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Quand Margot devient chienne 36 et fin.

Quand Margot devient chienne 36 et fin.



Du changement peut-être ?

– Ben dit donc, tu n’es même pas bronzée !! Ce n’était pas la peine d’aller en Afrique. Tu étais où d’ailleurs ?
– Au Cameroun. Mais je n’allais pas bronzer en si peu de temps. De plus il faisait très chaud mais le soleil est comme voilé en cette saison, alors.
– Ouais, et puis tu n’as pas dû être souvent à l’extérieur hein ?!
– Oh !!! Pour qui veux-tu me faire passer Anne ? Quand même !
– C’est ça oui, dis moi aussi que tu étais au couvent …
Les deux amies se retrouvaient une fois de plus dans leur club favori. Anne n’alla pas plus loin dans ses commentaires ou ses questions. Depuis le début il était convenu qu’elle n’en parlait pas entre elle. Chacune disparut à son cours et elles se retrouvèrent après à la douche.
– Anne, tu veux venir avec moi cette après-midi ?
– Cette après-midi, attend, euh … Non, je ne peux pas.
– Ah, dommage, je voulais qu’on fasse les magasins toutes les deux.
– Bien écoute, une autre fois avec plaisir, mais là, je ne suis pas libre.

Lorsque Laurent gara sa voiture sur le parking du château, ce début d’après-midi était très chaud. Le soleil était haut et la chaleur écrasait tout. Nous n’étions pourtant qu’à la fin du printemps. Mais à part un léger bruissement dans les feuillages provoqué par une brise légère, on n’entendait rien. Pas même les oiseaux habituellement si bruyants. Ils devaient eux aussi faire la sieste dans quelque havre de fraicheur.
Sur le parking, la voiture d’Anne était déjà là. Mais à part ça, l’endroit semblait désert. Laurent marcha jusqu’au perron et comme toujours, sorti de nul part, le croque-mort ouvrit la porte à son arrivée. Il le salua et poursuivit son chemin vers la tour et l’escalier de pierres froides. Au moins là, une douce fraicheur tempérait l’endroit. Il descendit calmement et poussa la porte de bois clouté. Aucun son si ce n’était le discret ronronnement de la climatisation. Il s’arrêta sur le seuil, laissant à ses yeux le temps de s’habituer à l’éclairage indirect.
Il retira sa veste qu’il déposa sur le dossier d’une chaise et avança de quelques pas. Anne était là. Juste un peu plus loin. Nue. À quatre pattes sur les tapis. Elle ne bougeait pas. Ne disait rien.
– Bonjour Féline.
– …
– BONJOUR FÉLINE !
– Pardon mon Maître, bonjour mon Maître.
– Tu ne m’as pas entendu ?
– Si bien sur, mais je n’étais pas sur que vous vouliez que je parle.
– Ah. Très bien, tu es pardonnée alors.
– Merci mon Maître.
Laurent fit le tour de Féline sans plus rien dire. Il passa le dos de sa main depuis son cou jusqu’à ses fesses. Un frisson lui parcourut l’échine. Il se baissa sur un genou et appuya sa caresse en épousant le galbe de ce cul si appétissant. Machinalement, Féline écarta davantage les cuisses. Laurent en profita pour s’aventurer entre.
– Mais dit moi ! Tu mouilles déjà ma salope ! Je t’ai à peine touchée !
– Mon Dieu, vous me faites un tel effet mon Maître !!!
– Je vois ça oui.
Laurent se releva et abandonna Féline juste un instant. Il se déshabilla entièrement et revint se mettre devant elle. Il se baissa et se mit à genoux, la queue en semi érection déjà. Naturellement, Féline tendit un peu le cou pour atteindre l’objet de son désir. Quelques petits coups de langues bien placés suffirent à faire relever la chose. C’est donc presque complètement raide que le sexe gonflé disparut entre les lèvres de sa suceuse préférée. D’ailleurs, les mouvements de succion qu’elle faisait avec sa langue et ses joues eurent tôt fait de parfaire la raideur du pieu de chair chaude. Laurent attrapa la tête de Féline et s’enfonça jusqu’au fond de sa gorge. Elle avait maintenant le nez dans la courte toison de son pubis et sa respiration se faisait plus difficile. Il lui permit donc de se dégager afin de retrouver son souffle mais elle reprit rapidement sa succion. Laurent la laissa faire à son rythme. C’était d’ailleurs fort agréable ainsi. Alors pourquoi changer quand c’est bon. Tout de même, au bout de quelques instants, il voulut calmer ses ardeurs, il ne voulait pas jouir de suite. Il avait d’autres projets. Il se retira donc et ordonna à Féline de se lever.
