Je crois que je vais avoir envie de me taper de la pute bien chaude et sans te ménager … Tu vas te rappeler de ce week-end comme tu te souviens de Pâques !
Je vais te défoncer comme une chienne, la tête dans l’oreiller …
Tu vas me donner ton cul salope, te mettre les fesses en buse et je vais te limer bien profond.
Je pose mon gland violacé sur ta rondelle, je tiens fermement ma bite à la main et pousse d’un coup pour t’élargir le cul… Il ne cède pas ! Alors d’un coup sec j’enfonce mon chibre dur quelques centimètres plus bas dans ta vulve dégoulinante, détrempée. Je le retire aussi vite pour revenir pousser dans ton cul et cette fois ma bite pleine de ta mouille glisse dans ton fion de pute. Tu pousses des cris étouffés dans l’oreiller et tu mords dedans alors que je commence à te ramoner le cul…
Je te mets aussi quelques claques sur les fesses pour bien te faire sentir que tu m’appartiens et que je vais t’en mettre autant que je veux. la forme de ma main s’imprime sur tes fesses alors que je la frappe un peu plus fort pendant que je m’enfonce toujours plus profond dans ton cul de putain en chaleur. Après plusieurs minutes à te limer comme un sauvage je me retire et te laisse avec le cul ouvert, béant.
Je te fais te retourner et j’approche ma bite de ta bouche. Tu as le visage est rouge et avec le rimmel mêlé aux larmes qui ont coulé de partout, on dirait une vraie raclure. Tu as le souffle court, mais je te mets quand même ma queue dans la bouche.
– Sophie nettoie moi avec ta langue. À partir de ce soir et pour tout le week-end, tu es ma chienne, ma chose, ma salope, ma putain, un sac à foutre et une pompe à sperme. Je vais t’utiliser comme bon me semble. Quand je te dirai de me sucer tu me demanderas si je veux que tu avales ou que je vienne sa ta tronche.
Je me mets à te ramoner la bouche. Tes larmes coulent de plus belle et ton maquillage aussi (ça m’excite grave), mais tu continues de me sucer avec abnégation. Te voir comme ça, soumise m’excite encore plus. Je finis par me vider les couilles à gros jets de foutre chaud sur ta bouche, tes lèvres et tes cheveux. Je veux que tu restes comme ça sans te laver, comme la grosse salope que tu es …
– Tu n’es vraiment qu’une sale petite pute. Et tu sais comment on traite ce genre de salope ?
– Je…
Un grand jet doré te coupe la parole… Un jet de pisse chaud s’abat sur son visage… Tu essayes de te retirer, mais je te tiens fermement par les cheveux « Bois sale chienne » .
La pisse te coule sur le visage et sur les lèvres et je te vois ouvrir la bouche en grand, des
flots pisse s’engouffrent dans ta petite gueule de chiennasse et ruissellent sur tes seins, ton ventre, ta chatte, tes cuisses …
Tes cheveux sont plein de puisse aussi !
– Tu n’es vraiment qu’un sale bâtard Léo…
– Tu as quelque chose à dire espèce de sale chienne ?
Je te retourne et t’oblige à te mettre face contre terre, le visage dans une flaque de pisse…
– Baisse ta culotte sale pouffiasse et doigte toi la chatte, fais-moi bander ! Je vais te reluquer et me branler pendant que tu t’astiques le con salope.
Tu commences alors à caresser tes fesses poilues, tu les écartes bien, je vois ta chatte dégouliner de mouille et des gouttes de pisses perler au bout de tes longs poils noirs, ton gros trou du cul se contracte pendant que t’écartes en grand les fesses devant moi…
Tu commences enfin par t’enfiler des doigts dans la moule puis le cul. Un puis deux et enfin trois qui passent de l’un à l’autre… Je me caresse au-dessus de tes fesses alors que tu te branles la moule pour te faire jouir. J’enfonce alors deux doigts dans ton cul bien chaud et serré puis les fais aller et venir en toi. Tu m’excites tellement espèce de sale pute que je bande encore et que j’ai envie de décharger… Je me vide les couilles une seconde fois, un gros paquet de foutre chaud vient te recouvrir le cul et les fesses, je continue à te branler le cul et à bien lubrifier mes doigts avec mon sperme gluant pour te le fourrer dans l’oignon.
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