Exceptionnellement, ce samedi, le directeur a convoqué tous les collaborateurs à une réunion déterminante pour la vie de l’agence. Il est sept heures tente et mon portable émet une douce musique pour m’ôter des bras de Morphée. Au même instant, tu m’interpelles par un « bonjour mon Maitre, avez-vous passez une bonne nuit ? ». Je te jette un regard méchant qui en dit long sur ma réponse et t’oblige à baisser les yeux. Je remarque cependant avec plaisir que tu es telle que je t’avais installé hier soir. Jambes écartées maintenues par un bâton, mains liées aux pieds du lit, oreiller sous ton ventre et plug dans ton cul. Encore au radar, je file sous la douche, m’habille et avale un café. Avant de partir et par pitié, je pose au sol un bol d’eau pour te désaltérer. En fermant ma porte d’entrée, j’entends les voix de Catherine et Jean. Vais-je les déranger ? En moi, la réponse est prompte et sans équivoque. Mon doigt a déjà appuyé sur la sonnette. C’est Catherine qui ouvre. Cheveux ébouriffés, sans maquillage, chemise de nuit en satin blanche transparente et mules aux pieds. Après quelques banalités, elle prend de tes nouvelles. Je lui réponds « elle va bien, elle a dormi au sol telle une chienne. Si tu veux, tu peux la rejoindre et la dresser à ta guise. Seule condition, je souhaite être informé régulièrement de ce qui se passe chez moi ». Son « humm » en dit long sur l’envie de ma proposition. Étant en retard, je dévale les escaliers, après lui avoir laissé un jeu de clés.
Depuis mon arrivée au bureau, je n’arrête pas de scruter mon portable afin d’avoir des nouvelles de ce qui se passe chez moi. Quand, à dix heures, Jean m’envoie un texto disant « le dressage de ta pute va commencer ! J’ai créé une page avec une caméra pour que tu puisses la voir en direct. Encore merci pour la soirée. Bonne journée et à ce soir ».
Bien qu’en réunion de cadres, j’allume discrètement ma tablette, éteins le son et me connecte sur le site. L’image est d’une netteté déconcertante. Je reconnais le centre de mon salon mais la table basse a été déplacée. Au sol, je distingue une bâche bleu roi avec ma pute dessus. Tu es dans la même tenue qu’hier, debout et certainement pas douchée. Je distingue plusieurs ombres autour de toi mais impossible de voir de qui il s’agit. Subitement, je reconnais ma voisine dominatrice. Catherine est métamorphosée. Elle a mis une perruque argentée, une combinaison intégrale en skaï recouverte par des cuissardes remontant jusqu’à son entre-jambes. Je remarque, sous son bras droit qu’elle a coincé un fouet avec de longues lanières, une cravache et un autre objet que je n’arrive pas à deviner. Les silhouettes bougent de plus en plus quand soudain une autre femme apparaît dans l’écran. C’est une jeune asiatique, 1m50, très fine, vêtue uniquement d’un string. Est-elle soumise comme toi ou accompagne-t-elle Catherine ? Très vite, j’ai la réponse.
