J’étais allongé dans mon lit mais il faisait une telle chaleur que j’avais rabattu ma couette sur ma hanche et avait crée une « boule » sur laquelle je m’étais vautrée, de cette façon je laissais tous mon dos à l’air libre afin de me rafraichir tout en m’ayant crée un petit cocon. Je sentais chaque courant d’air provenant de la fenêtre ouverte, c’était tellement agréable, c’était comme sentir des centaines de plumes minuscules qui partaient de la plante des pieds remontant le long des mollets avant de m’effleurer le dos . J’aurais pu dormir en dehors de la couette mais je fais partis de ces personnes qui été comme hiver ont besoin de leur couette moelleuse, si je ne me fait pas mon cocon avec ma couette je suis incapable de dormir je me sens fragile, non protégé.
J’avais fini par m’endormir profondément dans cette position confortable bercée par les bruits du vents dans les arbres se trouvant sous ma fenêtre et les quelques oiseaux nocturnes. Je devais être plongé dans mes rêves lorsque je finis par sentir un souffle léger effleurer délicatement la base de ma nuque. Le souffle semblait si loin de mon corps et pourtant si près à la fois, provocant une sensation bien étrange au fond de mon estomac, comme si on venait d’y jeter une pierre qui venait de couler à pics. Au début mon corps n’avais pas réagis. Il m’arrive de sentir ce genre de petit souffle sur mon cou comme si un insecte se baladait sur mon corps mais je me rend bien vite compte que je suis seule. Parfois j’aime à croire qu’il s’agit de quelqu’un, où tous du moins une présence, qui en serait responsable. Quand à mon esprit, lui il était embrumé par le sommeil et surement plongé dans un rêve dont je ne me souviens pas
Chaque souffle sur mon cou provoquait un frisson qui me parcourait entièrement le corps comme une décharge électrique de faible intensité mais qui déclenchait en moi un nombre de sensations toutes aussi distinctes les une que les autres, commençant par une effet physique: la chaire de poule. Je pouvais la sentir se rependre sur l’ensemble de mon corps, se diffusé dans chaque cellules, dans chaque fibre de mon corps, éveillé par cette décharge qui se propageait.
Mon corps semblait griser et contrôler par la respiration de ce corps qui galvanisait le mien.
Plus les minutes passaient plus je sentais chaque souffle effleurer mon corps, à l’instar du corps dont cela semblait provenir. Je sentais la présence d’une personne couché dans le lit à coté de moi dont mon esprit semblait ignorer l’identité et pourtant je ne semblait pas inquiète d’avoir un inconnu dans mon lit, aucun trouble anxieux ne m’envahissait ni ne semblait pouvoir me réveiller. A croire que mon corps connaissais ce corps qui semblait vouloir se coller a moi.
Ces souffles si doux éveillaient petit à petit mon corps aux plaisir de la chair. En effet plus cela se rapprochait et plus les décharges électriques q étaient intenses et excitantes. Mon corps était entièrement contrôler par ces vibrations qui partaient de la base du cou, descendait le long de la colonne vertébrale jusqu’aux reins comme des milliers de fourmis électrique qui suivraient mon système nerveux jusqu’à mes reins avant de descendre droit vers mon entrejambe. Cependant malgré ça mon esprit ne semblait pas vouloir se réveiller, il savourait tellement. Mon point faible par excellence entre les mains de mon partenaire, qui semblait savoir comment je réagirais à ces « attaques » savait il où appuyer, où toucher ?
La respiration de mon partenaire me contrôlait , car à chaque souffle, à chaque décharge, mon corps se contractait et se cambrait, cherchant le contact d’un autre corps contre lequel se frotter, encore et encore. Ces mouvements sont indépendants de ma volonté, et plus je sentais cette respiration plus mes mouvement se faisait avide, j’avais chaud, très chaud. Mon corps me faisait parfaitement comprendre qu’il avait envie de plus, de bien plus.
Suite à une vibration, mon cul finis par toucher cl corps de mon partenaire qui avait finis par se rapprocher légèrement du mien. Je sentais son entrejambe sous son caleçon, heureusement que le coton est plutôt doux cela rendait le frottement agréable pour nous deux, du moins je l’espérais, il glissait sur son membre en semi érection, je sentais son gland sortir le bout de son nez et glissez sur la peau de mes fesses car moi j’étais entièrement nue, comme à mon habitude, je dors tellement mieux lorsque je suis nue, les draps à même la peau et souvent cela donne des opportunités d’amusement comme maintenant.
Alors qu’un nouveau souffle me faisait de nouveau frissonner et couiner le plaisir que cela me procurait, je sentis comme une main se poser sur ma hanche, son pouce me caressais la peau d’une façon douce et électrisant, allant et venant frôlant partiellement ma peau provocant encore plus de vibrations, à croire qu’il avait réussi à électrisé l’ensemble de mon corps avec sa simple respiration. Cette mains finis par se diriger vers mes reins, suivant les formes de mon corps. Utilisant la pulpe de ces doigts et ces ongles il remonta de ma hanche , vers le creux de ma taille avant de descendre vers le centre de mes reins en une griffure érotique.
