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esperance

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Suite à mon invitation tu arrivas chez moi vers midi. Tu étais délicieusement belle et sensuelle, une robe légèrement transparente qui me laissait deviner les courbes de ton corps, des escarpins à talon assez haut qui élançait tes jambes vêtu de bas.
Je te propose d’aller prendre un verre dans le jardin pour profiter de cette belle journée de printemps et des rayons du soleil. Tu t’assois au bout de la table et je parts chercher une bouteille de champagne.
J’admirais par la fenêtre ta beauté et ta fraicheur, tu avais croisée tes jambes et ta robe arrivais au dessus de tes genoux, tu penchais ta tête en arrière et ouvrit un peu le décolleté de ta robe pour que les rayons du soleil caresse ta peau. Quel délice de t’observer, j’allai de ce pas chercher mon appareil photo et discrètement je fis quelques clichés de toi avant de te rejoindre avec les coupes.
Pendant que je sers les coupes, tu n’as pas changé de position, tu glisse même tes mains derrière ton cou pour t’étirer tout en me lançant un regard coquin, quel bonheur, mes yeux s’attarde sur ton décolleté, je devine tes seins nus sous ta robe, tes tétons pointent légèrement.
Je suis debout devant à te contempler, mes yeux vont et vienne sur ton corps magnifique, tu es merveilleuse. Nous trinquons à cette belle journée et à notre rencontre. Nous discutons de la manière dont nous nous sommes abordés sur internet. Pendant que tu me parles tu glisses ton index dans ta coupe de champagne puis sensuellement tu fais glisser la goutte sur ton cou, je la regarde lentement descendre entre tes seins. Tu me demande d’approcher et tu me murmure à l’oreille «il fait chaud au soleil» je me mis derrière toi, tu gonflas ta poitrine et je versais un filet de champagne par-dessus ta robe sur chacun de tes tétons, ils mirent à pointer. Tu posas ton verre, attrapa mes fesses me plaquant contre ton dos, je sentais ma verge se raidir, lentement je commençais à me frotter à toi, puis je vins m’accroupir devant toi, pris tes seins dans mes mains et commenças à les lécher au travers de ta robe, j’aspirai tes tétons en m’abreuvant du champagne qui leur donnai un divin gout, pendant que je les mordillai tu m’enlevas ma chemise, tes mains parcourais mon dos et mon cou, puis tu appuyas ma tête entre tes seins. Mes mains remonte le long de tes jambes, glisse sur tes hanches et s’échoue sur ta poitrine, je les libère, je me redresse et les contemples, ils sont parfait je les aime déjà. Debout devant toi, tu commences à caresser mon sexe par-dessus mon jean’s tu me dis «quelle belle bosse» je réplique «libère la de ce carcan, tu vas voir comment elle te désire» d’une main tu commences à malaxer mes testicules et de l’autre décalotte mon gland je te dis «oui serre la bien fort, branle la bien, coquine» tes geste étai délicieusement précis et rythmés. Tu baissas entièrement mon jean’s et doucement je l’approchai de tes seins je te dis «serre la entre tes seins, coquine, fait la bander encore plus» et tu me répondis «oui mon cochon, je vais te la faire bander comme jamais elle n’a connu» pendant que tu la fait aller et venir entre tes seins je versai un filet de champagne sur ma verge tu me dis «garde en un peu pour que j’en ai dans la bouche lorsque je vais avaler ton gland»
Hummmm je me dis, une femme aussi jolie, aussi bien faite, coquine, cochonne et gourmande, mais pourquoi ne pas s’être rencontré plus tôt. Sur ce tu t’allongeas sur la table, la tête en arrière et me dit «viens mon salaud, viens me baiser la bouche». Je n’en revenais pas, tu étais là, allongée sur le dos, les seins au soleil, ta petite robe transparente couverte de champagne, quel bonheur. J’allais dans ta bouche de plus en plus profondément, mon gland gonflait, j’avais l’impression qu’il allait exploser, tu appuyais sur mes fesses et rythmais mes coup de reins, mes couilles frottait ton visage, je te dis «oui ma cochonne, bouffe ma queue, jamais on m’a fait cela, oui coquine» chacune de mes mains s’occupait de tes tétons en les pinçant, en les malaxant, puis tu relevas tes jambes, ta robe était collée à tes genoux tellement elle était couverte de champagne, je la fit glisser jusque sur ton ventre et découvrit ton fruit d’amour, hummmm ta petite chatte était déjà bien ouverte et trempée alors que je n’y avait pas encore touché. Ma queue se raidit encore un peu plus à cette vision, je la retirai de ta bouche, tu me dis «et bien mon salaud, elle est bien bonne ta queue, enfin tu me laisse respirer un peu» et je te réponds «tu suce divinement, tu sais y faire, j’en ai le gland qui vas exploser» je fis le tour de la table et te dit «reprend une coupe de champagne, maintenant c’est à mon tour de gouter à ton jus» et sur ce tu réplique «oui, fait moi sortir le clito de son capuchon, fait le exploser que je te remplisse un verre de mouille»

