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Ma Sophie

Ma Sophie



Depuis pres de 15 ans années que je vais ma faire couper par la meme coiffeuse. Alors depuis le temps, il s’est installé une certaine intimitée entre nous. Elle sait tout de moi, mon célibat, ma fille lesbienne. Elle sait que je suis amoureux d’elle, a l’époque je lui avais envoyé pour la St-Valentin, une carte dans laquelle, je lui disais a quel point je la trouvais, gentille, bref plein de belles choses qu’une fille aime bien entendre. Comme je n’avais que mis ma premiere de mon prénom, elle ne savait pas qui lui avait envoyé. C’est son patron qu’il lui avait dit que c’était moi et plus tard elle me l’avais demandé et comme je lui avait dit que c’était moi,elle m’avait avoué qu’elle avait pleuré de joie en lisant la petite carte. Sophie qu’elle s’appelle, n’est pas la fille qui ferait la premiere page de magazine de mode certes, mais moi je la trouve vraiment belle. Une fille avec un grand sourire, facile d’approche. Une fille avec de petits seins, de bonnes hanches, de bonnes cuisses, bref bien en chair. Je sais qu’elle en couple, avec enfants, qu’elle dit qu’elle est en amour. Comme toujours, je prends trop de temps a passer a l’action. Dernierement, alors que ca faisait un bout de temps que je ne l’avais pas vue, encore une fois de ma faute, j’arrive rentre, elle me voit, me fait un de ces sourire hors de l’ordinaire, elle me regarde et je vois de petites larmes qui coulent sur ces jouent. Comme elle déja avec un client, je ne parle pas, enleve mon manteau l’accroche et m’assieds en attendant mon tour. Elle d’habitude n’arrete pas de parler et de sourire, je suis bouleversé. Je pense bien que c’est un nouveau client parce qu’il ne s’appercoit de rien. Elle termine, le monsieur paye et sort. Je me leve et m’apprete a prendre place dans le fauteuil, elle s’approche de moi et se colle a moi, et se met a pleurer. Je la prends dans mes bras sans rien dire. Elle pleure a chaudes larmes. Je me risque a lui caresser les cheveux. Elle me sert dans ces bras. Elle se sépare de moi pour aller fermer a clef le commerce et m’amene en arriere. On s’assied et elle commence a ma raconter que son couple bat de l’aile, son mari ayant des problemes au travail, elle se sent laissée de coté et la tendresse lui manque. Tout en me disant tout cela, elle dépose une main sur ma cuisse. Une grande décharge électrique me parcourt le corps. Moi je ne veux qu’etre pres d’elle pour l’écouter, la consoler mais cette main sur ma cuisse fait que ma queue, malgré moi, ben, elle commence a lever. J’essaye de me concentrer mais y a rien a faire je bande. Pendant tout ce temps, Sophie me raconte tout ce qu’elle a sur le coeur. Tout a coup, elle s’arrete me fait un léger sourire. Sa main remonte légerement ma cuisse pour venir effleurer la bosse de mon pantalon.
« j’ai besoin d’affection, qu’elle me dit, j’ai besoin qu’ on m’aime »
Moi je me tourne un peu de coté, lui prend sa petite face et vient déposer un chaste baiser sur ses levres. Elle dépose sa main et pese sur mon sexe. J’ai l’estomac qui se noue, je sais bien qu’elle est mariée, que j’ai certains principes mais je l’aime et je la veux, la.
« Sophie, je ne devrais pas faire ca mais depuis le temps que je fantasme sur toi, si tu veux encore je vais te faire l’amour comme j’aurais toujours voulu te le faire, ce n’est pas l’endroit idéal mais, j’ai envi de toi»
Pour seule réponse, elle m’embrasse mais la a pleine bouche, nos langues se melent , il ya de la bave partout sur nos visages, comme si c’était la premiere fois qu’embrassait quelqu’un. Et comme c’était la premiere et derniere fois que je ferais avec la fille de mes reves, j’allais prendre tout mon temps. Je n’ai qu’une seule et unique chance. Je la prends par la main, l’invite a se lever, l’un en face de l’autre, je lui prends la face a deux mains, et je recommence a lui faire de baisers langoureux tout en laissant se promener a lui caresser les bras. Je sens la chair de poule sur sa peau. Mes mains passent lentement sous son chandail en allant a la découverte de son dos. Nos langues continuent leurs fréquentations. Elle, elle me caresse les cheveux, la nuque, comme pour qu’on ne se décolle jamais. Elle se colle a moi pour presser mon sexe contre elle. Elle m’enleve mon t-shirt et passe ses mains sur torse. Ses mains descendent sur mes fesses. A mon tour a lui oter son chandail, apparait un joli soutien- gorge d’un rose pale. Mes doigts se promenent sur cette peau si douce, ma bouche délaisse la sienne pour lui embrasser le cou, mordiller ses lobes