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Le loup-garoux 4

Le loup-garoux  4



21h00 – Une visite surprise.

Marie se déshabilla complètement et se fit couler un bain dans lequel elle vida une bonne demi-bouteille de savon moussant. La voir déambuler comme ça dans la chambre était un pur ravissement. Elle amena ses petits lampions orange et mauve qui créait des ombres de sorcières et de chauve-souris sur les murs près de la baignoire sur pieds puis y plongea en m’appelant par la porte rester entrouverte.
-Tu viens Paul, ça fait du bien, ces chaud ?
-Tantôt minou…
J’avais trop faim et trop soif.
Nue dans le lit assit jambe croiser de gros oreiller bien caler sous mes reins je me servit du vin et avec la télécommande j’ouvris la télé a écran plat.
Rambo bouffit se bavant dessus en abattant de pauvre asiatique… Navrant.
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Pas de canal découverte.
Pas de canal science.
Décourageant, la semaine allait être longue.
Une superbe Miss météo qui riait toute seul. Bizarre.
Canal sport. Ennuyeux !
Un gros gars avec un masque de hockey en feux et une machette. Pouah…
Pas de films de fesses. Et ben !
Ahhh…
Luke tu es mon fils… Hi ! Hi !
Je me tartiner du pain avec du foi gras au poivre fait maison en salivant, y mit des tranches de salami épicé, fait au village, du fromage a pâte molle, fait au village et me verser une coupe de vin blanc de la région d’Oka au nord de Montréal et m’installer confortablement sur les gros oreiller pour écouter ce classique et…
La porte s’ouvrit lentement, miss zombie entra, referma derrière elle, se planta à coté du lit et commença à se déshabiller. Par réflexe j’avais cacher mon petit paquet avec mon lunch… Mais rapidement mon lunch fut trop petit pour cacher mon équipement et Marie fredonnait dans le bain. La jaquette tomba par terre. La dame avait une peau d’une blancheur de lune justement et sans aucun défaut. Magnifiquement ronde, pas trop, juste ce qui fallait pour faire saliver son homme et portait des dessous de dentelle blanche qui ne cachait pas grand chose. Ses gros mamelons étaient bien visibles ainsi que sa toison écraser sous les slip.
Je me mit à saliver comme un berger devant… Enfin….
-Eh… Madame.
Aucune réaction tandis quelle dégrafait son soutien-gorge entre ses seins plantureux. J’essayer de me rappeler un excellent documentaire que j’avais vu quelques années plutôt sur le somnambulisme et les dangers de… et…
Merde, le soutien-gorge s’ouvrit, elle l’enleva et le laissa tomber, ses gros seins au larges auréole brune roulèrent sur son ventre et elle se pencha pour retirer ses slip, la il se frappèrent ensemble mollement. La trace du soutien-gorge y était rester imprimer. Doux Jésus me dis-je en la regardant se débarrasser de ses slip et pas de mari qui frappait à la porte, y devait dormir et je savais que Marie en avait pour une bonne heure dans le bain comme d’habitude.
Rejoint moi Luke…
Je fais quoi ? J’en profite ou pas ? Me demandais-je en déposant mon lunch sur la table de chevet. Elle était visiblement venue pour sa après tout. Pourquoi pas ?
-Paul, tu veux m’apporter du vin ?
-Hein !
-Une coupe de vin.
-Ouiii !
Je remplie l’autre coupe en regardant Sally nue à présent, amorphe et bandante a mort avec ses yeux bleus, ses grosses boules au pointes tendues et sa toison noir fournie au poil long bien droit, puis elle se lécha les lèvres rose en grimpant sur le lit a quatre pattes. Wow. Ma bite palpitait.
-Pis ! Cria Marie qui s’impatientait. Tu dors pas j’espère ?
Elle se pencha pour me sucer.
-Non ! Tantôt madame. Fis-je tout bas en la repoussant gentiment.
-Oui ou non ? Demanda Marie, bon je viens.
-Non, je veut dire oui eh… Mais… Non…
-Hein !
Luke ne fait pas ça…
-Bouge pas mon amour j’arrive. Criai-je à Marie.
Je me lever, la zombie me suivait en débarquant du lit derrière moi avec ses grosses boules qui se balançait comme si elles étaient remplies de jello pas tout à fait prit, ça me donnant l’eau a la bouche.
-Non ! Fis-je tout bas en la repoussant.
-Branche-toi ! Cria Marie. Oui ou non ?
-J’arrive mon poussin !
