– Allo Eric ? Salut, c’est Serge.
– Hello frérot, comment vas-tu ?
– Bien, Alors ? Bien remis de notre soirée mémorable chez Jaques et Solange ?
– Oh que oui. Il faudra remettre ça.
– Evidemment. Je suis passé au salon d’esthétique de ta mère hier, pour me faire épiler. C’est très agréable. J’en ai profité pour vérifier qu’elle est toujours docile. Elle a fait des progrès, tu as bien bossé.
– Oui, elle m’a dit. Il paraît que tu l’as enculée sur la table. Ben mon cochon !
– Ça ne t’embête pas au moins ?
– Pas du tout, tu peux l’utiliser comme bon te semble, ça me permet de la punir et je l’oblige à tout me raconter dans les moindres détails. Tu n’y es pas allé de main morte, hahahaha
– Oui, j’avais les couilles pleines, gros cul était prise par ses obligations d’épouse avec mon beau-père et j’avais une furieuse envie de me défouler.
– Je t’en prie, vide-couilles est toujours à ton service.
– Dis-moi, tu ne passerais pas à la maison ce week end, mon beau-père n’est pas là et Solange peut me prêter Fatou et la grosse Martine.
– Ah, mais quelle bonne idée. J’ai justement acheté quelques godes-ceintures que ces cochonnes pourront tester. Ça tombe très bien.
– Tu as une tenue préférée pour ma mère ? Porte-jarretelles, soubrette, tailleur ?
– Oui, Tailleur, j’aime bien.
– Ok, c’est noté, à ce week-end.
– Bises
je raccrochai et, en passant dans le salon, je vis mon beau père qui regardait la télé. En arrivant dans la cuisine, ma mère était penchée sur l’évier et faisait la vaisselle. Je m’approchai derrière elle et lui murmurai à l’oreille :
– J’ai invité Eric ce week-end
– Bien, mon chéri, répondit-elle en rougissant, je sais déjà comment ça va tourner.
– Oui maman, ah, et Solange me prête Fatou et Martine
– Oooh non, mon chéri, pas Fatou, tu sais qu’elle aime m’humilier, mais je ne peux rien faire ni rien dire, je suppose.
– Non, rien, et ne fais pas ta mijaurée, je suis certain que tu mouilles déjà.
– Pas du tout, non, pas du tout.
Je passai ma main sous sa robe et elle dit :
– Arrête, Alain pourrait te voir !
Je lui mis ma main trempée sur la bouche.
– Regarde, menteuse. Tu es toute mouillée. Qu’est-ce qu’on fait aux menteuses ?
Elle poussa ma main et repartit vers le salon en me glissant à l’oreille
– On les punit
Je la retins par le bras en insistant :
– Comment ?
– On les encule…. petit salaud.
Et elle se dégagea et disparut dans le salon, me laissant avec une bosse au pantalon qui m’empêchait de marcher.
Le samedi, vers 14 heures, Eric sonna à la porte.
– Salut mon grand, comment vas-tu ?
– Bien, répondit-il, je suis passé chercher les deux grosses chez Solange.
Il fit rentrer Fatou et Martine, précédées de Christine.
– Allez, les cochonnes, en tenue !
Elles enlevèrent leurs manteaux.
La mère d’Eric était en tailleur sévère surmonté d’une chemise et d’un collier de perles. Elle s’était tirée les cheveux et fait une petite queue de cheval qui lui donnait un air bourgeois et sévère.
Fatou et Martine avait été préparées par Solange.
Elles n’étaient vêtues que de bas et porte-jarretelles, cul nu et Solange avait écrit sur leurs fesses « Salope à enculer » et « garage à bites ».
Elle y avait ajouté un petit mot écrit sur un post-it qu’elle avait collé sur l’un des seins de Fatou :
« Amusez-vous bien, les enfants. Ces deux putes sont à votre disposition et ne doivent RIEN vous refuser. Solange »
Sur l’un des pis de Martine, un autre post-it sur lequel était écrit :
« Utilisez ces deux objets comme bon vous semble. Solange les a bien briefées (vous la connaissez). Elles sont prenables par tous les trous et seront très obéissantes. Bon WE. Jacques »
J’arrachai les post-it du bout de leurs seins. Un petit soubresaut, mais les deux baissaient les yeux en signe de soumission. C’est vrai que Solange les avait bien dressées.