d’oreilles. Nerveusement, je ne sais pas pourquoi, je viens lui toucher les seins. Je tremble a l’idée qu’enfin je vais faire l’amour avec MA Sophie. Toujours debout, l’un en face de l’autre, tout en regardant intensément ma belle, mes mains passe dans son dos, je défais sa brassiere, ramene doucement par en avant les bretelles. Mon regard descend sur cette merveilleuse paire de seins. Je me penche pour les embrasser. Je la sens frisonner, sa respiration s’accelere, pour mon plus grand plaisir. Avec tendresse je lui les suce, les massent, me les collent sur la figure. Ses mains dans mes cheveux, me collent la figure contre sa poitrine. Ma queue me fait mal tellement je suis bandé. Mes deux mains cherchent la fermeture de son pantalon. Je défais le bouton baisse la fermeture éclair. Doucement je descends son jean. Je suis a genoux, m’apparait une petite culotte rose pale aussi, mes doigts de chaque coté de ses hanches je baisse son sous-vetement. Quelle vision magnifique, son sexe rasé, légeremnt bombé, de petites levres. Je leve les yeux, pour retrouver ceux de Sophie, elle me sourit. J’approche ma bouche sur cet endroit si longtemps désiré. j’embrasse délicatement , a peine juste effleuré. Je sors la langue, la passe sur ses levres pulpeuses, mes mains caressent ses cuisses si douces. Je ramene une main pour bien caresser ce petit bouton, j’ose faire pénétrer un doigt en son antre, mais a peine. Je me promene sur ce domaine des plaisirs certain, quand elle me prend par le menton pour me relevé. Un baiser fougueux m’accueille, pendant que ses mains s’animent a me débarrasser de mon pantalon. A son tour, doucement se met a genoux en baissant mon pantalon, moi comme je ne porte jamais de sous-vetements, sa petite frimousse arrive nez a « nez«  avec mon sexe bien dure. Elle affiche un beau sourire, d’une main, elle me soupese les burnes, qui pas besoin de dire, elles sont pleines et pretes a se vider. Sa langue vient lecher mon gland violacé par l’envie. Ma bite rentre dans sa bouche entirement. J’imaginais, la belle fille un peu coincé sur le sexe, style position du missionnaire, sans plus. Elle commence a me faire une de ces fellation, wow, sublime. Une pipe qui dure de longues minutes, tant qu’a moi je la laisserais jusqu’a l’explosion. Mais c’est elle qui en a besoin, alors je me releve, l’assied sur une table, lui écarte bien les jambes et commence a lui jouer apres sa chatte mouillée, elle sent bon, elle goutte bon. Pénetre ma langue, tout en jouant apres son clito gonflé. Elle se renvers par en arriere soutenu sur ses coudes. une main sur ses seins, ma langue mes doigts sur son sexe. Sa respiration s’accelere a nouveau.
« ta queue, j’aimerais que tu te glisses en moi, s’il te plait »
Si ca me plait, sure que je veux., Je me leve, me place queue face a sa chatte. Mouille ma main, frotte ma bite en feu, j’installe mon gland et la prends par les hanches. Sophie a de beaux bleus, un beau sourire, elle est tellement belle. On se sourit.
« mon amour, cela fait plus de 15 ans que j’attends cet instant magique, je t’aime »
Je fais pénetre doucement mon sexe, je tremble de bonheur, d’extase. Je la gonfle tout en continuant a rentrer. Je prends vraiment mon temps. J’y suis, mes boules se collent a ses cuisses. Sa main vient caresser son petit bouton rose, moi mes caresses, masses ses seins, son ventre, ses hanches. Je me mets a faire des va-et-vient, quel bonheur, divin. Ses yeux fermés, elle savoure, elle se délecte de cet acte immoral, je m’en fous, je l’aime cette fille. Ma pression augmente, ma pression au niveau des couilles naturellement, je lui dis, elle accelere ses frottements de son clito, elle aimerait qu’on jouisse ensemble, sure. Je me retiens le plus possible. Je la vois s’agripper a la table et me dis oui. Je me laisse aller, je jouis en elle et non je n’ai pas mis de capote. Je me sens coulé en elle comme si des litres et des litres se déverser en elle. Nous sommes la a essayer de reprendre notre souffle, nos sens, nos idées, elle se releve et me prends dans ses bras.
« je sais tres bien que je ne devais pas te dire ca, mais je t’aime, tu es quelqu’un de si merveilleux, je suis content que tu fasses partie de ma vie »
Elle termine sa phrase en m’embrassant goulument. On se rhabille sans mot dit. De toute facon, nous n’avons pas besoin de dire quoi que ce soit. Avant qu’on se quitte, je lui offre sur un mot de papier avec mon numéro de cellulaire en lui disant si jamais elle sentait le besoin de parler ou autre chose que je serais toujours la pour ma petite princesse.

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