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Séances photos un peu spécial

Séances photos un peu spécial



Séances photos un peu spécial

L’automne dernier, j’ai réalisé une folie avec mon corps. Au départ, je voulais faire une surprise à mon mari.
Cela faisait des mois que nos relations intimes étaient au point mort. Pour raviver la flamme, j’ai entrepris la réalisation de photos de charme. Je savais que cela exciterait mon chéri qui est assez voyeur.
De plus, il serait étonné. Lui qui dit toujours que je suis coincée du cul.
Après quelques recherches sur internet pour me dégotter un photographe capable de réaliser ce genre de chose, j’en trouvais un. Il fallait se déplacer à l’autre bout du département.
Le jour J après avoir prétexté à mon chéri que j’avais une longue journée de travail et que je rentrais tard. Je me rendis à ce rendez vous. Je dois avouer qu’une pointe d’appréhension s’était initiée en mon moi intérieur. Je trouvais plus facile de décrocher le téléphone que d’aller faire cette séance.
Pleins de questions se bousculaient dans ma tête pendant je roulais.
Comment aller me trouver le photographe ? Était-ce une femme ? Étais je tombée dans un piège d’un taré ?
Mes doutes s’envolèrent lorsque j’arrivai à destination.
Le studio de la personne était en faite sa propre maison dans laquelle il avait crée un studio pour faire des photos. Sa maison était très charmante. Elle était faite à l’Espagnol avec des patios.
Je sonnais à la porte et la personne vint m’ouvrir. C’était un charmant homme d’une quarantaine d’années.
Il me fit entrer et me guida jusqu’au studio. Son studio paraissait plutôt grand. Il y avait pas mal d’espace.
Il me proposa si je voulais boire quelque chose ; je lui ai répondu que je souhaitais avoir un verre d’eau.
L’appréhension me séchait la bouche.
Pendant qu’il alla chercher à boire, il me laissa me mettre à mon aise après m’avoir montré les vêtements que je devais porter. Il m’inspira tout de suite confiance.
Je me déshabillais alors derrière un paravent. Puis, je mis les dessous proposés. Il s’agissait de dessous très sexy. Il y en avait de toutes les couleurs. D’abord je dus mettre les dessous blancs. Une fois habillé de ces
centimètres de tissus, je me rendis vers le photographe pour qu’il me dise ce que je devais faire. Lorsqu’il me vit arriver. Il me complimenta sur ma belle silhouette. Ensuite, il m’indiqua où je devais me positionner.
Je dus me poser sur un canapé rose. Il prit son appareil photo et me fit prendre diverses positions aguicheuses. Les poses que je devais réaliser n’étaient pas très compliquées ; une fois, je devais mettre un
pied sur le bord du divan et clic. Une autre fois, je devais courber de dos comme pour ramasser un truc, dos tourner vers l’objectif, clic. Cette première série de clichés dura une demi-heure. Au fur et mesure, je me sentais bien. L’appréhension s’estompait peu à peu. Le sentiment d’excitation était entrain de monter.
Nous fîmes une pause. Nous profitâmes de cet instant pour discuter et plus se présenter. Une manière de se déshabiller, de faire tomber le masque.
Je lui demandais s’il faisait souvent ce genre de photos ? Il me répondit oui.
A la suite de cette première pause, nous repartîmes pour une nouvelle séquence de photos. Cette fois, je dus changer de soutien gorges et culotte. Je me vêtis des sous vêtements rouges vifs. Je revins vers lui et me mis au travail sous ses ordres. Complètement sous son magnétisme, je me laissais entraîner par son charisme. Il me faisait prendre les positions qu’il voulait. Il me manipulait comme une marionnette. J’exécutais sans réfléchir. Il avait réussi à me faire oublier où, quand commet et dans quel étais je. J’étais hypnotisée par son
appareil photo.
Cette fois ci, je dus m’asseoir sur le canapé. Il me demanda d’ouvrir les cuisses de manière à laisser entrevoir timidement mon entre jambe. Jamais, je ne me serai imaginé capable de faire ce genre de CHOSE.
