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Brigitte la cougar

Brigitte la cougar



Voici une histoire vraie qui s’est déroulée à la fin des années 90. J’avais alors pile trente ans, parisien et célibataire, je n’étais pas particulièrement un noctambule invétéré, mais alors que les sites de rencontre par internet n’en étaient qu’à leurs balbutiements, je recherchais un moyen facile pour draguer…

L’idée m’est venue un dimanche après-midi, alors que je passais devant un « dancing » près de la place de la Madeleine à Paris, et que je vis quelques aimables quinquagénaires – des cougars comme on dirait aujourd’hui – qui attendaient sur le trottoir l’heure d’ouverture du club pour aller à leur « Thé Dansant ». Ce qui m’a d’abord frappé, ce sont leurs toilettes : elles avaient toutes des talons vertigineux, des bas noirs, des robes courtes et sexy, des coiffures qui allaient du blond peroxydé au roux intense, des ongles longs et des bijoux de partout, parfumées et maquillées à outrance (pour ne pas dire franchement et vulgairement « comme des putes ») avec – je le fantasmais – cette franche envie de se taper un mec… Bref, un bon plan pour de la drague facile et me rassurer sur mon pouvoir de séduction… Néanmoins, je pris également soin de regarder comment étaient habillés les hommes, afin de me fondre le mieux dans le « décor » : ils avaient tous l’air d’anciens mafieux, bedonnants, un peu rougeauds et en tout cas la compétition masculine s’annonçait… tranquille…

C’est donc habillé de mon plus beau costume, avec une chemise noire et une cravate sombre, que je me rendis au dancing le dimanche suivant, prenant soin – comme dans les soirées mondaines – de ne pas arriver à l’ouverture, mais dans le milieu de l’après-midi, quand la fête « battait son plein ». Inutile de vous dire que même si nous étions en plein hiver, j’avais la gorge sèche, un sentiment mêlé de frisson et d’interdit, un peu comme si j’allais faire une grosse bêtise… Plus je me rapprochais du dancing et plus mon pas se faisait pressant…

À l’accueil, la dame assise derrière la caisse me regarda sans plus, certainement habituée à voir de jeunes gigolos fréquenter ce genre d’endroit… Je déposai négligemment mon manteau au vestiaire et descendis les marches qui menaient à « l’arène ». Une musique plutôt rétro, du style tango, m’accueillit et dans la semi-pénombre, je devinai quelques yeux qui me scrutaient… Comme la semaine précédente, les femmes, la plupart dans la cinquantaine bien frappée, s’étaient parées de leurs plus belles tenues, comme si elles venaient fêter une soirée de réveillon ou une soirée très chic.

Je dois avouer que d’avoir cette possibilité de côtoyer et de discuter avec de belles bourgeoises « en manque » m’excitait au plus haut point. Je commandai une vodka au bar – histoire de me donner un peu de courage et d’être plus léger pour attaquer une conversation – puis je fis un rapide tour d’horizon, afin de voir sur quelle femme j’allais jeter mon dévolu. Je me rappelle de cette première fois comme si c’était hier, je m’assis d’abord négligemment à côté d’une jolie brunette en cuissardes avec qui j’essayai bien maladroitement d’entamer la conversation – le niveau sonore n’aidant pas… Pas de chance : elle me fit rapidement comprendre qu’elle était venue avec un « ami », lequel ami était en train de revenir du bar avec deux coupes de champagne… Ça commençait pas terrible, heureusement le DJ mit une musique « disco », ce qui provoqua un afflux certain sur la piste de danse.

L’alcool aidant, je me dirigeai vers le dance-floor pour me mettre dans le rythme. Je voulais « allumer », soutenir le regard d’une femme, puis d’une autre, bref, m’amuser. Je pris d’ailleurs un malin plaisir à me déhancher de manière exagérée, histoire de montrer que je n’avais pas de rhumatismes comme j’imagine la plupart des hommes qui fréquentaient cet établissement… C’était assez grisant de côtoyer ces belles bourgeoises divorcées, délaissées, délurées et pour certaines, j’imagine, en vrai manque d’amour et de sexe… De belles chaudasses, oui… Puis la musique disco se changea en bal musette et je saisis l’occasion pour me rasseoir.

