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Journal d’une tapette Ch.3

Journal d’une tapette Ch.3



Chapitre 3 – Première fessée.
Le lendemain matin, je fus brutalement réveillé par Emma qui tira brusquement les rideaux du salon pour faire entrer la lumière et me cria un « Ouste, debout ! »
A moitié réveillé, clignant des yeux sous la lumière trop forte du jour, je baillais et je vis Emma debout devant moi qui semblais encore plus furieuse que la veille.
« Debout, minable ! Je vais partir bosser. Il faut bien que quelqu’un fasse bouillir la marmite dans cette maison, tandis que tu te prélasses au lit… Je n’ai pas le temps de discuter à nouveau. Je t’ai laissé un mot. Lit-le et fait ce qui est écrit. Bye ! »
Je me levais péniblement pendant qu’elle claquait la porte de l’appartement. Sur la table de nuit, près du lit je trouvais un petit mot d’elle.
« Finie la vie facile ! Puisque tu n’es pas capable de me baiser correctement, tu vas au moins te rendre utile. Tu vas ranger l’appartement, faire la vaisselle et le ménage. Je veux que tout soit nickel quand je rentrerai.
Autre chose. J’en ai marre de ce tête à tête frustrant avec toi. J’ai invitée mon ancienne petite amie Magalie à passer quelques jours avec nous. Je ne te demande pas ton avis. Je n’en ai rien à foutre de l’opinion d’un impuissant.
Bouge ton cul de fainéant et fait ce que je te dis… Sinon… »
Je n’en croyais pas mes yeux. Jamais Emma ne m’avait traité ainsi. Je lisais et relisais ce mot terrible…  » pas capable de me baiser correctement  » …  » tête à tête frustrant avec toi  » …  » mon ancienne petite amie Magalie « ,  » impuissant « … Et il y avait ce  » Sinon  » final lourd de menaces…
Que signifiait ce  » Sinon  » ? Elle allait me quitter c’est sûr, où plutôt me foutre dehors pour rester avec cette lesbienne de Magalie. Et que vont-elles faire toutes les deux pendant qu’elle serait chez « nous » ?  » Impuissant  » …  » tête à tête frustrant  » c’est sûr, elles allaient baiser entre elles… Pendant que je tiendrais la chandelle. Je serais rejeté de son lit en attendant d’être rejeté de son appartement. Non ! Cela n’allait pas se passer comme cela. J’allais me défendre. Mais en attendant, il fallait calmer le jeu. Filer doux au début, puis reprendre la main à la moindre occasion. Mais avec cette terrible Magalie qui détestait tous les hommes cela ne serait pas facile. Bon… commençons donc par obéir un minimum. Je vais déjà ranger l’appartement. Ce sera déjà ça de fait.
Je me levais pour commencer à ranger la chambre. C’est alors que je la vis. Sa petite culotte, toute blanche, un léger chiffon de dentelle. Je la pris… Elle semblait encore humide… Je la portais à mes narines et inspirait ! Oh ! Mon Dieu quel parfum ! L’odeur de sa chatte ! Cela sentait très fort, comme si sa chatte humide était là, sous mon nez. J’adorais la lécher et elle aimait bien cela aussi. Au moins sur ce plan je ne recevais jamais de critiques de sa part. Elle était clitoridienne et je savais que je pouvais la faire monter au septième ciel ainsi.
Mais si maintenant si c’était cette salope lesbienne de Magalie qui s’en chargeait ? Entre femmes elles se connaissaient bien et elle devait être au moins aussi bonne que moi à ce petit jeu là… Bigre j’étais mal parti !
Je continuais à plaquer sa petite culotte sur mon nez. Hum… Décidément qu’est ce que sa chatte sentait bon… Cela m’excitais… et je bandais comme jamais… J’avais une furieuse envie de me soulager, d’autant qu’hier au soir j’avais dû faire ceinture… Certes il y avait tout ce ménage à faire, mais j’avais toute la journée devant moi.
Je m’installais devant l’ordinateur et l’allumait, déclenchant sans le savoir ce fameux virus installé à mon insu. Je lançais le navigateur pour me connecter sur un de ces sites où de belles blondes se faisaient baiser par d’énormes bites de blacks. Ah si j’étais aussi bien monté qu’eux je n’aurais pas sûrement tous ces problèmes avec Emma en ce moment. Je lançais le visionnage d’un film où le gars avait une bite extrêmement large qui écartelait complètement les lèvres lisses d’une adolescente et la pistonnait à tout va.
Je commençais à me branler tout en reniflant la petite culotte. C’est comme si je rentrais dans le film et que c’était moi qui baisait profondément cette petite chatte bien lisse et qui faisait crier la fille.
Je me branlais de plus en plus vite, plus ma respiration s’accélérait et plus je me grisais des effluves aphrodisiaques de sa petite culotte. Ah… C’était trop bon… ça montait… j’allais éjaculer.
 » Ouiiiiiiiiiiii…. Aaaaaaaah  » Je déchargeais. Instinctivement je recouvrai mon gland de la petite culotte pour recueillir mon sperme et éviter d’en mettre partout. Je crachais de longs jets épais, inondant complètement la petite culotte… Oh que cela avait été bon.
Je reprenais vaguement mes esprits quand tout à coup je sentis une présence derrière moi… Je tournais la tête et je vis … Magalie… qui m’avait observé sans rien dire et avait sans doute profité de mon moment d’extase pour s’approcher silencieusement de moi. Un rictus de dégoût déformait son beau visage de femelle.
 » Beurk, c’est à vomir… Un sale petit pervers au zizi ridicule qui se branle comme un petit garçon en matant une grosse bite de black. Sale petit pédé de merde. Tu as souillé la petite culotte de ma meilleure amie avec ton jus de lopette. Dégoûtant ! Elle va être furieuse quand elle va savoir cela. Surtout si je lui parle de ce gros membre black qui t’a fait couler… écoeurant… « 
 » Mais… je… non… s’il vous plaît… ne faites pas cela… elle me jetterait dehors… je vous en prie… pitié…  » Je balbutiais totalement choqué et honteux de cette situation.
 » Tu ne crois tout de même pas que cela va se passer comme ça… que tu vas t’en tirer à si bon compte… et continuer à te branler toute la journée pendant qu’elle travaille pour vous deux, et qu’en plus, d’après ce qu’elle m’a raconté, que tu es incapable de la satisfaire sexuellement… Je ne vois pas pourquoi elle continuerait à entretenir un immonde parasite comme toi ! « 
 » Mais… s’il vous plaît… Ne lui dites rien… Je … je dois faire le ménage justement… pour l’aider… Vous aider aussi pendant que vous serez là… Je me rendrais utile… « 
 » Utile ! Ah, ah, ah … Utile ! Tu ne sais pas ce que cela veut dire… Toutefois je veux bien lui cacher cela … Si …. « 
 » Oui … oui… S’il vous plaît… ne lui dites rien… je ferais tout ce que vous demanderez. « 

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