Ce récit véridique s’est déroulé il y a 2 ans. Comme tous les vendredis à cette époque là, nous sommes allés dans un club libertin situé dans un immeuble historique du centre de Nantes. Ce club plutôt destiné aux gays qui propose 2 soirées mixtes le vendredi et le lundi offre un espace balnéo de belle qualité : un jacuzzi où on peut tenir à une bonne douzaine de personnes, un hammam immense et un sauna beaucoup plus petit. A l’étage il y avait les coins câlins de diverses tailles adaptés aux différentes configurations de nos coquineries. Globalement nous nous sentions bien dans cet endroit que nous fréquentions donc régulièrement. Etant donné que l’objectif de la soirée était de nous dévêtir dès notre arrivée, Véro pris juste le temps d’enfiler un string et des vêtements décontractés. Comme à son habitude, pas de soutien gorge. A notre arrivée au club, l’hôtesse nous a donné 2 serviettes et 1 paréo. Nous sommes ensuite allés nous dévêtir dans les vestiaires ou 2 hommes étaient déjà en train de se déshabiller. Lorsqu’ils nous on vu arriver, ils ont pris tout leur temps pour voir l’effeuillage de ma femme. Elle leur fit rapidement de l’effet puisqu’ils bandèrent très rapidement. Nus à notre tour nous nous sommes rendus à la douche où nous nous sommes savonnés tous les 2. Ensuite direction le jacuzzi. Nous étions les premiers occupants ce soir là. Après être passés à leur tour par la douche les 2 mecs nous ont rejoint. Ils bandaient toujours et la vue de Véro en train de me branler dans l’eau de leur offrit pas de répit. Mis à part l’excitation provoquée par cette situation, Véro me glissa dans l’oreille qu’aucun des 2 ne lui plaisait pour aller plus loin avec eux.
Nous nous sommes caressés tous les 2 sous le regard de nos 2 spectateurs. Après une vingtaine de minutes un couple de blacks pris place à son tour dans le jacuzzi. Les blacks s’étaient le péché mignon de Véro. elle résistait rarement. L’homme était plutôt enveloppé mais au repos sa bite était déjà d’une taille impressionnante. Véro me fit aussitôt un clin d’oeil en souriant. LA femme était beaucoup plus mince, mais avait une poitrine généreuse. Sa chatte n’était pas épilée, mais ses poils frisés laissaient quand même percevoir ses lèvres roses. Ils s’installèrent à nos côté, en face des 2 voyeurs. L’homme commença à caresser sa compagne qui se laissait faire docilement. Les 2 femmes étaient côté à côte. Véro continuait à me caresser la bite pendant que j’introduisais mes doigts dans sa chatte humide. L’homme noir jetait régulièrement des coups d’œil dans notre direction pendant qu’il caressait sa compagne. Après quelques instants il se mit debout en face de sa compagne, le sexe en érection hors de l’eau du jacuzzi. Sa bite était en forme et devenait impressionnante. Sa compagne la prit en bouche pour lui tailler une longue pipe. Elle avait parfois du mal à reprendre son souffle tellement la bite prenait de la place dans sa bouche. Nos 2 voyeurs se branlaient joyeusement en regardant le spectacle. Véro et moi nous caressions toujours en ne quittant pas nos voisins des yeux. Après une dizaine de minutes, l’homme se retira et écarta les cuisses de sa compagne pour la pénétrer. Il la lima de plus en plus rapidement. A chaque coup de boutoir, elle poussait des petits gémissements. L’homme regardait de plus souvent dans notre direction. Il posa rapidement une main sur la cuisse de Véro pour prendre appui pendant qu’il baisait sa compagne. plus il la pilonnait plus sa main s’approchait de la chatte de Véro qui écarta à son tour ses cuisses. il introduit plusieurs doigts toujours en baisant sa compagne. AU bout de quelques minutes il nous demanda si nous voulions monter avec eux dans un coin calin. Véro me regarda et lui répondit que nous étions d’accord, mais uniquement tous les 4. Nous sommes donc sortis du jacuzzi, nos bites en érection. Nous avons juste pris nos serviette sans nous en entourer et sommes montés nus tous les quatre. Notre pièce favorite était libre. C’était la plus grande, elle disposait d’une porte que nous pouvions fermer à clé (les autres ne fermaient pas toutes). Il y avait un grand matelas en L, un grand miroir au mur et quelques trous ou nos amis voyeurs se sont rapidement installés pour nous mater.
Nous nous présentâmes respectivement et nous sommes allongés sur nos serviettes. Nos amis n’étaient pas mariés mais il s’agissait d’un couple illégitime. Véro commença à me tailler une pipe comme elle savait le faire. Il n’y avait rien de mieux pour me mettre en forme. A nos côtés l’homme lécha la chatte de sa compagne et se mit à caresser les seins de Véro pendant que je la doigtais. Rapidement l’excitation devenait insupportable . L’homme introduit donc sa bite dans la chatte de sa femme toujours en caressant les seins de Véro. Au bout de 5 mn il se leva et enfila une capote. Comme Véro s’était mis à 4 pattes pour continuer à me sucer il n’eut aucun mal à la pénétrer. Elle se laissa faire sans problème et arrêta de me sucer rapidement tellement les coups de hanche de notre compagnon lui faisait de l’effet. Voyant cela j’enfilais à mon tour une capote et me rapprocha de la femme black qui était allongée sur le dos les cuisses écartées. C’était la première fois que je voyais d’aussi près l’anatomie d’une femme de couleur. Quel contraste de voir sa chatte rose dans un corps noir. Je lui présentais ma bite qu’elle saisit rapidement. Ma bite était beaucoup plus petite que celle de son homme. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle me dirigea vers son anus. Je ne m’attendais pas à cela, mais j’en fus ravi. En effet, Véro appréciais peu la sodomie. Ma compagne du moment devait avoir l’habitude de se faire enculer car son anus était très accueillant. Nous baisions donc tous les 2 la compagne de l’autre. L’homme black se retira au bout de quelques minutes, enleva sa capote et éjacula sur les fesses de Véro. En regardant cela l’excitation gagna son sommet et j’éjaculais également dans ma capote dans le cul de la jolie black.
Nous nous sommes nettoyer rapidement avec de l’essuie tout disponible dans la chambre et sommes allés boire un verre au bar tous les 4. En descendant, la femme black me dit que c’était la première fois qu’un blanc la baisait.
Je ne suis pas certain qu’elle garderait un souvenir impérissable de ma performance car je ne disposais pas de l’anatomie de son homme, mais elle se souviendra peut-être de son premier blanc.
A suivre
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