– Alors Fatou, dis-je en lui soupesant un de ses gros pis noir, je vois que Solange vous a préparées, toi et la grosse Martine. C’est très bien, elle vous a fait épiler. Est-ce que les trous du cul sont épilés aussi ?
– Oui Monsieur, répondis Fatou.
– Montre-moi sur cette esclave, dis-je en indiquant Martine.
Martine s’approcha, se tourna et se pencha en avant. Fatou, se mit sur le côté et lui écarta les fesses.
– Voici Monsieur. Vous pouvez vérifier, le travail a été bien fait. Voulez-vous me vérifier aussi ?
– Evidemment, grosse pute, fais voir !
Martine et Fatou intervertirent leurs position. Fatou s’était penchée en avant et Martine, écartant son gros fessiers noir me regardait en attendant mes ordres.
– Lèche, et dis-moi si on sent un poil !
– Oui monsieur, répondit-elle.
Elle lécha l’anus de Fatou et reprit.
– C’est parfait monsieur. Pas un poil, son anus est doux et bien épilé.
A ce moment, ma mère rentra dans le salon.
Je lui avais demandé de mettre une jupe très courte et un débardeur sans soutien gorge, qui laissait deviner ses deux grosses loches. Elle s’était fait des couettes.
– Tiens, maman, tu tombes bien. Dis bonjour à Eric et à sa mère.
– Bonjour Eric, Bonjour Christine. Serge, le four vient de tomber en panne. Je suis embêtée pour le repas de ce soir et je ne sais pas comm…
Claack !
Je la giflai et lui dit:
– Tiens, ça c’est pour m’avoir appelé par mon prénom. Et tu me donnes une idée.
Immédiatement, comme je lui avais appris pour s’excuser, elle se tourna, se mit à quatre pattes et en relevant sa jupe elle dit.
– Excusez-moi, monsieur, je suis désolée, je mérite d’être punie. Mon cul est à votre disposition. Je dirai pardon pendant que votre queue rentrera dans mon gros cul.
Elle attendait sa punition.
Je me tournai vers Eric et je dis
– Puisque ma mère est une putain. Je te propose qu’on lui fasse faire son travail de pute. Il y a un réparateur au bout de la rue. J’ai bien envie de voir combien elle va arriver à avoir de réduction.
Ma mère cria
– Nooon, s’il vous plaît, monsieur, pas lui, il me regarde toujours avec un air lubrique et il a l’air si rustre.
– Tais-toi, relève-toi et prépare-toi. Tu te mettras dans la cuisine avec lui. Nous te regarderons du bureau sur la caméra de surveillance.
– S’il vous plaît, monsieur, je vous en supplie, il va me souiller et je ne pourrai plus jamais passer devant son magas…
Claaack !
– Tu vas faire la pute pour une réparation d’électro-ménager, et tu as intérêt à avoir un bon prix !
Elle baissa les yeux, résignée.
– Oui Monsieur, je vais bien faire la pute pour faire réparer le four.
Je dis :
– En revanche, interdiction de te faire enculer !
Puis, m’adressant à Eric
– Le gars est un gros black, si sa queue est à l’avenant, je n’aimerais pas qu’il lui distende trop son trou du cul. J’ai quand même prévu que nous enculerions cette salope tout le week end, Il serait dommage qu’elle soit trop écartée dès le début.
Eric se tourna vers sa mère.
– Tu vois salope ce qu’on fait faire aux cochonnes désobéissantes ? Elles deviennent des sacs à foutre qu’on paye comme des putes.
– Oui monsieur
– Tu vas voir la mère de Serge se faire défoncer dans sa cuisine par le réparateur. Ça te plaît ?
– Ou… ou… oui monsieur.
