J’étais jeune (22 ans), assez bien foutue et aventurière. J’étais partie seule en vacances avec ma tente et je passais de camping en camping en bord de mer. Un jour que j’étais sur la plage, à me baigner, en train de bronzer dans l’eau en faisant la planche les seins nus, j’entendis une voix grave me dire doucement salut. Je me redressai et vit un homme d’une cinquantaine d’années, beau et musclé me sourire. Il entama aussitôt la conversation. Nous étions dans l’eau, bercés par les vagues. Très proche l’un de l’autre, nous nous frôlions. Ses mains effleuraient mes seins, les miennes, son torse. Je ne savais pas où les ranger et je les plongeais dans l’eau. Et cette fois, c’est son maillot et son sexe que j’effleurais.
_ Oh ! Excusé moi… dis-je
_ C’est rien me répondit-il, c’est même plutôt agréable…ajouta-t-il en me souriant.
Un charmeur. Et sans comprendre, j’ai craqué. J’ai remis ma main sur son maillot et pétris doucement son sexe. Je le sentis gonfler et durcir. Il continuait de me sourire et discrètement me caressait les seins. Nous n’étions pas seul sur la plage. Mes tétons pointaient. Ma poitrine gonflait. Mon sexe s’humidifiait. Je devins plus entreprenante et glissait ma main dans son maillot et le masturbais plus fort. Il s’approcha de mon visage et me donna un baisé sur les lèvres et me dit « si nous sortions ? » j’hochais la tête pour dire oui. « Vas me dit-il, j’attends un peu et je te rejoins » en désignant son sexe tout raide.
Je sortis de l’eau en ondulant tout mon corps, sachant qu’il m’observait. Je ramassais ma serviette et m’enfonçais dans les dunes derrière la plage. Je m’allongeais et me fis sécher par le soleil. Quelques instants après je sentis des mains fraiches se poser sur mon corps chaud. Je sus que c’était lui, et aussitôt pour vérifier je posais ma main sur son maillot et entrepris de le caresser. Il était à genou au niveau de mes épaules. Doucement je dégageais son sexe et le sortis de son maillot que je lui descendis à mi-cuisses. Il était bien membré. Je me tournais sur le dos sans le lâcher et glissais ma tête dessous. En le masturbant, j’embrassais ses bourses. Je jouais avec en les léchant. Mes lèvres remontèrent sous son sexe que j’embrassais tout le long jusqu’au bout de son gland que ma langue titilla du bout. Et je le pris entre mes lèvres pour le téter. Ses mains caressaient mes seins volumineux (90C), et les malaxaient. Ses doigts jouaient avec mes tétons en les pinçant doucement. L’une de ses mains continua sur mon ventre jusque sous mon maillot de bain et je sentis ses doigts me caresser le clito et fouiller mon sexe. N’ayant pas de préservatif, j’entrepris de sucer mon compagnon jusqu’à la jouissance. J’avalais son sexe et le caressais de ma langue dans ma bouche, en faisant aller et venir ma tête le long de son membre. Il continua de me caresser et me doigta agilement, m’emmenant à la jouissance. Je serrais sa main entre mes cuisses. Et j’accélérais mes mouvements de succions sur son sexe. Je le pompais comme une gourmande. Mes lèvres serrées sur son sexe il éjacula dans ma bouche. Je continuais encore de le caresser et ensuite discrètement je crachais sa semence dans le sable. Nous nous allongions serrés l’un contre l’autre sur ma serviette en discutant. Je lui racontais mon histoire et mon périple de vacances et il me proposa de venir chez lui. J’acceptais en pensant avoir plus qu’une séance de masturbation. J’avais envie de son membre en moi.
Il m’emmena chez lui, pas très loin dans une jolie villa en bord de mer. Il me fit entrer. Et il lança très fort : « Chérie ! Je suis rentré et nous avons une visite »
Moi qui pensait que nous serions seuls et que j’allais pouvoir profiter de lui, je découvrais qu’il y avait une Madame. Il m’entraina dans une grande cuisine où se trouvait une superbe femme d’une trentaine d’années, brune, les cheveux courts, toute bronzée, un teint qui faisait ressortir ses magnifiques yeux bleus. Il l’enlaça et l’embrassa et me présenta en ajoutant : « elle suce presqu’aussi bien que toi, méfis toi… » En me lançant un grand clin d’œil. Sa femme lui répondit : « arrête tes blagues gênantes » et me salua en me disant de ne pas faire attention. Je me sentis devenir toute rouge. Et elle lui demanda de m’emmener pour nous rincer du sel de l’eau de mer. Il m’indiqua la direction à suivre et m’emmena dehors où se trouvait une grande piscine avec une douche à côté.
Il se mit entièrement nu et se doucha et plongea dans l’eau. Je posais mes affaires et allais me doucher quand sa femme arriva enveloppée dans un pagne qu’elle quitta et entra dans la piscine entièrement nue aussi. Elle n’avait aucune trace de bronzage, le teint mat intégral. Ça tournait dans ma tête, que devais-je faire ? Je ne voulais pas passer pour une sainte nitouche et je me mis nue et me douchais.
