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Marie-Laure – ma mère 2

Marie-Laure – ma mère 2



Marie-Laure – ma mère 2 suite

Dimanche – Vendredi

le dimanche matin je fis la grasse matinée, pas de sport aujourd’hui mais du farniente, espérant profiter de la présence de ma mère sans l’espoir qu’il se passe quelque chose entre nous.

Lorsque je me levais elle finissait son petit déjeuner attablée à la cuisine vêtue d’un peignoir mal fermé qui cachait à peine sa poitrine et lorsque je l’embrassais, elle étira son visage vers moi faisant par la même occasion jaillir un sein.

Elle remit son sein en place en souriant, je lui rendis son sourire, montrant mon plaisir de voir son sein lourd nu.

-J’ai terminé, je te prépare des tartines de pain grillé mon chéri ?

-Avec plaisir maman mais je le ferais.

-Laisses toi faire, mon fils, c’est mon plaisir de m’occuper de toi, je veux te garder.

Je la laissait faire, c’était si gentiment proposé mais ses paroles semblaient pouvoir avoir un sens caché. Je me plaisais à imaginer qu’elle ne songeait pas uniquement à satisfaire mon estomac.

Elle se leva et entrepris de couper deux tranches de pain. Le fin tissu du peignoir était plaqué sur ses grosses fesses, nues j’en étais certain, qui se mirent à onduler sous les mouvements.

Lorsqu’elle posa mon petit déjeuné sur la table, ses seins se mirent à la verticale.

-Décidément, mes seins ont envie de liberté ce matin dit elle en se réajustant.

-le les comprends, pourquoi cacher de telles merveilles

–Flatteur va, dit elle en m’embrassant sur le front. Je vais au marché voir si je trouve du poisson.

J’avais passé mon bras autour de sa taille lorsqu’elle m’embrassa et je laissais trainer ma main sur sa croupe quand elle s’éloigna sans qu’elle ne me fasse de remarque.

Il va sans dire que je me caressa aussitôt qu’elle eut quitté la pièce avec la main qui avait frôlé son fessier callipyge.

J’attendis avec impatience son retour, imaginant mille situations plus sensuelles et érotiques les unes que les autres.

Mes rêves étaient trop hardis en comparaison avec la réalité, et si elle se mit à l’aise et revêtit une simple combinaison en satin bleu sous laquelle on devinait la marque de la culotte qui, c’était une habitude, entrait dans la profonde raie. Je l’avais imaginée portant un simple paréo sous lequel elle aurait été nue, bien évidemment. On était loin cela.

Je l’aidais à préparer le repas, ce qui n’était pas dans mes habitudes, je ne mettais jamais les pieds dans une cuisine lorsqu’il s’agissait de cuisiner, ma mère et ma femme ensuite étaient bien plus douées que moi en la matière.

Ma mère s’en étonna et je prétexta que je devais m’y mettre car avec mes déboires sentimentaux je devais apprendre à me débrouiller seul.

-Mais je serais toujours là pour t’aider mon fils, je ne te laisserais pas mourir de faim.

-Tu es un ange maman lui dis je en entourant sa taille et en déposant un baiser sur son épaule nue.

-C’est un plaisir pour moi de m’occuper de toi. Je commençais à m’ennuyer à la retraite.

Elle me serra contre son flanc et déposé un baiser furtif sur mes lèvres .

-Je suis si fière de toi mon petit.

-C’est toi que j’aurais du épouser, ta cuisine est bien plus appétissante que celle de…

-Allons, allons ne soit pas …

Je ne la laissais pas terminer sa phrase et la serra dans mes bras pour lui rendre son baiser.

-Prépares la table. Nous allons déjeuner.

Le repas fut succulent, cela va sans dire, et je me délectais non seulement des mets préparés par ma mère mais surtout de son corps généreux qui m’offrait des décolletés plongeant ou encore la rondeurs de ses fesses moulées par le fin d tissu de nylon.

