux, comme implorant le pardon divin. Le foutre se mélangeant à la salive, la lubrification devenait alors plus efficace encore, à tel point que l’un d’eux, ayant un sexe disproportionné mais impossible à bander dur réussit à enfoncer son sexe jusqu’aux testicules, déformant au passage la gorge de cette femme, son visage vira au pivoine, ses yeux crispés à l’extrême, ses mouvements de gorge impliquant forcément son envie de recracher, de régurgiter sexe, sperme et contenu de l’estomac, mais ses mains restaient immuablement sur les fesses du gars, l’attirant toujours aussi loin et violemment vers sa jouissance.

Je me trouvais à ce moment derrière « elle » mais légèrement sur sa droite. Elle si parfaite, si digne devant cette scène d’orgie buccale. D’où je me trouvais je ne pouvais voir son visage mais juste discerner les traits de ses lèvres provocant immédiatement l’envie irrépressible de l’embrasser, d’y glisser langue doigt ou toute autre partie du corps. Des lèvres charnues, mais pas de celles que l’on trouve sur le marché du silicone ; non, des lèvres parfaites, rouges, timides, aux arrêtes franches et dessinées à la perfection. Plus je la regardais et plus mon cœur battait, battement repris en cœur par mon sexe.

Soudain une main vint se poser sur la bosse de mon entre jambes, débutant immédiatement un massage
des plus délicat, comme timide mais pourtant réel.

Ce fut elle qui entama la conversation

« Cette scène ne vous laisse pas non plus indifférent »

Il est rare que je puisse être désarçonné mais je ne balbutiais alors qu’un malheureux

« Je… oui… c’est très excitant »

« Cela fait près d’un quart d’heure qu’elle subit ce traitement sans faillir, qu’est ce qui la pousse à faire cela vous croyez ? »

Reprenant un semblant de contenance tandis que cette main délicate me massait à présent le sexe à pleine main à travers mon pantalon

« X-trm sans aucun doute, c’est très à la mode en ce … »

Elle venait de resserrer sa main sur mon sexe, ses ongles s’enfonçant malgré le pantalon dans mes burnes, provoquant un sursaut de crainte et une pointe de douleur. Relâchant un peu son étreinte elle reprit

« Non, ce n’est pas ça, à votre avis pourquoi ? »

« Je… parce qu’elle en avait envie »

Erreur de ma part, sa main se resserrait une nouvelle fois mais davantage, provoquant une vive douleur et un réflexe de retrait pour ma part, soldé par un échec, je suis resté bloqué, comme coincé dans un putain d’étau.

« tss tss, ce n’est pas ça non plus, laissez libre court à votre imagination, je suis sur qu’un pervers tel que vous peut y parvenir »

Cette jeune femme était aussi flippante que bandante, je ne suis pas un gringalet, que du contraire, en général les mecs préfèrent éviter toute confrontation avec moi, j’ai une réputation de cogneur et de sociopathe, mais à l’instant, étrangement, je comprenais qu’il faudrait m’arracher les burnes si je voulais m’éloigner d’elle.

« Regardez mieux la scène »

J’obtempérais et regardais, les hommes ne la violentaient pas, pas de couteau sous la gorge, pas de mains la maintenant bloquée avec ces sexes enfoncés jusqu’à la garde, rien ne laissait constater un quelconque viol, mis à part le malin plaisir que ces gars semblaient à voir s’étouffer la femme tandis qu’ils se vidaient dans sa gorge en l’inondant des pires insultes. Elle continuait d’elle-même à les attirer et pourtant son visage déformé par les grimaces les plus ridicules montrait à quel point elle souffrait de ces sexes énormes qu’elle engloutissait…
Pendant ce temps la main de ma belle s’était remise à me procurer le plus délicieux des massages.

« Elle semble le faire d’elle-même mais en même temps d’y être contrainte, comme… » je me disais que j’allais dire une connerie mais tant pis « … comme si elle était possédée »

Regardant le visage de ma belle je constatais un sourire se dessiner sur son visage, un sourire empreint d’une certaine forme de satisfaction mêlée au sadisme froid des pires bourreaux. Sa main
ne s’était d’ailleurs pas resserrée non plus sur mon entre jambes, j’étais dans le bon.