– Viens par ici ma salope ! J’ai envie de jouer un peu.
Il entraina sa soumise vers la croix. Laurent aimait bien cet engin. Surtout que cette croix permettait d’intervenir aussi bien devant que derrière tel que l’avait conçu « BHV ». Féline se mit d’elle même en position et il referma les bracelets de cuir sur ses quatre membres. Les pieds étaient pas mal écartés de telle sorte qu’on aurait pu passer entre ses cuisses sans la toucher. Mais en même temps, sa chatte s’en trouvait largement ouverte et accessible. Laurent commença par lui pincer les tétons. Il les étira. Ces derniers réagirent et durcir instantanément. Il se munit de pinces reliées entre elles par une chainette. Chaque téton fut saisi. Féline fit une légère grimace mais la douleur s’estompa bien vite faisant place à une douce chaleur irradiant ses seins que maintenant, Laurent étirait en s’étant reculé avec la chainette dans la main. Il accrocha cette chainette à une plus grosse chaine qui pendait du plafond. Ainsi, les tétons restaient en extension permanente. Ensuite il ressortit le gros gode monté sur le pied à manivelle et le plaça juste sous la chatte qui coulait déjà abondamment. Il se mit derrière et commença à tourner la manivelle. Une petite claque sur une fesse et la réaction fut instantanée, une giclée de cyprine lubrifia le phallus de silicone.
– S’il vous plaît mon Maître ?
– Oui Féline ?
– C’est que … Euh … Je …
– Oui quoi ? Que veux-tu ? Tu as mal ?
– Non mon Maître, ce n’est pas ça.
– Alors quoi ?
– C’est que j’ai une envie pressante …
– Tu as envies d’uriner, c’est ça ?
– Oui mon Maître.
Laurent se releva et revint se placer devant elle. Il retira le trépied impudique mais laissa les pinces de seins en place.
– Vas-y !
– Mais … Mon Maître … Vous ne me détachez pas ?
– Non, fais ici !
– Comme ça, devant vous ?
– Oui bien sur. Et tu vas aller doucement. Petit à petit. Compris ?!
Il se rapprocha de sa prisonnière et finalement retira les pinces de ses tétons. Féline fit une petite grimace de douleur lorsque les tétons furent libérés et qu’ils regagnèrent leur place initiale. Puis Laurent se colla quasiment au corps de sa soumise et lui mit sa main sur le sexe, comme une coquille. Il massa la vulve, écartant les lèvres, lubrifiant ses doigts tant Féline coulait. Puis, d’un coup, enfonça trois doigts dans la chatte béante et chaude.
– Vas-y maintenant pisse !
Féline ferma les yeux. Elle semblait se concentrer. La situation était inattendue mais au fond, cela l’excitait. Elle se laissa aller et la main de Laurent qui s’était agenouillé recueillit les premières gouttes. Il commença un va et vient alors que la pluie d’or lui coulait dans la main, puis le long du bras. Pour lui aussi c’était une première mais il avait d’instinct eu envie de cette expérience lorsque l’occasion c’était présentée. Il lui dit de s’arrêter et passa derrière elle. Sa queue était tendue au maximum. Il l’insinua entre les cuisses de Féline et lui demanda de se remettre à uriner sur sa bite. Le champagne se remit à couler. Il eut l’impression que son sexe avait encore grossi tant l’excitation le tenaillait. Sa queue était trempée et ses couilles aussi. Le liquide lui dégoulinait maintenant entre les cuisses. Il décida de la pénétrer. Féline continuait de couler, intarissable, et Laurent la baisait avec v******e presque, l’a****lité reprenant le dessus. Il se déchainait à grands coups de rein. La jouissance arriva vite. Il déchargea son foutre au fond de son ventre alors qu’enfin la source c’était tarie. Quand il se retira, retrouvant ses esprits, il fut sur que sa décision était la bonne.