C’est alors que je vis Brigitte. Elle devait avoir la bonne cinquantaine, belle blonde platine, habillée en robe noire moulante qui soulignait ses seins comme des obus, des bas noirs couture, des escarpins à hauts talons vertigineux noirs vernis, une petite chaîne en or à la cheville, des bagues en veux-tu en voilà, bref, une certaine image de la bourgeoise « salope », une « demi-mondaine » quoi. À l’époque, il était autorisé de fumer, et sa fine cigarette rajoutait au côté femme fatale. Ni une ni deux, mon regard croisant le sien, je m’installai à côté d’elle et commençai à engager la conversation en la complimentant d’abord sur sa toilette et surtout son parfum que je trouvais « envoûtant »… Elle me demanda comment je m’appelais, puis on commença à converser aimablement. Bien entendu, je lui proposai de lui offrir une coupe de champagne – ce qu’elle ne refusa pas – et j’avoue que sa manière de croiser les jambes quasiment en me frôlant la jambe avait le don de m’exciter au plus haut point… Peu à peu, l’alcool aidant, je rapprochai ma main de son épaule, comme pour me mettre plus à l’aise, et elle se laissa faire. On jouait à se provoquer. C’était grisant. Je commençais à sérieusement bander dans mon pantalon… Puis le DJ mit un slow et je l’invitai à danser.

Elle devait avoir des talons de quinze centimètres au moins, et à la serrer contre moi pour danser, je sentis son parfum m’envahir… Mes mains, d’abord sur ses hanches, descendaient au fur et à mesure du rythme sur ses fesses puis sur le haut de ses cuisses, où je sentis l’empreinte de jarretelles… Elle me susurra au creux de l’oreille un « ça te plait, on dirait… » qui n’eut pour seul effet que de tendre un peu plus mon membre déjà bien à l’étroit dans mon pantalon. Elle avait compris qu’elle pouvait s’amuser avec moi et elle en profitait… Elle se colla ensuite contre moi, ses seins lourds qui s’écrasaient contre mon torse, elle mit sa tête dans le creux de mon épaule et me déposa un baiser, tout en remontant avec sa langue le long de mon cou. J’en avais des frissons partout. Puis on retourna s’asseoir dans un coin un peu à l’écart, dans une semi pénombre, et on commença à se toucher. Je caressai ses belles jambes gainées de bas noirs – « en soie », prit-elle le soin de me confirmer – je glissai mes doigts jusqu’à cette lisière noire qui fait tant fantasmer les hommes, tandis qu’elle massait négligemment ma bosse à travers le pantalon, tout en me fixant en léchant ses lèvres avec sa langue. C’était divin.

Les heures passaient comme des secondes et j’étais entre le paradis et le nirvana. Vint le moment de partir et je me proposai de la raccompagner. Elle eut alors ce geste si délicat et si sexy de défaire son escarpin pour y retirer le ticket du vestiaire qu’elle avait mis au fond de sa chaussure. D’un geste tout aussi délicat, je ne pus m’empêcher de lui caresser doucement son pied gainé de noir, comme pour la masser, et à la manière dont elle fermait les yeux sous mes caresses, j’en déduisis que ça lui plaisait…

… Arrivés à la sortie du dancing, on s’embrassa à pleine bouche et c’était hyper excitant de se sentir désiré par une belle bourgeoise en chaleur qui en demandait encore plus, je le sentais rien qu’à la manière qu’elle avait d’agripper mes fesses… Ma voiture était garée pas loin, dans une petite rue tranquille, et en parfait gentleman j’ouvris la portière en regardant cette manière si aguicheuse qu’elle avait de remonter sa jupe pour s’asseoir… Une fois dans la voiture, on continua de s’embrasser et elle posa sa main sur mon entrejambe, tout en me disant qu’elle avait envie de me prendre en bouche. Ni une, ni deux, elle se pencha et à peine ma braguette descendue, elle prit mon sexe à pleine bouche.

Je sentais sa langue s’activer autour de mon gland, sa bouche qui montait et descendait en faisant des bruits de succion très impudiques et très indécents… Mon dieu, quel bonheur ! Elle avait cette manière très salope de cracher sur mon sexe puis de me le lécher comme s’il s’agissait d’une glace. Même si la rue n’était pas très passante vu l’heure tardive, le fait qu’elle me suce dans la voiture rajoutait terriblement à mon excitation… Je tenais sa tête pour lui donner le rythme, elle engloutissait mon sexe de sa bouche si chaude et surtout si experte… C’est qu’elle avait dû en sucer, des belles bites, la Brigitte ! Elle aimait ça et ça se sentait… Bien sûr, avec un tel traitement, je ne mis pas longtemps à venir, et c’est dans un long râle que je jouis et qu’elle prit mon jus en bouche, engloutissant toute ma semence jusqu’au fond de sa gorge…

Se relevant, ses lèvres encore maculées de mon foutre, elle me regarda et dans un clin d’œil me dit :

— Tu viens prendre un dernier verre à la maison ?