– Et toi, Fatou, tu en penses quoi ?
– Je pense, monsieur, que j’adore voir la mère de monsieur Serge se faire humilier et traiter comme la dernière des truies. Donc oui, cela m’excite, monsieur.
Eric, s’adressa à moi
– L’idée est excellente, mais il serait dommage que l’on perde trop de temps. Je te propose de lui adjoindre une salope pour ce travail.
– Tu as une idée ?
Il regarda Christine qui venait de comprendre.
– Cette salope pourrait faire l’affaire.
– S’il vous plaît, non… non… pas ça…
– Bien, puisque tu m’as dit que ça t’excitait, tu vas aller avec gros cul faire la pute. Et ne lésine pas, Serge a besoin d’un bon prix. En revanche, comme pour gros cul, interdiction de te faire enculer. Compris ?
Elle baissa les yeux et soupira
– Oui monsieur, j’ai compris.
Je repris
– Il vous faudra y mettre de l’entrain, montrer que vous êtes deux bonnes cochonnes bien salopes. Je veux de l’action et du bruit. Tout manquement sera sanctionné d’une punition bien plus sévère. Compris ?
– Oui monsieur, dirent-elles ensemble, les yeux baissés.
– Bien, gros cul, tu l’appelles et le fais venir. Nous allons nous installer avec nos deux grosses esclaves dans le bureau, je vais brancher les caméras.
Ma mère appela le réparateur, en lui demandant de venir en urgence.
En attendant qu’il arrive, et pour nous mettre en appétit, nous nous amusions à tirer des couples. Dans un chapeau, j’avais mis les quatre noms de nos jouets et nous amusions à en tirer deux au hasard et à les faire se gouiner sur le tapis du salon. Les deux restantes devaient nous branler doucement, sans nous faire jouir.
Ma mère commença avec Fatou. On sentait que celle-ci aimait dominer gros cul, lui assénant de belles claques sur les fesses et s’asseyant sur son visage.
Puis vient le tour de nos mères. Elles firent un soixante-neuf et jouirent toutes les deux simultanément.
Au bout d’une demi heure, le réparateur sonna à la porte.
Ma mère s’était rhabillée avec sa jupe courte, sans culotte ni soutien gorge et Christine, sans culotte, avait ouvert un peu son chemisier.
Nous nous retrouvâmes avec Eric, sur le canapé du bureau dont la porte était fermée. face à nous, le téléviseur montrait la caméra de surveillance de la cuisine.
– Pile c’est noir, face c’est blanc, dis-je à Eric en sortant une pièce de monnaie.
– Pile dit-il
Je lançais la pièce
– Pile ! Fatou va s’occuper de ta bite et Martine, ma grosse cochonne, sois prête à lécher ma queue.
Le réparateur entra dans la cuisine. Il défit le four et commença à travailler.
Ma mère lui proposa un café
– C’est très gentil Monsieur, de vous être déplacé. Mon mari n’est pas là et je dois recevoir du monde ce soir.
– Bien ma p’tite dame, je vois ce que c’est. J’ai de quoi réparer dans ma camionnette, je reviens.
Il sortit. Ma mère regardait en direction de la caméra. Elle savait que je la regardais. Elle lança un regard accusateur et l’homme revint.
– Voilà, j’ai tout, mais je vais vous faire un devis avant.
– Ne soyez pas trop cher, je vous en prie, mon mari va me gronder.
– Bon, si vous me payez en espèces, je pourrai vous faire une ristourne.
Christine entra dans la cuisine.
– Je vous présente ma belle-soeur, dit Laurence. Tiens, Christine, aide-moi donc à débarrasser le lave-vaisselle.
Ma mère se tourna et se pencha pour récupérer les assiettes qu’elle passait à Christine. Ce faisant, elle laissait entrevoir le haut de ses cuisses.
L’homme partageait ses regards entre le four et le cul de ma mère.
Il dit :
– Vous allez en avoir pour 200 euros.
– Oh non, c’est bien trop cher.
Christine ajouta
– Il n’y a pas un moyen de s’arranger ?
