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Ma seconde femme de ménage

Ma seconde femme de ménage



Ma deuxième bonne

Après l’insuccès enregistré avec ma première bonne, j’étais bien décidé à participer plus activement au mode de sélection. Nous eûmes plusieurs fois l’occasion d’interviewer du personnel qualifié mais par très attrayant. À deux occasions toutefois, j’avais le sentiment d’avoir trouvé la perle rare mais le veto de ma femme avait entériné un autre choix, plus modeste mais non dépourvu d’intérêt.

Lola était une péruvienne d’à peine 20 ans, très timide, assez mignonne, juste un peu ronde. Malheureusement, son parcours avait été parsemé de situations déplorables et ses employeurs précédents avaient semble-t-il eu avec elle une attitude d’une méchanceté rare. J’allais donc devoir agir avec encore plus de tact et de subtilité.
J’avais décidé de mieux préparer mes scénarios et de travailler la bonne en douceur et en prenant tout le temps nécessaire.

Après quelques semaines où je ne fis rien d’autre que d’agir en employeur exemplaire, je commençai à pratiquer quelques approches; ainsi un matin, je laissai la porte de la salle de bain à demi ouverte pendant que je m’habillais, sachant que Lola était à distance toute proche. J’étais nu comme un ver, en train de faire mes ablutions lorsque je l’entendis toussoter dans le couloir. J’enfilai vite une serviette éponge autour des hanches et sortis de la salle de bain. En me voyant, elle sursauta, rougit et bégaya un maigre « yé voudrai laver la salle dé bain, misiou » tout empreint d’exotisme. Je voyais ses yeux chercher désespérément un endroit où regarder sans pour autant s’empêcher de jeter quelques oeillades sur mon corps à demi-nu. La blancheur de ma peau ne lui était pas familière et elle semblait étonnée de voir des têtons roses. Elle ne regarda pas en direction de mon bassin, en tout cas, où, clairement il devait apparaître une bosse, naturelle.
Je lui répondis que j’en avais presque terminé et elle repartit. Tact et modération, telle était ma devise à présent.

J’eus une occasion très intéressante de vérifier ses sens et ses affinités un mois plus tard. Elle était en train de nettoyer les marches de l’escalier au rez-de-chaussée lorsque je me trouvais au second. Je me souvenais amèrement de l’issue négative de ma séance avec la première bonne mais le désir fut plus fort que tout. J’entrepris donc de me déshabiller dans le couloir et de me caresser là, adosser au mur de ma chambre. Il était certain qu’elle devait m’entendre car la cage d’escalier est large et le bruit porte loin. J’étais très excité et mes mouvements rapides, tout comme ma respiration. Tout comme ma première bonne, Lola s’arrêta, manifestement intriguée par les bruits en provenance du second. Par un jeu d’ombres et de lumières, je pouvais voir sur le mur en face de moi qu’elle se contorsionnait pour savoir d’où venait les bruits. J’en fus très émoustillé et mes soupirs, d’abord quelques peu feints, prirent la couleur de l’authenticité! Je ne pus me retenir bien longtemps et explosai là, les jambes tremblantes, l’érection triomphante…

Quelques minutes plus tard, je redescendis et trouvai Lola dans le salon, nettoyant sans vraiment se concentrer; elle semblait vraiment troublée. Elle me regarda après que je l’eus appelée et je voyais son regard où semblaient se mêler incompréhension et désir. Mais peut-être prenais-je mes désirs pour des réalités? Je ne voulais pas entrer dans une conversation qui eut pu donner l’impression que je m’étais masturbé dans le but de l’exciter. Cela devait rester un « accident »…

J’eus l’occasion de poursuivre mon approche lorsque j’aménageai la chambre d’ami dans la maison.
Nichée dans le grenier, la chambre devait recevoir nos amis et elle constituait un bel endroit pour poursuivre mes expériences. Un matin, alors que la chambre était en désordre après un week-end passé en famille, je décidai de rassembler ma littérature érotique (bandes dessinées, magazines) et de la glisser négligemment sous le lit. Lola devrait y passer pour tout ranger et un voyage laisserait la maison vide durant deux jours. Je plaçai donc un caméscope, cette fois bien placé, avec un détecteur de mouvement qui enclenchait l’appareil chaque fois que l’on entrait dans la chambre.

A mon retour de voyage, je trouvai Lola changée, apeurée, incapable de soutenir mon regard. Je n’y comprenais rien. Je dus attendre plusieurs heures avant d’accéder à mon aise à la chambre d’ami pour y vérifier le contenu de la bande. Première constatation, le caméscope avait été déplacé. Je bondis sous le lit pour trouver les livres et magazines soigneusement empilés et cachés sous le matelas, loin de l’endroit où je les avais placés.

Les mains tremblantes, je rembobinai la bande, branchai le caméscope sur le téléviseur et, la gorge sèche, attendis de voir les événements défiler devant moi.
La première image montra Lola qui entrait dans la chambre, la démarche lente, l’air dolent. Elle tourna autour du lit et aperçu une bande dessinée. Elle s’agenouilla et découvrit ce que j’avais laissé. Elle prit tout en main et le déposa en vrac sur le lit, puis se mit à feuilleter les pages, lentement, prenant soin de tout regarder, tout détailler. Son visage ne montrait aucune expression. Sauf à un moment lorsqu’une page montrait un sexe en érection de très forte taille.
Je vis ses lèvres s’arrondir et entendis un « oh » d’exclamation. Elle souriait à présent. Elle repris sa lecture; je voyais qu’elle avait du mal à rester en place et m’attendais à chaque instant (en implorant le ciel que cela arrive!) à ce qu’elle commence à se caresser. Les minutes s’égrainèrent sans pour autant qu’elle s’excite plus que d’arborer un sourire extatique…
Soudain, elle s’arrêta car on venait de sonner à la porte. Elle glissa rapidement la lecture sous le lit et descendit.

La bande reprit lorsqu’elle réapparut dans la chambre. Elle s’agenouilla aussitôt et reprit sa lecture. Elle semblait fascinée par un magazine que je connaissais bien et qui montrait des lesbiennes en pleine action. Elle marmonna quelque chose en espagnol et je vis enfin une réaction plus hardie. Sa main gauche se mit très lentement à soupeser son sein droit. Oh, rien de spectaculaire, juste une caresse, un peu plus précise à chaque seconde. Au moment d’aller plus loin, son regard croisa l’objectif du caméscope… Elle se leva rapidement et découvrit le caméscope; elle ne semblait pas comprendre quand enfin elle réalisa qu’elle était filmée. Je la vis s’effondrer sur le lit, catastrophée. Pendant plusieurs minutes elle resta là, hébétée puis elle reprit ses esprits et défit le cordon d’alimentation du caméscope et l’éteignit. Les images se brouillèrent mais la bande était toujours dans l’appareil.

Quelle frustration et quel choc, aussi. J’étais pris sur le fait, comme elle et je comprenais maintenant son comportement. Pris de pitié et de compassion, je descendis et la pris par le bras pour lui parler. Je lui expliquai que je cherchais simplement à la regarder s’exciter et se caresser et que, bien sûr je ne lui en voulais pas. Elle éclata en sanglots et je la rassurai en lui parlant doucement. Décidément, je n’y étais pas encore!

Au bout de trois mois, elle reprit l’avion pour le Pérou où elle se maria.

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