Je pousser la dame sur le lit et filer rapidement dans la salle de bain a moitié débander.
Marie se pratiquait sans doute pour une pub de savon moussant. Elle avait levé une de ses longues jambes et pointait le pied vers moi tout le reste de son corps disparaissait sous les bulles, sauf la tête et elle loucha vers mon membre.
-Oh mon homme, je te fais de l’effet.
-Toujours. Fis-je nerveux a l’ombre d’une sorcière qui ondulait.
-Entre mes orteils belle bite.
-Hein ! Quoi la langue ou la bite, la j’ai faim minou.
Elle rit si belle.
-Mais non idiot, la coupe Paul.
Je le fit nerveux coinçant la base de la coupe entre ses jolis orteils aux ongles couverts de rouge éclatant, la porte s’ouvrait derrière moi. Je le voyait dans le miroir au dessus de l’évier. Palpitations. Marie amena la coupe a sa bouche avec son pied et prit une gorgé. Stupéfiant.
-Wow !
-J’ai été danseuse, trapéziste et…
-Ok, prend ton temps Miss Bubblebath.
Je ressortis presser et fermer la porte. Sally me regarda toujours avec ses yeux de poisson mort tandis que je la ramenais au lit puis je filer barré la porte de la chambre au cas ou et on y frappa au même moment.
Le coeur m’arrêta… et repartit. Ouf !
-Ouiii ! Murmurai-je contre le battant.
-Vous avez vu ma femme ? Cria l’aubergiste comme le fond la plus par des gens qui on des problèmes d’audition.
Un frisson me traversa la colonne en ouvrant la bouche pour répondre mais….
Une main me pogna les couilles l’autre les fesses, je sursauter comme un rat mordant dans un cordon électrique.
-Pas si fort, dis-je les dents serrer, la mienne dort.
-Ah, désoler. Fit le mari plus bas. J’ai perdu la mienne.
Elle se frottait les seins sur mon dos et me léchait la nuque en me pressant les couilles et les fesses. Petit Jésus !
-Est peut être sortit monsieur.
-Tabarnak le loup-garou. Hurla t-il.
Je l’entendit débouler l’escalier et crier dehors. Sally, Sally !
-Cé quoi sa ? Demanda Marie.
-Rien, la télé ! Fis-je en me retournant, la langue me rentra dans la bouche et elle m’agrippa la queue et me branla avec force en gémissant. J’empoigner ses seins lourds et lui caresser en la repoussant vers le lit ou on tomba en se cognant les dents.
-Sally ! Criait toujours le mari dans la rue.
Merde. Je ravaler ma langue.
-Un instant beauté. Lui dis-je en me dégageant de son étreinte.
Je fermer une des fenêtres qui était rester ouverte, elle se relevait déjà et la recoucher dans le lit. Elle s’étendit cuisses écarter…
Grosse boules, grosses fesses, sexe luisant d’humidité, wow !
-Paul !
-Ouiii…
-T’oublie pas mon petit massage de fesse hein ! Tu m’as donner ta parole.
-Et oui minou !
Et j’avais intérêt a la tenir, si il y avait quelque chose que Marie ne digérait pas c’était bien les gens qui ne respectaient pas leur parole.
-Je t’ai fait plaisir dans le camion, hum, oublie pas ça !
-Ouiii…
Je bander plus dure en m’étendant à nouveau sur Sally. Aucune réaction, elle fixait le plafond. J’agripper ma bite, trouver l’entré du vagin et pousser. En trois petits coups j’étais bien au fond et commencer à m’amuser avec ses seins lourds si doux en la besognant lentement sur un fond sonore de guerre des étoiles. Ses beaux yeux bleus se fermèrent de moitié et elle commença à gémir jambes en l’air.
-Non ! Fis-je en lui plaquant une main sur la bouche.
-Paul !
-Ouiii !
-J’ai oublier mes produits dans mon sac.
-Shit !
-Hein !
-J’arrive ! Toi pas bouger hum ! Fis-je en tapotant du bout du doigt le petit nez mignon de Sally tout en me retirant du vagin bien humide en grimaçant.
Oufff… !
Je me lever, elle se leva. Je la repousser sur le lit exaspérer.
Je sortis le petit sac contenant les produits de Marie de sa valise en quatrième vitesse et repousser encore Miss zombie et couru à la salle de bain, j’y entré essoufflé et bander ben dur.
Marie était entrain de relever ses longs cheveux cuivrer pour les attacher en chignon avec une grosse pince en plastique et fixa ma bite.