– Je vous enlève la TVA si vous payez en espèces.
– Allons monsieur, dit Christine, vous voulez nous ruiner, faites un effort
Il y eut un silence et l’homme dit.
– Un effort, je veux bien, mais faites-en un aussi.
À ce moment, je compris que les putes allaient se mettre au boulot. J’empoignai les cheveux de Martine et dit
– Allez ma grosse, viens ici et commence à lécher ma bite. Je vais voir comment ma mère sait faire la pute.
Eric, s’adressant à Fatou dit :
– Et toi, pareil, à genoux devant moi et commence par frotter tes gros nichons sur ma queue. Tu lécheras après, en commençant par les couilles.
Puis s’adressant à moi
– S’il est monté comme il est bâti, j’ai hâte de voir ta mère bouffer de la bonne grosse queue black.
Nos esclaves léchaient nos queues, passant bien la langue autour du gland puis descendant jusqu’aux couilles. Elles s’appliquaient consciencieusement.
Sur le téléviseur, on entendit Christine dire
– Cher monsieur, si nous vous montrons nos seins, vous nous faites un rabais ?
– D’accord dit l’homme, 50 euros, mais si je peux toucher.
Christine dégrafa sa chemise et fit sortir ses nichons par dessus son soutien gorge. L’homme s’en empara et commença à les malaxer.
– J’aimerais bien voir ceux de madame aussi.
– Pas de problème, dit Christine, Laurence, enlève ton débardeur, montre tes seins à monsieur.. monsieur ?
– Roger, dit-il ! Vous pouvez m’appeler Roger.
Ma mère enleva son débardeur et l’homme passa des seins de Christine aux loches de ma mère, d’une main, tandis que de l’autre, il commençait à se frotter la bite.
Christine reprit :
– Vous savez, Roger, nous sommes vraiment fauchées et le mari de ma belle-soeur est vraiment très dur. N’y aurait-il pas moyen de nous faire plus qu’une remise ?
– Si, mais pour plus qu’une remise il faudra être très gentilles.
Christine approcha sa main de la braguette de Roger
– Oui, nous pouvons être très gentille si la réparation est gratuite.
L’homme dégrafa son pantalon et fit sortir son membre noir et énorme.
– Vous pourriez commencer par une gâterie ?
– Bien Roger, mais on s’arrêtera là, d’accord ?
– Non, dit-il, il faudra que je baise l’une de vous deux. Vous, là, avec les gros seins.
– D’accord Roger, marché conclut !
Ma mère poussa l’homme debout contre l’évier de façon à ce que l’action soit bien face caméra. Nos deux mères se mirent à genoux, de chaque côté de sa queue et le léchèrent en même temps.
Roger avait les mains sur leurs têtes pour leur imprimer le mouvement.
Il passait sa queue énorme de bouche en bouche. S’adressant à ma mère il dit:
– Allez mes salopes, sucez bien. Tu feras moins ta bourgeoise en passant devant le magasin. Continue de sucer ma grosse, je vais te baiser comme une bonne vieille bourge.
Quelques minutes après, sentant qu’il allait jouir, ma mère se tourna et lui présenta son gros cul. Christine l’assistait en écartant son cul pour laisser l’énorme chibre pénétrer ma mère.
Laurence regardait la caméra. On pouvait voir sur son visage qu’elle n’avait jamais dû connaître bite aussi grosse.
Il la bourrait maintenant à grands coups et Christine, pour lui donner de l’entrain fessait ma mère.
– Allez Roger, défoulez-vous dans sa chatte, ne vous retenez pas !
Dans le bureau, Eric et moi nous faisions toujours sucer par nos esclaves. J’ordonnai à Martine de se retourner et de regarder le spectacle de ma mère faisant la pute.
Elle obéit et s’empala sur ma queue, penchée en avant, me laissant le spectacle de ma queue rentrant dans son cul tout blanc, pendant que sur le téléviseur, Roger se finissait et éjaculait sur les fesses de Laurence.