La soirée ne faisait que commencer…

Sitôt sa majestueuse fellation prodiguée dans ma voiture, elle recommença à me parler de tout et de rien, comme s’il ne s’était absolument rien passé. Nous partîmes donc pour chez elle. Sur le chemin, elle s’épancha un peu sur sa vie en tirant sur sa fine cigarette.

Sur la route qui nous menait vers son appartement à Neuilly, elle avait cette allure de femme bourgeoise qui s’était peu à peu muée en demi-mondaine, une femme qui avait le démon de midi, qui voulait redevenir femme… Elle m’expliqua qu’elle était séparée, son mari l’ayant quittée cinq ans auparavant pour « une jeunette, ce beau salaud ». Dès lors, depuis sa séparation, elle avait décidé de reprendre les choses « en mains », de redécouvrir sa féminité et de s’offrir de « petits plaisirs » comme elle disait.

Ah ! c’est clair que Brigitte avait de sacrés arguments pour faire plaisir à un homme… Elle avait fait le deuil de sa séparation en se découvrant un côté « femme libérée », en fréquentant d’abord les « thés dansants » puis de fil en aiguille, les partouzes et autres soirées parisiennes débridées. J’appris ainsi que ces « après-midi » se continuaient en soirées olé-olé et en parties fines chez les uns et les autres « habitués », qu’elle s’était régulièrement tapé des gigolos qui l’avaient « baisée comme une pute » et qu’aujourd’hui, elle aspirait tout simplement à se faire plaisir sexuellement au gré des hommes « plus ou moins jeunes » qu’elle rencontrait…

Nonchalamment, je laissais glisser le bout de mes doigts sur ses jambes tout en conduisant. Écartant ses cuisses, elle me facilita même le passage pour que je puisse caresser son abricot mûr à travers le tissu de son string… Tout en lui caressant doucement les cuisses, je lui rappelai combien j’étais charmé qu’elle ait pu me choisir MOI plutôt qu’un autre… Elle eut ce sourire carnassier en me disant qu’elle aimait la chair « fraîche »…

— Tu avais un visage d’ange quand je t’ai regardé tout à l’heure…

Elle habitait donc Neuilly dans un de ces immeubles haussmanniens qui donnent tout de suite le ton d’une « certaine bourgeoisie ». Comme je ne cessais de me le répéter en moi-même : « Tu vas te taper une belle salope de bourgeoise qui a le feu aux fesses, applique-toi bien, il faut assurer ce soir ».

Son appartement était décoré avec goût et je me souviens surtout de ce tapis en panthère qui traînait majestueusement dans le salon :

— Un souvenir d’une chasse en Afrique de mon ex-mari, me dit-elle.

Un canapé en cuir crème, des meubles anciens, de grandes plantes vertes et surtout son parfum qui semblait flotter partout : j’étais simplement une jeune proie prête à se faire déguster, dans la tanière d’une belle cougar.

Elle me demanda ce que je voulais boire :

— Une vodka, répondis-je.

Et elle se prit un whisky.
Je me sentais comme dans une salle d’attente. Je la regardais revenir vers moi se déhanchant sur ses hauts talons de 15… Brigitte, le noir lui allait si bien… Elle vint s’asseoir à côté de moi, se déchaussant pour venir sur le canapé. Elle posa ses jambes sur moi et je commençai à lui caresser les pieds. J’aime les pieds surtout quand ils sont gainés de bas noirs, avec ces renforts au talon et près des orteils qui font ressortir le côté « fumé » des bas. Mes doigts glissaient doucement, allant et venant avec beaucoup de délicatesse sur ses jambes. Je devinai un fin bracelet en or à sa cheville, je matai ses doigts de pieds recouverts de vernis rouge, comme on dit, « Brigitte était une femme raffinée jusqu’au bout des ongles… »

Était-ce l’effet de l’alcool ? Je me mis à rapprocher mon visage de ses pieds, comme pour venir la respirer jusqu’au bout d’elle-même. Je passai mes lèvres sur le bout de ses doigts de pieds, je me surpris même à lui lécher le dessous de ses pieds, comme pour la chatouiller. Elle avait l’air d’aimer ça, elle me dit que « ça lui faisait du bien »… Je m’occupai, d’un pied, puis de l’autre, avec une infinie douceur, comme si je savourais à fond ce moment unique, comme si j’étais l’élève d’une maîtresse femme qui voulait tester mes capacités à devenir un bon amant… Elle avait de très jolis pieds pour son âge et même si je n’étais pas particulièrement fétichiste, je m’amusais à les parcourir avec mes lèvres. Comble du comble : c’était moi qui me régalais de ma belle Cougar !

