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Edith….Une vie de frustration

Edith….Une vie de frustration



                          Après s’être mutuellement déshabillés nos mains partirent à la découverte du corps de l’autre.

Edith avait la peau mat, des seins ronds lourds, aux tétons sensibles, ancienne volleyeuse et pratiquant la natation régulièrement , elle était musclée de partout rien n’était flasque, sa chatte était recouverte d’une pilosité très mais très fournie.
Ses mains s’attardèrent sur mon torse, jouèrent avec les poils, descendirent sur les abdos, passèrent sur l’aine puis une saisie mes bourses tandis que l’autre passait doucement sur mon membre déjà dressé.
Elle s’étonna que ma queue soit dépourvue de poils, je lui expliquais le pourquoi et ses yeux dans les miens elle me demanda si elle pouvait prendre mon sexe en bouche, bien sûr je ne pus refuser.
Manifestement bien que de bonne volonté Edith manquait de pratique, sa langue courait le long de ma bite divinement, c’est en bouche qu’il y avait un problème, ses coups de dents eurent pour effet de faire perdre toute érection, elle s’en excusa.
Je décidais de descendre à la cave voir ce qu’il se cachait derrière cet imposant buisson.
Je découvrais après avoir séparé en deux le feuillage, une chatte brune gonflée de désir, ouverte et mouillée abondement, la source peut-être d’une fontaine.
Déguster une chatte poilue n’a jamais été mon plat préféré, je m’appliquais, ma langue caressait les grandes lèvres comme les petites, je les aspirais tout comme j’aspirais son clito, le mordillais, le léchais, j’avais des poils dans le nez qui me chatouillaient, ses cris de satisfaction eurent pour effet de  redonné vigueur à mon membre, elle le voulut en elle, m’invita à la pénétrer, elle resta sur le dos pour être prise en missionnaire.

Après quelques allers retours sans expression de sa part je la fit mettre à genoux pour la prendre en levrette bien décidé à la faire crier et c’est sans ménagement que je la pénétrais.
Le OH de surprise passé, elle commença à gémir sous mes coups de reins, j’alternais les coups lents et les brusques et elle appréciait.
Mes mains sur ses hanches donnaient la cadence et accentuaient la v******e de la pénétration, quand mon sexe sortait de sa cachette, j’envoyais son corps en avant et quand il entrait j’attirais son corps à moi, la v******e de ces deux forces contraires la firent jouirent à de multiples reprises et quand ce fut mon tours je répandais mon foutre sur ses fesses, elle s’écroula, je m’allongeais à ses côtés.

Revenue à elle, elle me remercia, elle n’avait jamais connu de jouissances si intenses et pour lui avoir fait découvrir la levrette.
Je la questionnais, elle me raconta que son mari et elle faisaient l’amour deux à trois par an parfois quatre, que son mari n’aimait pas les préliminaires, ni les faire, ni les recevoir, qu’elle avait au début de leur mariage voulut lui faire une fellation mais qu’il l’avait refusé prétextant que c’était une manière de prostituées et qu’il connaissait que la position du missionnaire.
J’étais abasourdi, comment était ce possible. Elle m’expliqua, une éducation stricte en Espagne dans une famille bourgeoise, etc….qu’elle aussi avait subit cela, qu’elle avait connu qu’un seul homme, à 18 ans, qu’elle avait eu en bouche que son sexe et pas longtemps, qu’elle sentait en elle qu’elle aimait le sexe, qu’elle se donnait du plaisir plusieurs fois par jour même sur son lieu de travail en s’imaginant vivre des situations que jamais elle ne vivrait mais qu’elle ne voulait pas d’amants, car, elle serait obligée de mentir à sa famille et qu’elle voulait pas gérer un amant, qui, un jour lui demanderait d’aller au cinéma, au théâtre, au restaurant ou en week-end. Elle était frustrée depuis toujours, marié à un homme depuis vingt deux années qui ne  lui avait donné du plaisir que très rarement et voulant que sa femme respecte ses critères physiques. Elle avait réussi à ce qu’il accepte qu’elle se rase les aisselles, les jambes mais pas plus, elle, préférait avoir un sexe lisse.

Après tant de révélations, je lui demandais si elle voulait vivre toutes les situations qu’elle imaginait, elle me répondit qu’elle ne savait pas, qu’elle avait une appréhension ne sachant comment s’y prendre pour certaines mais qu’elle allait faire un acte immédiatement puisque son époux n’était pas là et qu’elle ne verrait pas avant deux semaines, elle se leva et sortit de la chambre, elle revint avec des ciseaux, un bol de mousse à raser, un blaireau, un gant et une bassine d’eau tiède et me demanda « peux tu le faire moi je tremble d’excitation ».

Je m’appliquais à ma tâche et même plus, ses fesses, son petit trou eurent droit également à toute mon attention, devant la glace elle trouva sa chatte bien plus belle et ajouta qu’elle n’aurait plus besoin de mettre son maillot de bain et de couper les poils qui dépassaient de chaque côté du maillot.

Je lui demandais quels étaient ses fantasmes, gênée elle me répondit de ne pas la juger, elle s’imaginait faire l’amour dans les caves, dans une voiture, en forêt, se promener ou faire ses courses nue sous un imper ou manteau, habillée en fille de joie dans un bois et attendre le client.

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