– Ta mère est vraiment une bonne pute, dit Eric. J’adore la voir se faire mettre comme la dernière des salopes. Quand je pense que plus jeune, je me branlais en pensant à elle et que maintenant, je la vois se faire défoncer par le réparateur… ça me donne envie de l’enculer comme une cochonne.
– T’inquiète, tu pourras t’en servir à loisir tout à l’heure.
Roger se remit à la réparation du four et Laurence et ma mère sortirent prendre un douche.
À leur retour, Roger leur dit :
– Eh bien mesdames, tout le plaisir a été pour moi. J’espère revenir pour d’autres travaux. Quant à vous, dit-il en s’adressant à ma mère, évitez désormais cet air hautain quand vous me croiserez dans la rue, n’oubliez pas que vous avez pris ma queue dans la bouche. hahahah !
– Au revoir monsieur Roger, dit ma mère d’un ton sec, j’ai du travail à faire.
Elle le raccompagna à la porte.
Laurence et Christine arrivèrent dans le bureau.
– Voilà monsieur, c’est fait.
– C’est très bien, dis-je vous avez été deux bonnes putains. Alors gros cul, tu as aimé ça ?
– Non monsieur, la queue était trop grosse et ça m’a dégoûtée.
– Pourtant, tu avais l’air d’aimer ça, salope
– C’est de savoir que vous me regardiez me faire sauter comme une pute par le réparateur qui m’excitait, monsieur.
– Tu as beaucoup excité Eric, maman. Je pense qu’il va t’enculer. Comme tu as été sage, tu peux choisir l’esclave qui va te préparer.
– Merci monsieur, je peux choisir qui je veux ?
– Bien sûr, quelle langue te plairait ?
– Fatou, monsieur. Je peux lui donner des ordres ?
– Oui, j’aime bien te voir la dresser.
– Merci monsieur. C’est que, chez Solange, elle a été très dure avec moi et m’a traitée comme son esclave. J’aimerais bien me venger et vous montrer comment je vais la punir à mon tour.
– Excellente idée ! Et tiens, puisque tu m’as fait bander à faire la pute, tu as le droit, pour l’instant de nous tutoyer, avec Eric.
– Merci mon chéri, tu vas voir, ta mère ne va pas te décevoir.
Je poussais Martine et attrapai Christine par le cou en l’amenant sur ma bite.
– A ton tour de sucer, Eric, fais-donc toi lécher par Martine, tu vas voir comme elle est grasse et comme sa peau est souple. J’enfournai ma queue dans la bouche de Christine qui pompa avec ardeur.
– Ooh putain, Eric, ta mère, quelle suceuse !!! Allez, maman, fais-toi préparer la rondelle par Fatou, et qu’elle soit obéissante. Toi, Fatou, tu te lèves et tu obéis à Laurence, c’est compris ?
– Ou.. oui.. oui monsieur, dit-elle en murmurant. Madame, je suis à vos ordres.
Ma mère se leva et enleva son débardeur. Elle n’était vêtue que d’une jupe trop courte et sans culotte.
– Au pied, dit-elle à Fatou, comme une bonne chienne !
Fatou se leva et s’approcha. Ma mère lui soupesa les seins et dit.
– Bien, fais voir tes mamelles… Allez, fais-moi bouger tout ça. Tu vas lécher mon cul et bien le préparer pour la queue d’Eric.
– Oui madame.
– Eric, mon grand, ne perds pas une miette, je vais me faire reluire le cul. Tu verras, il te sera très agréable de bourrer la mère de ton ami.
Eric attrapa Martine par les cheveux et la fit s’allonger par terre.
– Tiens, Gros cul, un matelas bien rembourré. Assieds-toi sur sa bouche, elle s’occupera de ta chatte pendant que Fatou te préparera le cul.
Ma mère s’assit sur la bouche de Martine, et laissa ses gros sein reposer sur le ventre de celle-ci. Elle me regardait et dit :
– Hmmm, c’est vrai que cette grosse truie est confortable. Allez cochonne, je veux sentir ta langue rentrer dans ma chatte. Quant à toi, Fatou, mets toi derrière moi et écarte bien mes fesses, qu’Eric puisse voir comment tu me prépares.