Néanmoins il n’y avait aucune douleur dans cette griffure bien au contraire cette sensation démultipliait le désir, cette zone étant méga sensible, la sensation des ongles glisser sur ma peau m’irradiait bien plus que sa respiration, mais les deux ensemble fis exploser mes sens. Je m’arqua tellement que je finis coller à mon partenaire de la taille jusqu’aux pieds , je sentais son membre tressaillir contre la peau de mes fesses, je trouvas ca tellement excitant de le sentir, de sentir son désir s’exprimer par les soubresaut de son membres, ces ongles planter dans ma chair, je sentais mon cœur battre la chamade.
J’étais à bout de souffle, je sentais mes petites lèvres et mon vagin se contracter de plus en plus, réclamant une chose bien particulière que mon partenaire semblait vouloir me refuser pour le moment. Il semblait prendre plaisir à voir mes réactions comme je pouvais en juger par la taille de son sexe, dresser de toute sa splendeur entre mes fesses, mais ce n’est pas la que je le voulais. Je me contorsionnais, me cambrais, ondulait du bassin, je voulais son sexe au plus profond de moi, le sentir aller et venir, frotter contre ma parois utérine, buter sur mon col de l’utérus en une douleur exquises. Il m’a suffit que je cambre suffisament les reins pour réussir à placer son sexe sous mes fesses, je sentais son gland buter contre mes cuisses et j’étais tellement humide, glissante, que son sexe n’eu aucun mal à se glisser de tous son long entre mes cuisses. Je pouvais le sentir frotter contre mes grandes lèvres alors que mon corps continuait à subir les assaut de sa respiration et de ces doigts.
Il semblait ne pas vouloir s’arrêter à ça car quelques instant après il entreprit une nouvelle « torture » sensorielle et physique, il commença par poser simplement ces lèvres derrière mon oreille et entrepris de me dire quelque chose, malheureusement je ne compris aucun mots qu’il semblait m’adresser, simplement des murmures et autres sons parvenaient jusqu’à mes oreilles. Il posa ces lèvres sur ce triangle de peau sous l’oreille si sensible puis entrepris de descendre vers la base du cou, se dirigeant vers mon épaules, déposant nombres de petits baisés qui commençaient à avoir le même effet sur moi que ça respiration. Arrivé sur l’os de mon épaule, il le mordilla avant de revenir en arrière, toujours en déposant des baisés, il finit par descendre vers mes omoplates ou ces baisers ce firent plus intenses, redoublant l’effet électrisant qui irradiait l’ensemble de mes cellules et donc l’ensemble de mon etre.
Alors que le haut de mon corps subissait ces assauts galvanisants, le bas subissait lui ces assauts excitants. La combinaisons des deux provoquait…. A dire vrai mon cerveau n’arrivait pas à trouver les mots qui pouvait décrire correctement ce que mon corps et mon esprit ressentait. C’était un flot continue de besoin, de désirs, de frisson mon esprit avait surchauffer, je n’arrivait plus à penser ou à réfléchir, mon corps était en roue libre, complément à sa merci et j’adorais ça. C’est d’ailleurs lors d’un de ces moments, alors que son sexe se trouvait aux portes de mon être, qu’il finit par mordre cette zone plus sensible que les autres, il me pénétra d’un coup puissant alors que je rejetais la tête en arrière avec un cris sourd sur les lèvres.
Je m’agrippais au matelas , enfouissant ma tête dans l’oreiller pour atténuer le bruit des cris de plaisir que je ne pouvais pas empêcher de sortir de ma bouche, à chaque coup de queue qu’il me donnait. J’étais tellement mouillé et excité qu’aucun freins ne pouvais le retenir, et j’adorais ces moments où il lâchait totalement prise, laissant son corps et ces pulsions parler pour lui. Rare sont ceux qui arrive à atteindre cette zone de son esprits, car qu’importe la situation, nous passons notre temps à réfléchir, nous ne savons pas mettre notre cerveau en pose même pendant une partie de jambes en l’air, c’est pour cela que lorsqu’on arrive à atteindre une certaine symbiose de corps et d’esprit ou vous arrive à faire disjoncter son cerveau et celui de son partenaire pendant une séance de sport à l’horizontale, il faut savourer l’explosion sensorielle que cela provoque et surtout pas ce retenir.
Ces lèvres ne lâchaient plus ma peau, son souffle m’électrisait au passage et tandis que ces ongles étaient plantés il me pénétrait avec fougue au point que ces bourses venaient claquer sur mes cuisses, encore et encore, de plus en plus fort. Je pouvais sentir chaque centimètre de son sexe qui s’enfonçait en moi, qui allait et venait. Plus il s’enfonçait plus je sentais que je perdais pied. Je serrais les cuisses tous en contractant mon vagin afin d’augmenter la pression et le plaisir de le sentir caresser mon intérieur comme il me caressait à l’extérieur.
Je sentais que je perdais pied que j’étais au bord du précipice de mon plaisir, je pouvais sentir que mon partenaire était lui aussi pas loin de la jouissance, j’accentua un peu l’angle de pénétration et il ne fallut que quelque coup de queue pour qu’il jouisse en moi alors qu’il me mordait cette zone si érogène ce qui provoqua alors ma propre jouissance.
Alors que je jouissait j’ouvris les yeux. Je sentais mon sexe tressaillir et aussi mouillé qu’après un orgasme. Encore groguis par l’orgasme je plaça ma main droite dans mon dos afin d’aller à la recherche de ce corps qui venait de me donner autant de plaisir, malheureusement mon lit était comme à son habitude… vide
Je m’éveillais d’un rêve érotique, seule dans mon lit vide et personne pour assouvir ce besoin que ce rêve avait réveiller au fond de moi.
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