Il continua à me faire prendre une autre position. Elle consistait à m’allonger sur le dos sur le canapé et à laisser un genou relever. Clic.
Ensuite il me demanda toujours dans cette même position de me mettre face à lui. Il avait une vue sur toute ma poitrine et mes seins ; clic.
Il fit monter l’ambiance lorsqu’il me demanda de poser la paume de la main droite su ma sphère volumineuse droite de ma poitrine. A sa demande, je me mis à palper de manière très doucement à travers le tissu mon sein. D’ordinaire, j’aurai refusé de réaliser cette caresse. J’aime ne pas trop me frotter les seins lorsque je me masturbe. Je suivais ses recommandations. J’entourais mon sein en faisant circuler la paume de la main par des rotations. Ces attouchements provoquaient un échauffement au niveau de ma poitrine.
Aux premiers contacts, je sentis mon sein prendre du volume de plaisir. Clic.
Il fit une série de clichés ainsi pendant que je continuais à masser mon sein. Cette simple caresse commencer à me faire donner envie de … ?
Il mit fin à cette séquence de photos pour prendre le déjeuner. Nous mangeâmes salade, tomates thon etc.
une recette pour ne pas être trop lourde.
Après le café, nous refîmes une troisième séance de photos.
Il me fit changer une nouvelle fois de vêtements. Cette fois, je mis des dessous noirs qui laissaient paraître mon corps. En bref, ils étaient transparents.
Cette séance changea complètement de style. Nous passâmes de la sensualité à l’érotisme voir plus.
Il me demanda de m’agenouiller. Cuisse écartée clic. Puis de m’assoir jambes écartées, dos contre le canapé.
Une nouvelle fois, il m’imposa de prendre mes seins et de les palper avec deux mains. Je devais les manoeuvrer de la même manière qu’avant le déjeuner.
Pousser par l’excitation, j’obéis. Je pris mes seins et les manoeuvrer circulairement de manière doucement.
De nouveau, ils se mirent à gonfler. Aux bouts de quelques secondes, je reconnue les signes du plaisir se pointer. Le simple effleurement troublait mon regard. Clic.
Ensuite, il m’invita à enlever mon soutif, clic mes seins nus bombés de plaisir.
Le photographe me tendit une huile pour corps. Il me dit que c’était pour faire ressortir mon corps sur la photo.
Je m’en mis partout ; il m’invita à poursuivre mes caresses mammaires pendant que je m’enduisais d’huile.
Pendant qu’il me flashait de son appareil photo, il me quémandait souvent de fixer l’objectif afin de capter mon regard plein de désir.
Soudain, il me sollicita pour que je descende mes mains vers le ventre et le mont de vénus. Je m’exécutais, je glissais mes doigts sur mon ventre. Je le massais de manière très lente et sensuelle. Malgré moi, je me sentais
de plus en plus excitée. De plus en fixant l’objectif, je qu’un autre appareil se mettait en route. Il s’agissait de celui du photographe qui sous son étui se manifestait avec un certain volume.
Je finis par atteindre mon bas ventre ; je grattais de mes ongles mon gazon. Sans demander son avis, je pris l’initiative de me toucher le bouton. Clic. Prise par le jeu, je glissais dans le plaisir.
Pour mieux me sentir, je fis glisser la culotte à la manière d’un striptease. Je la lançais à mon photographe.
Clic, clic. Il enchainait les photos. J’entendais son souffle s’accentuer.
Je me posai fesses sur les talons, à genoux jambes écartées. J’entrepris de me caresser devant le photographe. Je l’avais presque oublié. Lui il enchainer les clics durant ma masturbation. En me remettant, ma main sur mon vénus, je fis rouler sous le gras des mes ongles mon pad de chaire (la pad = pavé
multidirectionnelle d’une manette de console de jeux (les flèches)). Je le pressais doucement et tourner mon pouce et index. Ce mouvement sur mon clitoris, me faisait imprimer une danse du ventre. Mon
photographe fit clic, clic. Je fermais les yeux pour mieux savourer les sensations de plaisir. Je me croyais chez moi. Par moment, je faisais entrer au bord de ma grotte humide le début d’un doigt. Ce doigt allait et
venait sur la partie interne de mon clitoris. Avec le pouce, j’appuyais frôlement sur mon bouton. Ces contacts déclenchaient des clics au niveau de ma bouche. A mesure que j’accentuais ma caresse, mon
souffle sortait avec de petits gémissements.