-Et ben, y as des passes de cul dans Star Wars, ces la princesse ou Dark Vador qui t’excite le plus ou peut être la poubelle qui fait bip… Bip… Bip… Ou…
-Non… Ses tes belles jambes minou. Coupai-je un peut essouffler.
-Oh ! Fit-elle en levant la gauche bien droit vers le plafond et le reste des son corps bascula sous l’eau. Je ne vis plus que de la mousse et une longue jambe musclée. Sa coupe de vin était sur le sol. Ouf…
Tant pis, je laisser les produits a porter de main et filer, tombant nez a nez avec l’autre déjà dans la salle de bain. Hi ! Retour au lit le souffle court en la poussant par les boulles.
Mais en passant devant une des fenêtres, sous la lumière lunaire je vis qu’il y avait un attroupement devant l’auberge. Les recherches s’organisaient. Tant pis.
Je renfiler ma bite dans la zombie un peut presser d’en finir et commencer à m’agiter comme un petit mulot effrayer agripper à ses épaules. C’était comme baiser une morte mais chaude. Étrange et très excitant. Et si elle se réveillait. Stop. Petit moment de panique. Je frissonné en lui giflant mollement le visage juste pour voir, au cas ou. Si elle se réveillait je prétexterais une tentative de viol. Aucune réaction. Good.
Elle était bien mouillée à présent, ma bite allait et venait de plus en plus vite, j’haletais contre sa joue et…
-Paul !
Gros soupir.
-Ouiii !
-Ces la dernière fois que je te dérange mais j’ai faim.
-Je manque mon film minou !
L’autre croisa ses pieds sur mes reins.
-Tu la vue 100 fois. J’ai le ventre qui gargouille mon choux.
Bitte malheureuse qui sort à nouveau d’un vagin bien accueillant mais impossible de me lever. Les filles on les jambes plutôt forte. Je dut forcer pour m’en extirper mais elle m’agrippa par la queue pendant que je débarquais du lit.
Aoutch ! Elle avait dut me la rallonger d’un bon pouce et gratis en plus, me dis-je en y enlevant ses petits doigts joufflu.
Je couru pour apporter le plateau a Marie mais…
-Pis soif… Le vin est délicieux.
Je reculer, Miss zombie revenait je la repousser du cul, prit la bouteille de blanc et rentrer dans la salle de bain le coeur battant.
-Té un amour. Dit-elle la face pleine de mousse, les cheveux détremper et les yeux touts rouges. Pause ça par terre.
-Ok.
-Pis en sueur et toujours bandé ! Hum, ta hâte de me massé mon petit cochon. Fit-elle en plissant le nez et les yeux. Moi aussi, on la pas fait depuis… Eh… une bonne semaine Paul, tes mains son si…
-J’ai chaud poupée a tantôt.
-Hum, j’espère que tes en forme, j’ai ben le goût. Tient la porte s’ouvre toute seul. Y as peut être de l’activité paranormale ici Paul tu devrais peut être aller chercher l’équipement dans le camion. Mais pas tout nu hum !
-Shit, eh… Mais non, le planché est croche, prend ton temps.
Je ramener l’autre dans le lit et sauter dessus encore. Cette fois je la fourrer d’aplomb main sur ses lèvres humide. Toutes ses belles rondeurs revolaient gaîment, super. En lui suçant un mamelon du lait sucrer en jaillit me remplissant la bouche. Hum ! Je la baiser avec plus d’ardeur tandis quelle haletais les yeux révulser jusqu’a conclusion. Mais je décharger sur elle au cas ou. A genou entre ses cuisses je me vider les couilles sur son ventre et ses seins plantureux.
Dark Vador est mon père…
Marie fredonnait à nouveau mais elle fredonnait faux…
Miss Sally me regarda faire en silence les yeux brumeux en se pressant les seins. Des petits Geyser de lait jaillirent se mélangeant à mon sperme qui s’étalait sur sa peau de lune. Wow !
Je frotter mon gland dans la belle toison sombre puis essuyer la dame avec une serviette, la relever, la rhabiller tant bien que mal et la repousser hors de la chambre gentiment et barré la porte. Elle y gratta un instant puis plus rien.
Gros soupir.
Je m’écrouler sur le lit épuiser.
Leia tu es ma soeur…
Je calé ma coupe de vin et manger mon lunch puis je fermer les yeux un instant.
-Paul… Tu vient.
-Paul…
-Y ronfle le Tabarnak !

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