Fatou se mit à genoux et commença son travail. Elle ouvrit le cul de ma mère et commença à la lécher en partant de la bouche de Martine jusqu’en haut de sa raie, en s’attardant sur son orifice. Elle enfonçait son visage et lapait le cul de Laurence. Celle-ci lui dit:
– Eh bien, ma grosse Fatou, un peu de conviction, tu ne vas pas faire attendre monsieur Eric trop longtemps. Je veux sentir ta langue rentrer dans mon cul.
Puis elle poursuivit.
– Eric, tu peux baiser cette pute pendant qu’elle me prépare, ça lui donnera envie de mettre du coeur à l’ouvrage. Allez, baise moi cette truie noire sans ménagement et n’hésite pas à lui donner de bons coups de bite, que je sente sa langue rentrer et sortir.
Eric ne se fit pas prier. Il empoigna les larges hanches noires de Fatou et commença à la baiser sans retenue, tout en la regardant passer sa langue sur l’anus de ma mère.
Laurence commençait à rougir de plaisir, elle me regarda et dit.
– Oooh oui, regarde bien ta mère se faire préparer le cul. Je suis ta pute et j’ai envie de te faire bander. Est-ce que la maman d’Eric est une bonne suceuse ?
– Pas mal, dis-je, elle tient le rythme et descend bien sur ma queue. Fatou, tu peux commencer à introduire un doigt dans le cul de ma mère, qu’on l’entende couiner ? Tu pourras même pousser jusqu’à deux doigts.
– Hmmmm, Merci mon grand, je sens que je vais bientôt prendre une bonne queue dans le cul.
Je repris :
– Fatou, quand tu estimeras que le cul de ma mère est adapté à la queue d’Eric, c’est toi qui placeras cette dernière dessus. Tu le suceras et tu lui demanderas docilement d’enculer ma mère.
Fatou continua de préparer Laurence une minute puis elle gifla le gros fessier de ma mère. Elle se retourna et prit la bite d’Eric dans la bouche jusqu’à la garde, puis, retirant sa bouche elle dit :
– Monsieur Eric, le cul de la maman de monsieur Serge est prêt, permettez-moi de présenter votre queue sur son cul.
Eric se tenait derrière ma mère qui couinait de plus en plus. En sentant le gland d’Eric sur son anus elle me regarda en se mordant les lèvres.
Fatou lui attrapa les couilles et dit :
– Allez-y monsieur, entrez dans ce gros cul bien préparé.
Joignant le geste à la parole, elle tira légèrement sur les bourses d’Eric qui pénétra Laurence d’un seul trait. Elle hurla de plaisir.
– Aaaaah, ouiiiii, fourre moi ta queue dans le cul. Serge, regarde-moi, ta maman, me faire enculer comme la dernière des putes. Je mérite d’être défoncée et bien punie.
Eric donnait de grands coups réguliers.
Fatou vérifiait que les couilles d’Eric battaient contre la chatte de ma mère. Elle prit l’heureuse initiative d’écarter les fesses d’Eric et de lui lécher le cul pendant qu’il enfonçait sa bite dans les fesses de Gros cul.
La mère d’Eric me pompait de plus belle en entendant Gros cul se faire enculer. J’appuyais sur sa tête.
– Allez, salope, descends bien sur ma queue, en rythme, comme une bonne cochonne.
Puis, la prenant par les cheveux, je sortis ma queue de sa bouche et tourna son visage vers Eric qui continuait de bourrer gros cul, lui donnant de bonnes claques sur les fesses.
– Alors, tu en penses quoi ? Ton fils est un bon enculeur de mère ?
– Oui monsieur, j’adore le voir agrandir la rondelle de votre mère. Regardez comme elle aime ça. Eric mon chérie, défonce-moi ce cul comme tu le fais avec moi.
– Bien, tu ne vas pas y couper non plus. Eric, s’il te plaît, j’ai besoin de Fatou pour lubrifier ta mère, elle mérite de se faire défoncer.