Mon photographe ne perdait pas une miette ; il cliquait avec son appareil la progression du plaisir sur mon visage.
Je poursuivis ma masturbation en grattant mes petites lèvres sur elles mêmes. Je maintenais la pression de mon toucher sur le clitoris. Je le grattai du bout des doigts. Ce contact provoqua des échardes de plaisir ?
Au sommet du plaisir, je sentis mon orgasme arrivait foudroiement. Il explosa en moi avec une telle v******e ; j’en tombais tête en avant. Je mis quelques instants avant de me remettre de mes émotions. Je me rendis compte de ce que je venais de faire. Je tentais de me redresser doucement pour m’excuser, que je
m’étais laissée entrainer par mes hormones. En relevant le tête, que ne fut pas ma surprise !
J’avais le photographe juste moi. En place de son objectif, j’avais son outil intime qui se balançait devant mes yeux. Monsieur s’excusa mais me dit « moi, aussi j’ai besoin d’une petite libération » en secouant légèrement son sexe. Un beau sexe, de belle taille. Monsieur était nu.
Que pouvais-je faire ? Refuser alors que je venais de m’éconduire. Non bien sur. Alors j’obtempérais.
Je fis ramper mes doigts à partir de ses globules pendouillant. Je les fis grimper le long de sa colonne de chair très doucement. De l’autre main, je pris ses couilles entre mes doigts pour les faire rouler. Cette manière de le toucher, le fit grimacer de plaisir. Monsieur reprit son appareil photo pour immortaliser ce moment.
Je poursuivis le rampement de mes doigts jusqu’au sommet de son gland. D’où je l’enroulais de ma paume de main. Je la fis tourner autour par petites rotations. Là, il se mit à souffler de plaisir au point parfois de s’arrêter de respirer. Sa liqueur translucide me facilita la tâche. Je pus plus facilement faire glisser ma main le long de son sexe à vitesse moyenne. Je le manipulais à présent de haut en bas en faisant des rotations sur le sommet du gland avant de redescendre.
Il finit par me prier de le sucer. Une nouvelle, j’obéis à sa requête. Je laissais son majestueux glaive franchir la barrière de mes lèvres. J’imprimais immédiatement le rythme à ma caresse buccale. J’allais avec une vive cadence sur toute cette tige. Dans bouche, je taquinai son gland avec langue. Je contournai avec le plat de la langue la surface de sa prune. Je provoquai des élancements de plaisir au sein de son corps Ensuite, je sortais son sexe pour laper le bout sensible de son membre. Pendant que je suçais cette belle bite. Monsieur faisait fonctionner son appareil.
Puis d’un coup, il abandonna la chaleur de ma bouche pour venir se placer derrière moi. Il me fit basculer sur l’avant. Il me fit me mettre en appui sur les coudes fesses relevés.
Sans préambule, il s ‘enfonça d’un coup au fond de ma grotte tout humide. Il se mit à me pénétrer avec force et vigueur. J’adore quand un homme me défonce de cette manière. Je sentais les muscles de tout son corps se contracter. Il allait et venait. Je sentais les mouvements de son sexe sur les parois internes. Nous ahanons de plaisir. Nous crions notre bonheur.
Je sentais qu’il n’allait pas tarder à venir. Sur le point de non retour. Il me fit retourner sur le dos. Il me mit en appui sur la tête fesse relevé. Il branla quelque seconde son membre. Je vis celui ci ce contracter.
Monsieur déversa toute sa liqueur sur moi. Elle jaillit comme un feu d’artifice. Ca partait de partout. Il souilla mon corps de sa crème. Il me recouvra de tout un tapis blanc. Il prit son appareil photo pour immortaliser ce dernier acte.
Ensuite, la séance était finie. Je me rhabillais et repartais gagner ma demeure. Il me donna les clichés.
Finalement, je les rangeais et cachais dans une broîte au fond du garage.

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