Cette histoire remonte à plusieurs années. A l’époque, j’étais en couple avec une femme de mon âge avec qui j’étais sexuellement en phase. Avec ses gros seins, son cul appétissant et ses envies lubriques, nous passions tous les deux de bons moments. Elle avait une fille, Laura, qui à cette époque avait 16 ans. Tout comme sa mère, elle est châtain, les cheveux ondulés tombant sur ses épaules, les yeux noisettes, des seins presque aussi gros que ceux de sa mère et un joli petit cul bombé. Il m’était déjà arrivé de regarder ses fesses quand elle sortait de la pièce et je ma suis même surpris à bander un peu ainsi.
Un matin, alors que Laura devait aller au lycée, elle n’a pas pu se lever car elle prétextait avoir de la fièvre. Sa mère avait une réunion importante ce jour-là qu’elle ne pouvait pas manquer et j’ai donc appelé mon bureau pour poser ma journée en télétravail afin de m’occuper de ma belle-fille. Une fois sa mère partie, je dis à Laura d’aller se recoucher pour se reposer et que je passerais voir comment elle va en fin de matinée. Elle s’exécute et je ne peux m’empêcher d’admirer encore son derrière lorsqu’elle sort du salon. J’ai un sévère début d’érection que je réfrène en me consacrant à un peu de télétravail.
En fin de matinée, comme promis, je vais voir Laura dans sa chambre pour voir comment elle se sent. Je frappe doucement à la porte sans avoir de réponse, puis j’entreprends d’ouvrir un la porte afin de rentrer la tête. Je la vois dormir au-dessus des draps, avec juste un top sans manche et un short de nuit. J’arrive facilement à voir ses tétons tout durs à travers le tissu, ce qui fait revenir un peu mon érection. Je m’assoie à côté d’elle sur le lit puis je la réveille doucement. Elle se réveille puis se relève un peu dans son lit. Nous sommes tous les deux assis l’un à côté de l’autre. Je lui demande si elle va mieux mais elle me répond que non, elle a toujours chaud partout.
Je vais alors chercher un thermomètre frontal et regarde sa température. Elle est normale et je lui demande alors où est-ce qu’elle a chaud plus précisément. Elle se sent un peu gênée de me répondre et me demande de ne pas me moquer d’elle. Je le lui promets et elle me dit que la chaleur vient principalement de ses seins et de son entrejambe. Je comprends alors son malaise et commence à en discuter avec elle. Laura s’est toujours montré bien plus à l’aise pour parler de sexualité avec moi plutôt qu’avec sa mère car celle-ci trouve cela tabou d’en parler avec sa fille. Je lui dit donc que le mieux pour calmer cela serait de se masturber jusqu’à l’orgasme afin d’apaiser le tout. Je me lève alors pour la laisser seule mais elle m’agrippe le bras et de confie qu’elle ne l’a jamais fait et qu’elle ne sait pas comment faire. Je me sens en même temps embarrassé et excité par la tournure que prennent les choses et je décide de rester pour lui expliquer.
Tout d’abord, je lui dit que le mieux pour commencer est de faire ça totalement nu. Elle hésite un peu à se déshabiller devant moi, ce qui est compréhensible, mais accepte à la condition que je fasse de même devant elle. N’ayant pas vraiment la barrière de la pudeur, j’accepte son marché, d’autant plus qu’elle a déjà eu l’occasion de m’apercevoir nu. Laura se déshabille complètement devant moi et donc j’en fais autant devant elle. Entre temps, mon sexe a continué à prendre de l’ampleur et j’ai désormais un semi-érection. Laura remarque alors que mon sexe est plus gros que dans ses souvenirs et je lui réponds que je suis également un peu sexuellement échauffé et que le résultat est ce début d’érection. Je vois ses joues rougirent de plus en plus et je lui propose de s’allonger un peu pour la suite.
Je lui explique alors du mieux que je peux comment faire pour une femme pour atteindre un orgasme. Elle me dit avoir compris et commence à se masturber devant moi. Elle commence par prendre ses seins en main et à se les caresser. Puis, elle se concentre sur ses tétons déjà bien durs, ce qui la fait un peu gémir. La voir se triturer les tétons dans tous les sens me chauffe pas mal et je me surprends à avoir pris mon sexe en main pour le caresser doucement. Rapidement, sa main descend vers son Mont de Vénus quasiment imberbe, comme sa mère, et elle se met à se caresser les grandes lèvres jusqu’à introduire un doigt entre elles. Je l’entends respirer fort et gémir lorsque je la vois tourner la tête vers moi pour apercevoir mon sexe pleine érection dans ma main qui le masturbe doucement.
Elle approche alors sa main et celle-ci remplace la mienne sur mon organe bien dur. Sa réaction est tellement surprenante que je ne fais rien pour l’en empêcher et, pour lui rendre la politesse, je me mets à lui caresser un sein. Laura doit certainement sentir la différence entre nos façons de lui donner du plaisir car elle gémit instantanément encore plus fort qu’avant. Je n’arrive plus à me retenir et je positionne mieux afin de venir lui prendre un sein en bouche. Ma main gauche, celle du côté de son bassin, se rapproche de son pubis et fonce directement vers son clitoris pour s’en occuper sans ménagement. Je l’entends alors non plus gémir mais crier son plaisir tellement elle apprécie et, au bout de quelques secondes de ce traitement, elle finit par jouir fortement. Laura venait d’avoir son tout premier orgasme, et c’était moi qui le lui avait donné.
Une minute plus tard environ, mon sexe toujours dur dans sa main, Laura se met à quatre pattes dos à moi et me demande de la prendre. Elle m’explique alors qu’elle nous a regardés une fois dans cette position et qu’elle voudrait essayer à son tour. M’imaginer en train de faire l’amour avec sa mère pendant qu’elle nous regarde m’excite alors à un point où je n’arrive plus à réfléchir correctement et j’enfourne ma tête entre ses deux globes fessiers pour lui dévorer la chatte et même un peu l’anus. Laura ne tarde pas à recommencer à gémir sous ce traitement et je me positionne derrière elle, mon sexe à l’entrée du sien. Je pousse doucement jusqu’à rencontrer son hymen et je m’arrête là quelques secondes pour lui laisser le temps de s’habituer à ma présence. Puis, d’un coup seul, je m’insère de force en elle jusqu’à la garde de on sexe. Elle crie de douleur et je lui explique ce qu’il vient de se passer puis je reste à nouveau immobile en elle jusqu’à ce que la douleur se soit estompée. Je commence alors les va et viens en elle et je la sens se détendre de plus en plus et prendre du plaisir. Son vagin est si chaud, humide et étroit que je me concentre très fort pour ne pas tout lâcher dès le début en elle. Au bout d’un moment, j’accélère mes mouvements et elle se met à gémir aussi fort que sa mère dans cette position. Je la sens alors atteindre de nouveau l’orgasme et son vagin se resserre tellement sur mon sexe que je ne me retiens plus et jouit à mon tour au plus profond de son vagin.
Après avoir repris notre souffle et nos esprits, nous sommes allés à la salle de bain pour nous nettoyer. Le soir, lorsque sa mère est rentrée, je lui dis qu’elle allait mieux après une matinée à dormir. Elle en fut soulagée et j’ai même eu droit à une récompense très cochonne le soir même pour m’être occupé aussi bien de Laura. Cette dernière, après m’avoir promis de ne rien dire à personne sur notre petite aventure, ajouta qu’elle ne serait pas contre de remettre cela avec moi tellement elle avait pris son pied. Ce que nous avons fait à chaque fois que nous en avons eu l’occasion mais ceci est une autre histoire.
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