Ils nageaient dans la piscine sans faire attention à moi. Ils s’embrassaient, se caressaient. Je me frictionnais en les observant. La femme sortit de l’eau et s’installa sur un transat. J’entrais dans l’eau. Sur le transat elle avait les jambes légèrement écartées. Je nageais. Il sortit à son tour de l’eau. Il bandait. Il se présenta au bout du transat. Elle écarta encore un peu plus les cuisses. Il se glissa entre ses jambes et les remonta sur ses hanches et la pénétra d’un coup de rein. Je l’entendis pousser un gémissement de plaisir. Je nageais en les regardant. Il ondulait doucement entre ses cuisses, redressé sur elle en lui caressant les seins. De grands mouvements d’avant en arrière, je voyais son sexe la pénétrer. Elle gémissait en caressant son torse, ses fesses, ses couilles. Au bout d’un moment, il se retira et s’avança sur elle pour éjaculer sur ses seins qu’elle serrait l’un contre l’autre, en recevant les grandes giclées de sperme. Ils s’embrassèrent et allèrent se doucher. Je sortis de la piscine et m’allongeais sur un transat. Quelques instants après elle vint me rejoindre et me dit : « tu l’as bien excité… » Et elle me fit une bise au ras de mes lèvres.
Mes hôtes s’appelaient Isabelle et Thierry. Et nous passions le reste de la journée nus au bord de la piscine, à nous faire bronzer et nous rafraichir dans l’eau. Il n’y eu pas d’autre relation intime entre nous, bien que je regardais le sexe de Thierry avec envie.
En fin de journée, Isabelle me proposa de me montrer ma chambre. Nous retournions nues dans la maison et elle m’emmena dans une grande chambre bleue pale avec une grande baie vitrée donnant sur la piscine. Elle me montra où je pouvais ranger mes affaires et où se trouvait les serviettes et peignoirs. « tu fais comme chez toi » me dit-elle en s’approchant de moi et en m’embrassant. Une fois. Deux fois. Elle m’enlaça en continuant de prendre mes lèvres. Je pris ses seins en mains, en lui rendant son baisé. Je sentais ses mains me caresser le creux des reins, les fesses. Elle s’appuya sur moi et m’allongea sur le lit en venant sur moi. En me caressant de ses mains et de ses seins. Mes lèvres glissaient sur elle. Son corps glissait sur moi. Je fermais les yeux. Et je sentis ses lèvres sur mon sexe. Elle l’embrassait. Le léchait. Le fouillait de sa langue et de ses doigts. Je mouillais fort et elle se délectait de tout. Derrière la baie je vis Thierry nous regarder.
Visiblement nous lui faisions de l’effet.
J’entendis la baie glisser pour s’ouvrir et il vint nous rejoindre.
Il s’allongea sur le lit. M’embrassa. Et il remonta son sexe à la hauteur de mon visage. Je sentis sa main sur ma nuque me diriger pour le prendre en bouche. Pendant qu’Isabelle me procurait un merveilleux cuni, je pompais avec délice Thierry. Il me dirigeait sur sa belle queue, l’enfonçant plus ou moins dans ma bouche et ma gorge. Et me présentant ses testicules pour que je les aspire.
Il se releva pour prendre Isabelle en levrette, mais elle s’esquiva en lui disant « prends là, elle en a voulut tout l’après-midi ».
Aussitôt je me retournais lui présentant ma croupe. Il prit une capote dans la table de nuit qu’il enfila avant de m’enfiler en m’attrapant par les hanches. Je sentis son gros sexe glisser en moi. Isabelle s’était calée dans les oreillers face à moi, cuisses ouvertes. Et à chaque coup de queue de Thierry, je plongeais le nez dans sa chatte.
Il commença doucement, de longs coups de bite en moi et de plus en plus vite et fort. Je lapais le sexe d’Isa.
Je sentais les mains de Thierry s’accrocher à mes fesses, ses doigts me caresser la rondelle de mon anus. Il salivait au dessus de mon cul bien cambré. Ses doigts glissaient sur moi. Et en continuant à me pilonner en levrette, il s’introduit aussi dans mes fesses. Son doigt me fouillant la rondelle.
Hmmmmmm…je sentais mon plaisir monter. Celui d’Isa dégouliner de son sexe.
Thierry sorti sa bite et vint la glisser sur la raie de mes fesses, son gland à l’entrée de mon anus. Il la tenait d’une main et la pressait contre. Je poussais en arrière pour lui dire que j’étais d’accord pour qu’il prenne cette voie et me sodomise.
D’une pression il fit passer son gland dans mon cul. Je gémis fort. Il fit une pause, attendant que mon orifice se dilate. Isa s’était relevée et me tenait par les épaules en m’embrassant. Je poussais encore sur le sexe à Thierry pour qu’il continu de m’embrocher. Sa verge glissa encore plus profond en moi.
Cette fois Isa s’était rapprochée de mes fesses et du sexe de son homme et saliva sur nous pour mieux glisser. Thierry entra en entier en moi. J’ondulais sur sa queue. Il me donnait des coups de reins et coulissait dans mes fesses. C’était fort, dur et bon. Je me cramponnais au drap et gémissais comme jamais je ne l’avais fait. Je ne l’avais jamais fait, j’étais vierge de ce côté-là.
Il continua de m’enculer et je jouis très fort et il se retira. Enleva la capote et éjacula de longs jets de foutre sur mes fesses et mes reins,
Isa me massant de son jus.
Je m’écroulais sur le lit.
Thierry s’allongea contre moi d’un côté et Isa de l’autre. Et nous passions la nuit ainsi.
Et puis d’autres encore aussi intense, jusqu’à la fin des vacances.
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