Sur la table était posé une corbeille de fruits, je pris une belle fraise et commença à la frotter entre tes lèvres déjà légèrement ouverte et humide, allant et venant, la fraise se couvrit de ta de cyprine, je la portai à ma bouche et en croquât un bon morceau, hummm que cela est divin, la chaleur de ta mouille se mélangeant à la fraicheur de la fraise, puis je recommence avec une autre fraise mais celle-ci sera pour toi, je l’approche près de ta bouche, sensuellement ta langue glisse autour de la fraise, doucement tu commences à la sucer avant de l’avaler complètement, que tu es merveilleuse. Je repris encore une fraise mais cette fois ci je titille ton clitoris, j’écrase la fraise entre mes doigts et commence à le branler, hummmm il se gonfle et sort de sa cachette. Tu me dis «oui, vas-y, branle bien, suce le fait couler ma chatte», je montai donc sur la table pour satisfaire ton envie. A quatre pattes au-dessus de toi, mon visage entre tes jambes à me délecter de ta chatte, tu attrapas ma queue et de nouveau tu recommence à me sucer le gland, hummmm «oui, coquine suce le bien, branle ma queue te dis-je». Je pris une banane que j’épluchai puis tout en suçant et aspirant ton clitoris qui maintenant était complétement sorti et tendu commenças à te pénétrer, des gémissements sortais de ta bouche, tu pressas fort ma queue, je senti le désir t’envahir tout en me disant «oui mon cochon, enfonce, enfonce la bien profond».
Ce que je fis avec grand plaisir, je l’enfilai plus vite et fort dans ta chatte qui maintenant dégoulinais de cyprine, plus je l’enfonçais plus tu serrais ma queue, mon gland était énorme, à chaque fois que la banane tapai ton fond de vagin, tu trempais mon gland dans ta coupe de champagne puis ensuite le suçai. La banane était entièrement en toi, hummmmm je branlai fort ton clito pour que doucement elle ressorte, quel délice de la voir apparaitre couverte de mouille, je la croquais au fur et à mesure de sa sortie, tu me pressas tellement la queue que je sentais un filet de pré cum coulant sur mon gland, «vas-y coquine glisse ta langue dans mon gland, délecte toi de ce jus» et juste à ce moment tu jouis tellement fort qu’un puissant jet envahi ma bouche, hummmmm que cela est délicieux de te faire jouir ainsi.
Puis nous nous asseyions l’un à côté de l’autre pour reprendre nos esprits tout en trinquant de nouveau avec nos coupes de champagne.
Que cela étai divin. Je te propose maintenant d’aller prendre une petite douche pour finir ce que l’on à commencer et tu me réponds avec un regard coquin « avec grand plaisir mon cochon»………

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