Elle s’agenouille, coudes au sol, cul en l’air. Ma voisine te saisit, te place dans la même position et j’imagine, t’ordonne d’aller lui lécher son petit trou. Avec cette vision, je sens mon pantalon changer de forme. Oui je bande ! Ma septuagénaire se place derrière toi, retire ton plug qui est en toi depuis hier et d’un signe de la main gauche te désigne. Quel dommage que je n’ai le son. Je n’en peux plus et trouve une excuse à « deux balles » pour m’éclipser de la salle. J’arrive mon bureau et le ferme à clé. Maintenant, je vais enfin me régaler avec le son et l’image. La connexion est longue à revenir ce qui a le don d’exciter mon impatience. Lorsque tout fonctionne, je discerne cinq hommes autour de vous, se tenant le sexe. Pourtant je ne les vois pas se masturber. La voix de Catherine ordonne « messieurs, c’est quand vous voulez ! ». Simultanément, de leurs sexes jaillissent leurs urines. Vos visages et vos corps sont inondés de pisse. Maitresse Catherine te saisit par les cheveux et t’impose de lécher ton associée. Elles sont encore chaudes et les différents goûts sont plaisants. A peine as-tu fini de lécher leurs pipis, que tu sens deux mains t’agripper les fesses. Sous leurs pressions, elles s’écartent. Tu sens de l’humidité couler dans ta raie car un participant laisse couler sa bave. Certaines gouttes vont directement dans ton petit cul. Un instant, tu penses que ce jeu va être délicat mais dans un mouvement de rein, c’est une bite entière qui baise ton fion. Elle est au plus profond de toi, sans un va et vient. Tu es dans l’attente d’un ordre ou de mouvements mais rien ne se passe. Cette attente te laisse un peu sur ta faim. Pas longtemps. L’autre soumise est passée sous toi et suce ta bite. Quel délicieux plaisir que tu voudrais éternel. Là encore, Madame Catherine va jouer avec toi. Elle transmet un gode à un autre homme et lui indique ton cul rempli. Elle écarte au maximum tes fesses et il te le bourre sans ménagement. Dans un long cri, tu exprimes ta douleur jouissive. Mais cela n’est que le début. Lorsque l’objet est au fond, la queue et le gode font des mouvements rapides et profonds dans ton cul de putain. L’homme jouit rapidement en toi et son jus glisse le long de ta fente. L’asiatique s’en délecte et tu imagines parfaitement son ressenti. Le godeur a retiré le membre plastique. Est-ce la fin ? Non, tu es reprise dans les mêmes conditions. Les coups sont de plus en plus violents, parfois accompagnés de coups de ceintures sur tes fesses fermes. Le temps te parait à la fois court tellement tu aimes cette situation et long par les afflictions infligées. Bref, six hommes auront exploré ton abîme sans retenue.
Lorsque cette tournante est terminée, l’ordonnatrice t’assoie seule sur le canapé, histoire que tu puisses aussi profiter du spectacle qui va arriver. Elle allonge ta partenaire sur la table basse du salon, lui attache fermement les chevilles et les poignets aux pieds de celle-ci et lui place un coussin sous les fesses afin de remonter son bassin. Ainsi sa chatte est plus accessible. Un nouveau personnage apparaît dans mon écran. Il tient un grand sac en toile dont il sort une multitude d’objets. Gods, bouteilles, concombres, batte de base-ball, etc.… Il choisit un gode, 3 à 4 centimètres de diamètre mais très long. Pas loin de 40 centimètres. Tu pensais qu’il allait lui fourrer dans sa chatte écartée… non, il le lui plante dans la bouche. Un homme vient de placer à califourchon sur son visage et se l’introduit dans le cul. Quant à Catherine, elle a fouillé l’amas d’ustensiles et se retrouve avec deux concombres dans la main. Elle les place devant son embouchure. Sans retenue, elle pilote les légumes en elle, la faisant hurler. Après quelques mouvements rapides, elle saisit une bouteille de vin et lui inflige le même sort. Au début, je n’ai pas fait attention mais en y regardant de plus près, elle la lui a enfoncée par le culot lui défonçant sa grotte. Avantage d’une telle prise, c’est que Catherine peut tenir avec force la bouteille par le goulot. Un participant s’approche de la gestionnaire, lui susurre quelques mots à l’oreille. Elle enlève tous les objets des orifices… le gode dans la bouche et dans l’anus ainsi que les deux légumes vaginaux. Elle positionne le cul de l’homme sur la table directement sur la bouche de la petite pétasse, lui ordonnant de le lécher goulument. Deux hommes à fortes carrures apparaissent de dos. Ils se placent entre ses jambes et leurs doigts explorent sa chatte béante. Peu à peu, leurs deux mains bougent entièrement en elle. Malgré que son visage soit bloqué par un cul, elle hurle sa jouissance à m’obliger de baisser le volume de mon PC. D’un signe de la main, Catherine te demande de les rejoindre. Elle décale les deux fouineurs et t’agenouille entre les jambes de cette salope ouverte. Simultanément, ils retirent leurs mains et un jet puissant inonde ta face de pute. Tu ouvres au mieux ta bouche afin de boire son jus de femme fontaine.
Cette séance est interrompue par mon téléphone. C’est la secrétaire qui s’étonne de mon absence. Je me dois de retourner en réunion, ma queue bien dure….
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