Brigitte avait cette sensualité de la femme bourgeoise qui n’a plus de leçon à recevoir et qui a la force de l’âge et de l’expérience comme principal atout de séduction. C’était une sacrée séductrice, la Brigitte ! Sans avoir l’air d’y toucher, elle faisait ce qu’elle voulait de moi. Elle me menait où elle voulait par le bout du nez. Je continuai de la caresser langoureusement, en remontant avec ma bouche le long de ses jambes, en écartant un peu ses cuisses car j’avais très envie de sa chatte. Elle se laissait faire, les yeux mi-clos, elle me laissa poser mon visage sur l’intérieur de ses cuisses, je remontai un peu sa jupe, découvrant le haut de ses bas et l’attache de ses porte-jarretelles… C’était hyperexcitant, et inutile de dire que j’étais aux anges.

Délicatement, je lui ouvris encore un peu plus les cuisses, dévoilant une superbe culotte noire toute transparente, qui rendait son sexe imberbe encore plus désirable. Je posai ma bouche dessus. Je pris d’abord soin de humer ce parfum si caractéristique d’une femme en chaleur, cette odeur mêlée de mouille et d’urine qui transperçait à travers sa culotte. Je respirais sa belle chatte de bourgeoise, je posais ma bouche en respirant dessus, j’allais et venais avec ma langue, je voulais m’enivrer de son intimité la plus secrète.

Mais j’en voulais plus.

Je lui enlevai sa culotte et repris mon bel ouvrage. Je reposai mes lèvres sur ses lèvres intimes et elle me prit la tête entre ses mains. Peu à peu je la fis comme ronronner. Elle commença à murmurer des « c’est bon, continue », des « tu me fais du bien, tu sais » ou bien encore des « tu es doué, mon salaud »… Je lui léchais la chatte avec application et je sentais le goût de sa mouille qui venait imprégner ma langue. J’écartais ses lèvres avec mes doigts, histoire de venir la fouiller encore plus intimement. Elle avait pris soin de dégrafer son chemisier et son soutien-gorge et elle se caressait les seins tandis que je la léchais. Je remontai ma langue jusqu’à son clitoris, tout en lui caressant le ventre et les hanches avec mes mains : j’aime sentir ces tremblements préorgasmiques qui étreignent les femmes quand on leur lèche la chatte. Elle gémissait de plus en plus sous mes caresses buccales. Je sentais surtout sa mouille qui dégoulinait intensément sur ma langue et mes lèvres qui faisaient ce bruit de succion si caractéristique dans le silence de l’appartement et qui rajoutaient à mon excitation.

Du bout de la langue, je ne la lâchais pas, je sentis qu’elle se tortillait de plus en plus. Moi j’agrippai mes mains à ses fesses pour bien plaquer mon visage contre sa chatte et d’un coup elle commença à me dire :

— Je vais venir. Continue, c’est trop bon… Vas-y… vas-y… vas-y… je viens…

Et je sentis sa belle chatte s’ouvrir, sous mes coups de langue, avec son jus encore plus abondant qui sortait du plus profond d’elle-même. Dans un râle primal, qui venait du fond d’elle-même, elle se mit à jouir avec une tonalité grave, presque a****le. Je continuais encore et encore de la lécher, me régalant de sa belle mouille de femme mûre.

Inutile de dire que j’étais super excité et que je n’avais plus qu’une seule envie : c’était de la baiser sans ménagement.

J’enlevai fébrilement ma chemise, mon pantalon, mon boxer, dévoilant mon sexe au garde-à-vous. Je pris ses jambes pour les mettre sur mes épaules et la pénétrai comme ça, d’un coup. Après son orgasme, sa chatte était brûlante et ma queue y glissait comme dans du beurre.

