Ce fameux matin-là, nous avions déjeuné ensemble. Il m’avait baisée dans la position a quatre patte et fait grimper aux murs. Je le sentais encore en moi, je remuais les fesses pour maintenir ce bien-être et qu’à son tour, il prenne son pied. Mais, il s’est retiré et je ne comprenais pas pourquoi. J’allais lui poser la question quand j’ai senti sur mon petit trou son sexe bien tendu et raide, dont le gland essayait de s’insinuer dans l’orifice que les bonnes moeurs réprouvent.
« Je crois que le moment est arrivé d’assouvir le fantasme qui me hante depuis que nous en avons parlé. Je vais te sodomiser, si tu es d’accord, bien sûr », m’a-t-il annoncé. Je n’ai pas été surprise car depuis quelque temps, je m amusait a mettre du beurre dans le cul et des objets, sans aucune retenue de ma part. Avec tout l’amour que je lui portais et le plaisir intense qu’il me donnait,
Mon corps lui appartient. Je voulais qu’il me prenne mais, monté comme il l’était… Pour faciliter la pénétration et me préserver de la douleur, il avait choisi la vaseline. , . Avec un peu d’appréhension, je l’ai regardé revenir de la salle de bain avec un petit gode; il bandait toujours. En voyant sa bite fièrement dressée, j’ai pensé que la nature l’avait bien pourvu et que c’était un beau suppositoire qu’il allait m’introduire dans le cul.
Il m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit. J’avais la croupe surélevée, les cuisses bien écartées. Il s’est positionné derrière moi, entre mes jambes, et il a enduit doucement ma rondelle. Ce n’était pas franchement désagréable, mais la pénétration me surprenait, et le va-et-vient de son index me procurait d’étranges sensations. Maintenant, mon anus était bien lubrifié, j’étais prête à le recevoir.
Il était à genoux, je sentais sa queue glisser dans ma raie des fesses, àla recherche de l’orifice convoité. Ma chatte de salope était encore très réceptive, son gland se trouvait à l’entrée de ma vulve humide quand, brusquement, d’un coup de reins, il m’a enfilée jusqu’à la garde. De le sentir s’agiter en moi a fait remonter mon désir, sa main s’intéressait de nouveau à mon clitoris. Il était si sensible depuis qu’il le sollicitait que des ondes de plaisir irradiaient mon ventre.
Je pensais qu’il avait changé d’avis et qu’il continuerait à me baiser selon la tradition. Pourtant, j’étais prête à sauter le pas. Sentant la jouissance proche, et peut-être aussi mue par une curiosité malsaine, je lui ai murmuré un truc bien salace du genre : « Vas-y mon chéri, fais-moi tout, encule-moi. » Ces mots l’ont déculpabilisé, il s’est retiré de ma chatte, a enduit la tête de sa bite de vaseline et s’est présenté pour le « sacrifice« . Très énervée, j’ai saisi son membre pour le guider vers « l’orifice de Satan« .
Je ne sais pas si je me faisais des idées, mais il me paraissait plus raide que d’habitude. Mon bouton de rose frémissait et se dilatait à chacune de ses poussées. Il titillait mon clitoris de plus en plus vite. J’étais au bord de la rupture. Il se faisait de plus en plus pesant. Je cambrais les reins très fort, quand soudain, sous la pression, le muscle anal s’est relaché et le gland avalé. J’ai poussé un cri et j’ai ressenti comme une douleur. Je me suis mise à sangloter et a transpirer. Inquiet, il m’a demandé si je voulais qu’il se retire. Ã mon corps défendant, entre deux hoquets, je me suis entendue lui répondre : « Non, chéri reste, continue, encule-moi, encule-moi… ». Comme il ne bougeait plus, j’ai cru qu’il allait sortir. Pourtant, j’ai senti une douce chaleur m’envahir. J’ai repris l’initiative d’un mouvement lascif des fesses. Contrairement à ce que je redoutais, la pénétration s’effectuait aisément. La douleur du début était passée, mes mouvements devenaient désordonnés. Sur un coup de reins violent de ma part, j’ai été littéralement empalée. Sa bite allait et venait en moi avec une facilité déconcertante. Rassuré par mon comportement, il a adopté un rythme régulier. Sa queue, telle un piston, essayait de s’enfoncer le plus loin possible. J’ai glissé une main entre mes cuisses et attrapé ses couilles pour les malaxer. Cette caresse l’a déchainé. J’avais l’impression d’être sa monture, il ahanait. Puis, il est passé du trot au galop. Plus il me pilonnait, plus son membre augmentait de volume, du moins j’en avais l’impression… C’est à cet instant que j’ai atteint le point culminant de la jouissance et que j’ai été balayée par une déferlante. Au même moment, dans un gloussement de triomphe, il a pris son plaisir.
Puis, nous avons basculé sur le côté et nous sommes restés sans bouger. Sa queue était toujours dans mon cul, elle diminuait progressivement de volume. D’un léger coup de reins, il s’est dégagé, m’a retournée et prise dans ses bras, en m’embrassant et me consolant. Longuement après, nous avons parlé. De nos sensations. De la transgression de mon interdit. De notre amour… Il m’a confié qu’il appréciait le présent que je lui avais offert, car pour lui, c’était un peu comme s’il m’avait dépucelée pour la deuxième fois.
Puis, il s’est levé pour aller prendre une douche. Je suis allée le rejoindre. Après, nous nous sommes remis au lit. Il avait ouvert la fenêtre, une pluie d’automne tombait drue. Blottie dans ses bras, les sens assouvis, je baignais dans une douce quiétude, prête à me soumettre à nouveau à ses désirs. Depuis ce jour-là, et pendant celui qui est devenu mon mari et mon maitre ,j adore me faire enculer,jouir de douleur et de plaisir et je coule comme une chienne a chaque fois qu il me le fait
salope M.M
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