L’après midi s’annonçait pluvieux, il n’y aurait pas d’escapade à la plage pour prendre un pot et nous nous installâmes sur le canapé pour regarder le grand prix de formule un.

Bien qu’il fit moins chaud je fus étonné que ma mère se mette tout contre moi. Etait ce le signe que j’attendais.

-Ça va maman ?

-Oui mon fils un peu contrariée mais ce n’est rien.

-J’ai fais ou dis quelque chose q’il ne fallait pas pas maman ?

-Ce n’est pas toi qui en est la cause mon petit, Non des remarques à la pâtisserie tout à l’heure.

-Qu’est ce qui s’est passé ?

-Rien d’important, des petits imbéciles qui lorsqu’ils sortaient n’ont pu s’empêcher de faire des remarques à mon propos que j’ai entendues. Je ferais mieux de faire du régime avec mon gros cul de vieille ont ils dit. Tu imagines vieille avec un gros cul.

-Laisses dire les gens, tu es ronde et belle maman et pourc e qui est de l’âge je crois que ce sont eux les vieux avec de tels préjugés de petits bourges. Restes comme tu es, pleine de vie.

-Merci mon chéri et elle déposa un doux baiser sur mes lèvres, je compris que ce n’étais pas le moment de m’aventurer à lui faire des avances. Je me contentais de rester dans mon rôle de fils aimant et attentionné et lui rendit le baiser alors que je n’avais qu’une envie lui rouler une pelle .

Je dus admettre que je devrai attendre un peu avant de passer à des choses plus sérieuses et durant les jours suivants rien ne changea,. Un bisou lorsque je rentrais le soir et un autre pour se souhaiter une bonne nuit et entre les deux des visons plus ou moins furtives de son corps.

Je reportais tous mes espoirs sur le vendredi soir où je l’avais invitée à diner sur la côte.

Le vendredi matin, à la différence des autres jours de la semaine, elle était réveillée lorsque je m’apprêtais à partir.

-N’oublies pas d’être prête à sept heures ce soir maman

-Surement pas, j’ai hâte que l’on soit ce soir et que l’on aille diner ensemble mon chéri. Je me lève car j’ai pris rendez-vous tôt ce matin avec ma coiffeuse pour me faire belle.

–Mais tu es naturellement belle maman.

-Viens m’embrasser avant de partir

J’entra dans sa chambre en sortant de la salle d’eau et la trouvais assise nue sur le bord du lit.
Elle se leva en écartant ses bras pour que je vienne me blottir contre elle. Dieu qu’elle est désirable ainsi offerte.

-Passes un bonne journée mon fils me dit-elle en me serrant dans ses bras et en déposant un baiser plus appuyé que d’habitude.

-Toi aussi, maman. A ce soir .

A mon tour je posa mes lèvres sur les siennes et les y laissa plusieurs secondes. Elle ne se déroba pas et je me pus m’empêcher de lâcher un je t’aime maman.

-Moi aussi mon fils je t’aime

Elle déposa un nouveau baiser sur ma bouche qui n’avait plus rien de maternel tant il était appuyé. Mes mains se posèrent sur le haut de ses fesses.

A ce soir mon fils,. Clap de fin.

J’en étais sur ce soir il se passerait des choses …

Aux alentours de 19 heures j’arrivai et je vis qu’elle surveillait mon arrivée depuis le balcon.

Lorsqu’elle monta dans la voiture vêtue d’un chemisier blanc imprimé de motifs floraux et d’un pantalon en lin blanc je remarqua immédiatement qu’elle avait laissé ses seins libres.

-Tu es très belle ce soir maman, ta tenue te va à ravir lui dis avec un sourire coquin.

-Cela se voit à ce point que je n’ai pas mis de soutien gorge ? Je n’aurais pas dû.

-Non maman, ton chemisier ne laisse rien voir mais je sais voir quand tu en portes un et quand tu laisses tes seins libres Je suis très fier de toi. Je te ferais bien un bisou pour te remercier de ne pas en avoir mis, mais je crois que les commères habituelles nous observent.