– Alors mon cher Laurent, comment allez-vous ?
– Bien « BHV », bien, merci et vous même ?
– Oh moi, je vieilli mon ami.
– Ne dites pas de bêtises, vous êtes en pleine forme.
– Certes, je ne vais pas mal. Mais je n’ai plus vingt ans et parfois je suis fatigué. Il faut dire que j’ai eu une vie plutôt agitée.
– C’est juste un petit coup de mou, reposez-vous et cela ira mieux.
– Sans doute, sans doute. Mais au fait que me vaut l’honneur ? Vous vouliez m’entretenir, non ?
– Oui en effet. J’ai pris une décision. Ou plutôt je voudrais en prendre une mais sans vous je ne peux pas.
– Comment ça Laurent ? Que se passe-t-il ? Un problème ?
– Un problème, je ne sais pas, mais cela pourrait le devenir.
– Expliquez-vous, vous m’effrayez mon ami.
– Et bien … En fait … je voudrais deux choses et je ne peux rien faire sans vous.
– Ah bon ? Allez-y, dites.
– Je voudrais récupérer ma femme ou plutôt votre soumise et me séparer de la mienne. En d’autres termes, faire un échange. Je vous cède ma soumise contre la vôtre. Voilà.
– Ah !……..
– Qu’en dites-vous ?
– Ce que j’en dis ? Que ça mérite réflexion.
– Vous ne seriez pas contre ?
– Écoutez, finalement je ne vais pas réfléchir du tout. J’accepte. Peut-être même que vous tombez bien. Inconsciemment je crois que j’aspire à une vie plus calme. Toutes ces soirées, garden-party, etc., je crois que j’en ai un peu assez. Je sais que Féline ne fonctionne qu’en exclusivité et cela me va très bien. Mais est-elle d’accord ? Et pourquoi cette décision ?
– Je ne lui en ai pas encore parlé mais si vous êtes d’accord pour la protéger, je vais le faire et lui en expliquer les raisons. Si j’ai voulu prendre cette décision c’est que je commence à avoir peur de tomber amoureux d’elle tout simplement. J’aime trop Margot pour lui faire ça et je crois savoir que vous ne laissez pas Féline indifférente.
– Sur le principe je suis d’accord. Mais vous savez que votre femme a désormais de gros besoin. Il vous faudra être à la hauteur.
– Vous pensez qu’elle voudra bien, elle ?
– Perle … euh Margot ?
– Oui.
– Tant que je suis son Maître elle m’obéira. A vous de prendre la suite.
– Très bien, alors, nous sommes d’accord ?
– Nous le sommes en effet. Cela ressemble un peu à des adieux, non ?
– Je crois en effet que ce sera mieux de ne plus se voir après.
– Alors adieu mon cher Laurent, je suis vraiment heureux de vous avoir connu et pas seulement pour votre femme croyez-moi. Vous êtes un chic type.
– Merci « BHV », j’ai moi aussi été ravi de vous côtoyer et je vous remercie pour ce que vous avez fait pour nous. Adieu donc.

Voilà la fin de cette histoire. Du moins de cette aventure. Honnêtement je ne sais plus trop comment articuler de nouveaux événements dans le cours de leur vie. C’est sans doute possible mais là, je cale un peu. Mais que mes fidèles lecteurs, que je remercie chaleureusement au passage pour leurs encouragements et leurs compliments, se rassurent, je reviendrai avec une nouvelle histoire, soyez-en certain.

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