Nouvelle expérience.
Huit mois s’étaient écoulés depuis ma première rencontre avec un homme. J’avais une copine à présent. Tout se passait bien mais mes je ne pouvais pas m’empêcher de repenser à cette soirée.
Je trainais comme à mon habitude sur divers tchat gay. J’avais rencontré un homme de 36 ans, marié, bi, qui recherchait un jeune homme. Il avait flashé sur la photo de mon cul que je lui avais envoyé par mail. Nous parlions depuis environ deux semaines quand je décidais de sauter le pas et de le rencontrer.
Il savait que j’avais peu d’expérience. J’étais plutôt du genre parano. Avant de rencontrer un nouveau mec, je m’assurai le connaitre un peu mieux que le précédant.
Il s’appelait Alexandre. Il était infirmier et vivait avec sa femme. Elle faisait des postes, du coup, ça lui laissait quelques soirées de libres dans la semaine. Et moi, ne vivant pas avec ma copine mais toujours chez mes parents (j’ai 19 ans à ce moment là), il m’était possible de sortir de la maison sans avoir de compte à rendre à ma copine.
Nous nous donnions rendez-vous sur le parking près de la gare SNCF de ma ville. Alex habitait à 10 minutes de chez moi. Quand il m’envoya le message comme quoi il partait, mon cœur se mit à battre si fort que pouvais le sentir jusque dans mes doigts. Je stressais comme la première fois. Je sorti de chez moi et me mit en marche jusqu’au point de rencontre. Sur le chemin, je pensais à sa queue et à ce que je pourrai faire et dire pour l’exciter comme jamais auparavant. Je commençai à bander…
J’arrivai sur la place. Personne. Au bout de quelques minutes d’attente, une voiture s’approcha et me fit des appels de phares. Ca y est. Maintenant, je ne peux plus reculer. Je montai dans sa voiture. Il me regarda et me fit un sourire.
– Je connais un coin très calme pas loin d’ici, ça te dit ? me demanda-t-il.
J’acquiesçai.
Alors que nous étions parti depuis trois minutes, je décidai de placer une des mes mains sur sa cuisse. Il tourna la tête vers moi et me sourit. Je remontai doucement ma main sur son entre-jambe et caressa ses couilles par-dessus le jean. Je n’ai pas eu le temps d’aller plus loin qu’on arrivait déjà à l’endroit prévu.
Nous sortîmes de la voiture et je vins me placer à demi assis sur le capot. Il s’approcha de moi et plaça ses deux mains sur mes fesses.
– Sacré cul. Tu aimes qu’on te le bouffe ?
J’eu à peine le temps de répondre oui qu’il me tourna et me plaqua contre le capot de la voiture. Ses mains défirent mon pantalon et le baissèrent jusqu’au sol. Je ne portai pas de caleçon. Je sentis ses mains écarter mes fesses et sa langue vint rentrer en contact avec mon anus. La sensation était exquise. Sa langue glissa autour de mon trou serré puis entra dedans. Il prit mes couilles dans ses mains et me lécha partout entre mon sexe et mon cul. Après 5 minutes, il se releva. Je tombai à genoux face à lui, défit son jean et sorti sa queue. Il bandait déjà. Environ 15 cm et d’une largeur moyenne, je l’a prit dans ma main et lécha son gland. Puis je la fis glisser entre mes lèvres et la suça avec intensité. Elle entra pratiquement entièrement dans ma bouche quand il se mit à appuyer son ma tête.
– Plus profond ! Aller, applique toi petite salope !
Je ne m’attendais pas à ce qu’il me parle comme ça, ce qui m’excita d’avantage ! Je sorti sa bite humide de ma bouche et lécha ses couilles rasées. De ma main, je le branlai.
-Lève toi, m’ordonna-t-il.
Il me plaqua contre sa voiture, écarta mes fesses et lécha de nouveau mon cul. Il y glisse un doigt, puis un deuxième.
– Encule moi s’il te plait ! Lui demandai-je.
Il plaça son gland contre mon anus et enfonça sa queue au fond. Je ne senti aucune douleur. C’était trop bon ! J’imaginais sa queue à l’intérieur de moi, en train d’élargir mon petit cul serré. Je posa ma tête sur le capot de la voiture et prit l’une de ses mains pour lui sucer les doigts. Sa queue entrait et sortait, son autre main vint me donner une fessée et il enfonça ses doigts dans ma gorge.
– T’aimes ça salope ?
– Hummm… j’adore… baise moi !
Il me baisa dans cette position pendant 10 bonnes minutes. J’avais perdu la notion du temps quand il sorti de mon cul et me mit à genoux devant lui. Je pris sa queue dans ma bouche, elle était chaude. Je la branlai entre mes lèvres et mes mains vinrent caresser ses couilles. J’entendis son souffle s’accélérer puis il gicla. Le jet chaud vint se déposer dans ma bouche, sur ma langue. J’avalai le tout. Jusqu’à la dernière goûte, je léchai sa bite pour y avaler le sperme restant. Puis, je plaçai ma main droite sur ma queue et me branlai devant lui, tout en le branlant de mon autre main.
– Vas-y, jouis ma petite chienne !
Le goût du sperme dans ma bouche me rendit fou et je giclai partout devant moi et sur ma main, que je léchai devant ses yeux.
– Toi, j’en ai pas fini avec toi ! Faut qu’on garde contact !
Je lui souri tout en mordant mes lèvres…
Cette soirée fut la plus chaude de ma vie.
Et je pense revoir Alexandre très bientôt.
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