– Pas de problème dit Eric, je ne vais pas tarder à jouir dans la raie de gros cul. Sers-toi de ma mère comme d’un bon vide couilles.
– Allez, Fatou, au pied ! Viens lubrifier ma queue immédiatement. et à quatre pattes, s’il te plait.
Laurence s’était allongée sur Martine et gardait ses grosses fesses en l’air pour qu’Eric puisse se servir facilement de son cul. Elle commençait à jouir.
– Ooooh, ouiiii, Eriiiiic, defonce moi comme une grosse pute. Remplis-moi bien le cul, aaaah quelle bonne queue ! Serge, regarde ta mère qui va jouir par le cul. Aaaahh, fesse-moi, fesse-moi bien fooort
Claaaaack, claaaack. Eric s’en donnait à coeur joie.
Fatou était arrivée sur ma bite à quatre pattes et me pompait en salivant pour bien lubrifier ma queue. Elle cracha sur la rondelle de Christine que j’enculai fermement, et jusqu’à la garde. Elle poussa un petit cri puis, le cul en l’air commença à lécher la chatte de Martine dont Fatou tenait maintenant les jambes écartées en l’air.
Ma mère reprit.
Ouiii, allez-y les garçons, vous avez bien mérité de vous vider les couilles. Nous sommes vos chiennes bien dressées, vos esclaves de queues ! Allez, enculez-nous bien comme deux salopes qui ont fait les putes avec le réparateur.
Je sortit ma bite de l’anus de Christine pour lui jouir sur les dos.
– Fatou, viens lécher. une bonne esclave doit nettoyer avec la langue.
Fatou passa d’abord sa langue sur le dos de Christine puis me suça consciencieusement tout en me regardant pour savoir si elle faisait bien son travail.
– Bien, Fatou, continue, aspire bien tout. Et maintenant, tu vas aller nettoyer la queue d’Eric.
Elle s’approcha des fesses de ma mère. Eric sortit sa bite et Fatou goba le gland tout en le branlant vigoureusement.
Eric Lui éjacula dans la bouche et lui pinça le nez.
– Allez grosse pute, malaxe bien mes couilles et avale, aaaah, aaaah, avale tout ! Voilààààà, maintenant descends bien sur ma queue jusqu’à la garde et aspire tout. Bonne pute…
Il retira sa queue et demanda
– Alors Fatou, tu es contente ?
– Oui monsieur. Si monsieur désire me prendre une fois qu’il se sera reposé, je serai heureuse d’en prendre autant dans le cul que cette pouffiasse.
Tout en prononçant cette phrase, elle claqua le cul de ma mère en y laissant la marque de sa main. Elle continua.
– J’adore voir la mère de monsieur se faire humilier. Pourra-t-on cet après midi inverser les rôle ? J’adore dresser cette chienne. Monsieur Serge, m’autoriserez-vous à tester quelques godes ceintures sur votre maman ? J’ai vu qu’il y avait plusieurs tailles.
– Bien Fatou, dis-je, tu as été une bonne esclave. C’est pourquoi tu auras le droit de faire ce que tu veux de ma mère. Et toi gros cul tu auras intérêt à obéir à Fatou.
– Mais monsieur, dit ma mère avec une déférence qui cachait l’appréhension, Fatou est très dure avec ses esclaves.
– Rien à branler. Non seulement tu lui obéiras, mais tu l’appelleras « madame ».
Eric reprit, en s’adressant à sa mère :
– Quant à toi vide-couilles, tu obéiras à Martine. Même punition !
– Bien monsieur, répondit Christine.
Les couilles vidées et passablement détendu je repris :
– Vous fourrer comme des putes nous a donné faim. Allez, toutes les quatre nous préparer à manger. Gros cul, vide-couille, vous obéissez à vos maîtresses.
– Bien monsieur, dirent-elles en coeur.
Je regardai les quatre culs disparaître dans la cuisine.
– Et bien, Eric, le week end commence bien.
… à suivre
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