Ce qui m’excitait le plus, c’était de la baiser alors qu’elle était encore en lingerie. Je sentais ses bas noirs qui caressaient mes épaules alors que je rentrais et sortais en elle. Mon sexe faisait ces bruits de succion, comme si elle était littéralement aspirée par sa chatte en fusion. Je la baisais jusqu’au fond de son ventre, lui donnant de grands coups de queue. Ça avait l’air de lui plaire car elle gémissait en me disant :

— Oh, qu’est-ce que tu me mets ! Vas-y, continue, c’est trop bon…

Je tenais ses jambes écartées. J’avais une belle salope de bourgeoise sous l’emprise de ma bite et elle aimait ça. Oui, Brigitte, cette belle chaudasse, aimait mes bons coups de queue et la baiser chez elle, sur son canapé, m’excitait au plus haut point. Les « floc-floc » de sa chatte sous mes coups de reins, ses halètements, ses jambes que je tenais écartées, tout ça décuplait mon envie de bien la baiser. Ah, elle était sacrément bonne, la Brigitte !

On changea de position, elle se mit à quatre pattes, je la pris en levrette, lui tenant et lui pétrissant ses gros seins avec mes mains : je voulais sentir ses tétons durs entre mes doigts. Elle avait gardé son chemisier noir transparent, je la tenais bien par les hanches pour la prendre « sauvagement », comme elle me le demandait. Mon bassin claquait contre son entrejambe, je me surpris même à lui claquer les fesses de la paume de ma main, bien à plat et elle en redemandait ! :

— Vas-y, je suis ta belle chienne, continue !

À ce rythme-là, excité comme j’étais, je n’allais pas tenir très longtemps et alors que je la besognais, que je n’arrêtais pas de lui dire :

— Qu’est-ce que tu es bonne, Brigitte ! Tu la sens bien, ma queue en toi, hein ?

Je finis par lui dire :

— Tu vas me faire jouir, salope.

Elle se dégagea pour m’offrir sa bouche. Elle avait ces yeux de vicieuse chaudasse qui réclamait sa dose de sperme. Oui, Brigitte était une sacrée gourmande. On aurait dit une scène de film de cul au ralenti… Moi, en train de me branler devant son visage, elle qui me caressait les couilles tout en ouvrant sa bouche à fond. Elle m’encourageait par des :

— Vas-y, mon salaud, jouis dans ma bouche, je veux encore ton jus…

Et des :

— Donne-moi tout, j’ai faim…

Ce qui devait arriver… arriva, dans un dernier mouvement du poignet, je lâchais la purée sur sa langue, sur sa bouche carmin et jusque sur ses cheveux platine, quelques gouttes allant même s’écraser sur son chemisier de soie noire… C’était elle la prédatrice et pourtant, souillée de mon foutre, c’était elle l’arroseur arrosé…

Son petit sourire en coin me fit comprendre que j’avais, haut la main, réussi mon examen d’entrée. Elle m’entraîna jusque dans sa chambre où l’on remit le couvert plusieurs fois…

Brigitte était insatiable.

Brigitte avait le feu aux fesses.

Je l’ai prise allongée, assise, debout : c’était une vraie chaudasse, assoiffée de plaisir. Le top du top, ça a été quand elle m’a demandé de lui mettre entre les fesses un magnifique gode en inox qu’elle avait sur sa table de nuit.

— Défonce-moi le cul avec, j’adore ça !

Je lui ai écartelé son petit trou, tout en lui possédant sauvagement la chatte. Je sentais le gode dans son cul qui frottait contre ma bite : c’était divin !

On a baisé toute la nuit, j’ai cru que j’allais lui défoncer son matelas tellement elle en voulait ! Sous ses airs de sainte-nitouche, c’était une sacrée bombe sexuelle, ma Brigitte ! C’est aussi ça qui m’excitait terriblement chez elle : la défoncer comme la dernière des putes alors que j’aurais pu la croiser en train de faire ses courses, en serre-tête, jupe plissée et ballerines, très snob et hautaine, du style « Brigitte-la-coincée-du-cul » !

On finit par s’endormir, complètement cassés l’un et l’autre par nos parties de jambes en l’air. J’avais la bite en feu tellement je l’avais limée. Je m’endormis auprès d’elle, mes mains sur son ventre tout chaud, un peu protecteur…

Puis, tel un Arsène Lupin du sexe, un cambrioleur de chattes, un voleur d’orgasmes, je la laissai au petit matin, endormie, jetant un dernier regard attendri sur elle, ma cougar Brigitte, une lascive chienne fidèle… Elle avait les cheveux en bataille, son parfum imprégné sur ma peau, et je la quittai à regret, lui laissant sur sa table de nuit mon numéro de téléphone griffonné sur un papier accompagné d’un laconique :

« Rappelle-moi quand tu veux… »

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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