« Tu t’approches, elle n’est pas possédée, elle est en effet sous l’emprise d’une force plus grande que sa volonté… à ton avis ? »

Sa main venait de défaire les boutons de mon pantalon avec une telle dextérité et en l’espace de si peu de temps que je ne me rendis compte que c’était arrivé qu’une fois mon sexe palpitant bondissant hors du pantalon, sa main d’une douceur et d’une délicatesse incomparable reprenant aussitôt le massage, ses mains étaient également fraiches, rien de tel pour augmenter le plaisir d’un homme lorsque son sexe est brûlant de désir.

« … Parce que tu le veux… »

C’était à la fois une affirmation et une question, je n’étais pas sur mais c’était sorti tout seul, je n’avais pas réellement réfléchit, comme si d’instinct mon corps avait répondu

« Biennnnn, ce n’est pas tout à fait cela mais tu es trop proche pour être punit » et reprenant aussitôt tandis que sa main me branlait à présent, imprimant un lent et implacable mouvement de bas en haut « elle le voulait, elle le fantasmait, ils le voulaient également, alors je leur ai demandé à tous de le faire et ils se sont exécutés »

« je … je ne comprends pas »

« Tu vas comprendre, as-tu envies que cette femme vienne te lécher les bourses tandis que je te masturbe, et lorsque tu seras sur le point de jouir, qu’elle te pompe de toute ses forces tout en régurgitant tout le sperme qu’elle a déjà avalé ? »

Ce qu’elle venait de me demander me dégouta presque autant que cela augmenta mon plaisir, jamais je n’aurais envisagé de glisser mon sexe là où le sperme d’un autre venait d’être rependu, et pourtant en même temps mon excitation et mon envie étaient tels…

Comme si elle avait lu dans mes pensées…

« Et tu pourras voir enfin mon visage »

Je n’hésitais plus une seule seconde

« Oui ! »

« Maman, as-tu envie de venir pomper Mr ? »

Maman ??? Que venait-elle de dire ? Cette femme était donc sa mère ? Comment une femme aussi banale pouvait-elle avoir enfanté pareille créature de rêve ? Comment une fille et mère pouvaient avoir ce genre de relation ? Comm…

Toutes ces questions en l’espace d’un instant, tandis que la mère regardait dans notre direction, fixait mon visage, puis mon sexe, puis sa fille et faisait part de son approbation en clignant des yeux.

« Alors viens le faire mais masse lui d’abord les bourses avec ton visages et ta langue »

Aussitôt la femme relâchait son étreinte sur les fesses du lascar et se mit à venir à quatre pattes vers nous, se rapprochant elle me permit de constater à quel point son visage était ravagé par ce qu’elle venait de faire, son visage était couvert de salive et de sperme, des vaisseaux sanguins avaient fini par exploser sous la pression lorsqu’elle se forçait à pomper les lascars…

En parlant des lascars ; eux n’étaient pas du tout satisfaits de ce départ précipité et le faisaient savoir par un déluge d’insultes tout en remontant leurs pantalons. D’ailleurs certains avaient visiblement l’envie de punir celle qui venait de leur retirer leur jouet et se rapprochait, décidés, en insultant ma belle.

Elle ne fit rien d’autre que de pointer du doigt le groupe de dix hommes, en désignant un en particulier qui s’effondra sur le sol l’instant suivant, nuque brisée nette.

« Lorsque j’offre un cadeau on en profite, lorsque je le reprends on se tait » Sa voix venait d’être autoritaire, glaciale et brûlante à la fois, elle ne hurla pas, haussa a peine le ton mais

je réalisais que si j’avais été celui à qui s’adressait la remarque, je serais parti sans demander mon reste, surtout après avoir vu ce que j’avais vu. Elle poursuivit

« Une autre plainte à enregistrer ? »

