Ma première éjaculation féminine... | Histoires de sexe viol, Histoires érotiques au travail

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Je devrais me consacrer à la suite de mon histoire mais en ce lundi allongée dans mon bain je pense à ma première fois avec mon amant qui est désormais mon chéri, mon double, mon alter ego…

Nous nous sommes connus via les réseaux sociaux. Un coup de chance, le hasard, le destin… chacun pensera ce qu’il veut moi je suis persuadée que nos chemins étaient destinés à se croiser .
Donc nous voilà en train de discuter depuis plusieurs jours via internet quand nos conversations prirent une tournure plus intime. Lorsqu’ il me demanda ce que je souhaitais enfin ce que j’ aimerais sexuellement parlant, je lui répondis que j aimerais être baisée comme une salope. Être soumise à un homme qui pourrait faire ce qu’ il veut de moi.
Notre dialogue tourna alors autour de la domination / soumission . Il m’ explique » les règles « , m’ excite en me racontant ce qu’ il pourrait me faire si nous nous rencontrions.
Je lis ces messages avec gourmandises en sentant le bas de mon ventre se contracter, mon clitoris commençant à gonfler et réclamant au plus vite des caresses.
J’étais en train de me masturber quand soudainement il me demanda si j étais fontaine.
Sa question m’étonna tellement que je cessais immédiatement mon petit plaisir solitaire pour lui répondre que non je ne l’étais pas et était même plutôt sèche assez souvent.
Il me dit que toutes les femmes ou presque peuvent l être, qu’ il suffit de savoir où caresser.
Je ne pouvais imaginer que moi la femme qui utilisait du lubrifiant deux fois sur trois puissent en faire partie.
Malgré tout je me mis à lire des articles a ce sujet , je me questionnait sur la véracité de ses propos… Et il avait raison !!!! Presque tous les textes que j ai lu disait que la majorité des femmes étaient susceptible d’ être des femmes fontaines

Vint notre rencontre. Ce sujet me trottait toujours en tête et je me languissais de voir si il était aussi doué qu’il le prétendait.
Nous nous retrouvons pour aller boire un café dans un premier temps. J’étais tellement crispée , angoissée et effrayée qu’aucun sons ne sortait de ma bouche. Je souriais bêtement et tremblait de tout mes membres.
Heureusement qu lui était plus a l’aise et parlait pour deux. Il réussit à me mettre à l’aise et nous sommes partis rejoindre notre chambre d’hôtel.

Nous y voilà. Pour la première fois je le voyais, pour la première fois depuis 5 ans un autre homme que mon mari allait me toucher, pour la première fois de ma vie je serais infidèle.

Il me regardait avec désir ma robe blanche un peu style année 60 et mes talons blancs a la semelle façon bois faisait son effet.
Il me demanda de me déshabiller, je le fis timidement. Je ne suis pas gaulée comme un mannequin et mon corps est marqué par les grossesses, les pertes et prises de poids à répétition.
Je le laissais découvrir un ensemble en dentelle blanche. Il continuait à me fixer avec ce regard enflammé, ce regard qui me faisait me sentir magnifique . La plus belle femme du monde. Aujourd’hui encore après 2 ans de relation sa ferveur est intact et je me sens belle à travers ses yeux.

Il s approche de moi, passe derrière mon dos . Je sens son souffle dans mon cou. J’ ai la chair de poule. Sa respiration à elle seule me donne envie de le sentir en moi.
Il embrasse ma nuque, mes épaules. Ses mains se posent sur mon dos, remontent sur mes épaules, descendent le long de mes bras. Ses doigts entortillent les miens. Puis il remonte jusqu’à ma poitrine. Il la serre, la caresse. Il me dit aimer ma poitrine, mes seins lourds et tombant. Ses mots ont autant d’effet que ses caresses.
Il me retourne et m’embrasse. Un baiser passionné, fougueux. Ma langue cherche la sienne. On ne m’avait jamais embrassé ainsi. Je m’embrasse.

Il me jette sur le lit. Continue à découvrir mon corps avec ses mains, ses lèvres, sa langue.
Il me caresse le clitoris pendant tout ce temps. Je commence à mouiller comme jamais. J’en suis même étonnée. Comment avec si peu il arrivait déjà à ce résultat.
Sa tête vint enfin se positionner entre mes cuisses.
Sa langue experte me rend folle après juste deux léchouilles. Mon bassin commence à bouger, à se soulever. A ce moment là il rentre un doigt dans mon vagin tout en continuant d’aspirer, lécher, mordiller mon clito.
Un second doigt puis un troisième rejoignent le premier. Il me fouille, explore ma grotte. Sa langue continue son travail.
Je n’en peux plus je vais jouir. Il le sent, le voit. Il active ses caresses sur mon bouton tout en faisant entrer et sortir ses doigts de plus en plus vite de plus en plus fort.
Je pousse un cri, cette étouffée, mais un petit cri tout de même pour la première fois de ma vie en jouissant.
Je le regarde et je sens ses doigts sortir de mon antre.
Je pensais que c était fini qu’ il allait me baiser ou me demander de le sucer.
Mais non.

Son regard change, j’y lis une expression que je ne connaissais pas encore mais qu’aujourd’hui je pourrais traduire par » c est pas fini ma salope , le meilleure reste a venir ».
Il me dit alors tu es fontaine ou pas. Moi je lui réponds non puisque oui j’avais joui mais je j’avais pas éjaculé.

La il entra de nouveau deux doigts à l’intérieur de moi. Je me dis intérieurement que ça m’étonnerait qu’avec deux doigts cela suffise pour me faire lâcher quelques jets.
Mais c’était mal le connaître !!!!!!
Il mit seulement une phalange. Il trouva instantanément ce qu’il cherchait. MON POINT G.
Il accélérat le rythme tout en restant sur ce point précis et en moins de deux minutes je sentis un liquide s’écouler entre mes jambes. Je n’en revenait pas. Et puis putain cette jouissance, cet orgasme !!!!!!!

Il me regarda alors presque amusé par la situation. Je ne savais quoi dire. Je n’arrivais même plus à penser.
Il me lança fièrement » alors je te l avais pas dis ? Tu vois je tiens toujours mes promesses. »

Hier il m’a demandé si je devais revivre une première fois ce que je referais. Je lui ai dis notre première rencontre. Et franchement même si depuis des orgasmes aussi intense et même plus ont pris le relais , ce moment , cette première fois où j’ai jouis sans retenue reste le moment que j’aimerais revivre…