-Allez démarres, j’ai faim dit elle en posant sa main sur ma cuisse, le bisou tu me feras plus loin.

Il n’y avait qu’un seul feu avant de quitter la ville qui eut la bonne idée de se mettre au rouge me permettant de joindre mes lèvres à celles de ma mère tout en caressant le haut de sa cuisse à travers le tissu fin.

Elle tapota mon épaule pour mettre fin à ce baiser.

–C’est vert mon chéri. C’est dommage le baiser était délicieux mon fils, je suis sure que l’on va passer une bonne soirée, dit-elle en se calant dans le siège et en bombant sa poitrine en avant.

-Moi aussi maman, moi aussi.

Le diner fut excellent mais ce furent mes yeux qui mangèrent davantage que ma bouche. Je n’avais de cesse d’observer le chemisier de maman qui avait ouvert quelques boutons laissant voir la naissance de ses seins.

Après le repas nous allâmes nous promener en front de mer bras dessus bras dessous, mon bras poussé vers elle pour mieux sentir la caresse de son sein.

De retour nous nous assîmes la plage quasiment déserte en dehors de quelques amoureux qui profitaient comme nous de la nuit étoilée et de la bise marine.

Mon bras autour des ses épaules je lui avoua

-Tu es vraiment charmante, si tu n’étais pas ma mère je te ferais la cour.

-Et bien oublie que je suis ta mère, que dirais tu à Marie-Laure ?

-Je n’ai jamais été très doué pour cela.

-Dis lui ce que tu as au fond du coeur Etienne.

-Marie-Laure, je n’ai de cesse de penser à toi, le pire moment de la journée c’est lorsque je te laisse le matin et le plus heureux c’est lorsque je te retrouve le soir et que je te fais un bisou.
Je l’embrassa dans le cou et lui murmura à l’oreille,

-Je t’aime Marie-Laure, je ne désire que toi.

Elle entoure mon cou de son bras et me susurre je t’aime aussi Etienne, je veux être ta femme/

Ses lèvres se dirigèrent vers ma bouche pour un vrai baiser, nos langues s’unirent dans un ballet intime.

L’instant devenait solennel, on ne jouait plus à se séduire, on souhaitait s’aimer charnellement.

Nous restâmes silencieux un instant après le baiser, sentant bien que nous étions sur le point de franchir une étape décisive dans notre relation.

-Maman ce que je viens de dire à Marie-Laure t’est adressé à toi ma mère.

-Et la réponse de Marie-Laure était celle de ta mère mon fils.

-Maman je désire t’embrasser, caresser tes seins

-Caresses donc mes seins , mon fils,je n’attends que cela pourquoi crois tu que je les ai laissés libres sous mon chemisier ;?

Ma main remonta sous le chemiser et put enfin caresser le sein lourd et chaud de mère tandis que nous lèvres et nos langues s’unissaient dans un baiser ardent.

-Nous serons mieux sur mon lit mon chéri, partons vite .

Nous avons voulu courir en quittant la plage mais ma mère s’est vite arrêtée ses seins se ballotant dans tous les sens, ne pas mettre de soutien présente des avantage mais aussi des inconvénients, surtout quand on a des seins comme les miens dit elle en riant.

-On n’est pas à la minute. On a toute la nuit devant nous.

Lorsque je gara la voiture dans la rue mon cœur se mit à battre plus, vite. On était arrivé et dans quelques minute je tiendrai ma mère dans mes bras dans son lit.

Nous dûmes faire un effort pour ne pas nous tenir par la main ou la taille craignant le regard sournois de quelque mégère.

La porte de l’appartement refermé nous enlaçâmes pour un nouveau baiser sans aucune retenue, mes mains soulevant le chemiser pour pétrir sa poitrine douce mais brulante, puis pour peloter ses grosses fesses charnues.