Le groupe se dispersa aussitôt dans l’obscurité, mon regard ne s’était posé que sur les lèvres de cette créature et sur le groupe d’hommes, je n’avais donc pas réalisé qu’entre-temps sa « mère » s’était rapprochée, le baiser glacial de son visage recouvert de sécrétions diverses se frottant sur mes burnes brulantes me fit baisser le regard vers elle . Non seulement son visage était ravagé mais ses yeux également, injectés de sang, les micro vaisseaux de ses yeux avaient certainement également éclatés sous l’effort, un peu comme les yeux de certains culturistes après un effort trop intense. Son regard était en plus celui d’une démente ; me fixant avec une telle intensité, aussi avide de luxure que de terreur, que je ne pourrai l’oublier de ma vie. Le premier de ces regards et pas le dernier…

On aurait pu croire que sa vie dépendait du fait que son visage devait entièrement être balayé par mes couilles, se frottant comme une forcenée en tirant la langue, sa bouche émettant ce bruit caractéristique que fonts ces salopes lorsqu’elles joues aux chiennes et qu’elles vous bouffent les couilles.

Des bruits de succion de salive et de sperme, elle utilisait mes couilles pour ramener les sécrétions à sa bouche avant de les aspirer bruyamment. Puis les recrachait de sorte à ce que mes couilles les étalent à nouveau sur son visage. Pendant ce temps la main parfaite de ma sublime créature continuait son mouvement de bas en haut sur mon sexe, le plaisir montait inexorablement.

Je suis de ceux qui peuvent se retenir pas mal de temps avant d’éjaculer sur ou dans une femme, peu importe le trou, mais en ce moment il m’était dans l’impossibilité de me retenir ne fut ce qu’un peu, le plaisir montait davantage encore du fait que je ne maitrisais plus rien.

J’arrivais alors à l’apogée de mon plaisir, mon sexe se gonflant encore davantage, le gland devenu maintenant violacé

« Vas y maman c’est maintenant »

Aussitôt que ces mots furent prononcés, la mère vint aussitôt « avaler » mon sexe, littéralement, sans aucune hésitation ni arrêt. C’est sûr que ma queue n’était pas aussi longue et énorme que celle des gars de tout à l’heure mais elle est tout de même bien épaisse et d’une raideur toute autre que les morceaux de viande mi pendants de tout à l’heure. Néanmoins elle l’avala d’un coup, la salive explosant sur mon bas ventre lorsqu’elle toussa et que sa gorge se mit à tenter de recracher ce sexe, me prodiguant à moi un massage indescriptible, ses mains se mirent sur mes fesses et imprimèrent le rythme, régulier et implacable, à chaque fois me faisant heurter son visage avec mon bas ventre et écrasant mes couilles sous son menton, le bruit des gargouillis de sa bouche autour de ma queue, le son qu’elle émettait en tentant de régurgiter mon sexe, ses yeux crispés à l’extrême tandis qu’elle luttait de toute ses forces pour ne pas vomir, tout cela conjugué me propulsa dans les méandres d’une jouissance d’une telle intensité que je ne remarquais pas la fille venir se placer face à moi et me regarder en souriant . Ou plutôt si je la remarquais mais dans ma fulgurante jouissance, mon cerveau ne réalisa pas tout de suite ce déplacement, ni le mouvement de ces lèvres semblant m’adresser un message, je jouissais tout mon saoul, gémissant, les dents crispées, le corps tendu au maximum tandis que je me vidais dans la gorge de cette femme.

Ce n’est qu’une fois cet instant passé et que mes esprits revenaient lentement à moi ; la mère me suçant toujours le sexe ramollissant, plus lentement, comme pour le nettoyer et pleurant à chaudes larmes ; que je réalisais que la sublime créature n’était plus là… Je n’avais pas souvenir de son visage, enfin pas correctement, juste quelques traits me rappelant vaguement quelqu’un.

Et ses lèvres, qu’avaient elles voulu dire ?

Mon esprit était presque entièrement fonctionnel et je me dis à décrypter les quelques images qu’il me restait d’elle. Tandis que sa mère se levait en ayant pris soin de remonter mon pantalon et me le remettre, partant ensuite sans un mot, sanglotant.

« Je … attendez… » balbutiais je

Elle ne se retourna pas, tourna au coin d’une ruelle et je ne tentais même pas de la poursuivre pour avoir des informations ou des réponses. Je restais là comme un con

Je la revoyais encore et encore, tout en marchant je réalisais peu à peu à qui son visage me faisait penser…

Angèle…

Ma fille…

Fin du chapitre 1.

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