Et s’est sans avoir séparé nos bouches l’une de l’autre que l’on se retrouva dans sa chambre pour ce moment tant attendu et désiré.

Ce n’est qu’après avoir entièrement dégrafer son chemisier que mes lèvres quittèrent les siennes pour se porter sur ses mamelons. Mes mains s’étaient emparées de ses mamelles tombantes pour les redresser et porter les deux tétines à ma bouche.

Je m’agenouilla pour lui baiser son ventre rond puis tout doucement je fis glisser son pantalon découvrant un minuscule string qui masquait sa toison mais laissait nu son immense fessier tant admiré. Mes mains s’attardèrent longuement sur son ample cul tandis que je baisais sa touffe à travers le fin tissu qui finit par rejoindre ses chevilles et m’offrir ainsi sa chatte maternelle.

-Donne moi ton nid d’amour je vais te le lécher, ouvres bien tes cuisses

-Oui mon fils manges ma chatte je suis toute mouillée.

Quelle merveille de passer ma langue sur ses poils humides puis de la fourrer entre ses lèves tout en m’agrippant à la chair voluptueuse de ses fesses. J ‘écartais ses lèvres pour glisser la langue dans son intimité humide, ses mains étaient posées sur ma tête me tenaient collé contre son ventre

Elle lâcha la pression et se fut son tour de me dévêtir. Elle eut tôt fait de m’ôter la chemise, elle me caressait la poitrine , les tétons, puis les embrassa en se débarrassant de mon pantalon.

Mon sexe était dur comme de la pierre dans mon caleçon. Assise sur le bord du lit elle me dénuda entièrement libérant ma verge pleine de désir pour elle. Elle y déposa de tendres baisers avant de me décalotter et de l’engloutir dans sa bouche, sa main caressant ma couille.

-Laisses moi gouter ta queue, mon fils, avant de la nicher dans mon nid d’amour.

-Oui maman, suces moi, je veux manger ta chatte et nous basculâmes sur le lit pour un soixante neuf inoubliable. Elle était sur moi et ses cuisses enserraient mon visage qui plongeait dans son entre-cuisses dévorant son abricot fort juteux.

Sa langue glissait le long de ma verge et venait s’attarder sur ma couille qu’elle tenait en main pour mieux la lécher.

Peu après je me retrouvais sur elle , elle gobait ma couille tout en massant ma verge. Mes doigt fouillaient sa chatte et ma bouche suçotait son clitoris. Un vrai bonheur de manger de la sorte sa chatte baveuse, nos corps étaient couverts de transpiration tant ils brulaient de désir .

-Viens mon fils, prends moi je veux être ta femme.

-Et moi ton homme maman.

Nous nous enlaçâmes nos  épidermes collés l’un contre l’autre, mon désir dressé contre le ventre de ma mère, mes mains malaxant ses seins tombants.

-J’aime tes seins maman ils sont si gros.

-Viens mon petit, mets ta queue entre eux.

A califourchon sur sa poitrine, je plaçais ma verge tendue dont le gland était en feu entre ses seins qu’elle serra sur mon queue qui allait et venait.

-Prends moi mon fils.

Je m’allongea sur elle en baisant sa bouche ardente.

-Guides moi en toi maman.

-Elle saisit ma pine qu’elle posa sur ses lèvres entrouvertes.

-Viens mon fils enfonces ta queue dans la chatte de ta mère.

Et tout naturellement je m’enfonça en elle, et entama un va et vient qui me semblait interminable. J’étais dans un autre monde je faisais l’amour avec ma mère qui m’offrait le plus beau des cadeaux.

Aucune femme ne pouvait me procurer plus d’amour et de plaisir qu’elle. Ses formes généreuses, voluptueuses et sa façon de s’abandonner de la façon la plus totale.

Ce fut une jouissance incomparable qui nous laissa à bout de souffle, nous étions dans un autre monde fait uniquement de sensualité de sexe et de désir.

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