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Mon amie du lycée…

Mon amie du lycée…



Je m’appelle J. J’avais alors 19 ans. Élève plutôt doué d’un célèbre établissement d’enseignement supérieur de la rive gauche, je venais, malgré mon mètre 70 et ma maladresse, de réussir à séduire une belle jeune fille, avec laquelle je suis d’ailleurs toujours à l’heure où j’écris ces lignes. Je dois dire que j’étais tout à fait satisfait de la réussite de cette entreprise, et n’aurais jamais songé une seconde à la tromper. C’est pourtant le récit de ma première, et particulièrement sauvage, infidélité, que je m’apprête à faire ici.
Commençons par situer notre histoire. Durant une bonne partie de mes années de lycée, passées dans une vénérable institution catholique de l’Ouest Parisien, j’avais fantasmé sur l’une de mes camarades de classe, une petite blonde au visage angélique, dont le teint légèrement halé rappelait celui des italiennes. Elle s’appelait C. Un peu en retard du point de vue biologique, tout comme moi, elle avait assez peu de formes. Mais ses fesses et ses seins demeuraient bien dessinés, d’autant qu’elle savait les mettre en valeur. Elle portait souvent un chemisier léger qui laissait entrevoir un soutien-gorge en dentelle, et parfois des jupes courtes (par quel miracle les surveillants la laissaient-ils rentrer ?) découvrant ses belles jambes de sportive. Elle était pour moi un objet de vénération, je la dévorais des yeux en classe, comme bien d’autres de mes camarades, mais sans jamais songer à entreprendre quoi que ce soit, encore moins à me masturber en pensant à elle : je la respectais beaucoup trop pour cela. Peut-être en étais-je même un moment tombé amoureux, je n’en suis plus très sûr aujourd’hui, toujours est-il que nous sommes devenus bons amis, avant de nous perdre de vue une fois notre baccalauréat en poche et nos études supérieures entamées.
Quelques mois plus tard, ce devait être vers avril de ma première année dans le supérieur, j’eu la surprise de recevoir un message de cette jeune fille, que j’avais presque fini par oublier, absorbé que j’étais par mes études, ma nouvelle relation amoureuse et les différentes beuveries hebdomadaires auxquelles j’étais convié. Elle n’y demandait que de mes nouvelles, de façon assez convenue je dois dire, mais ce message eut un effet complètement inattendu sur moi : je me rendis compte que son absence me la faisait désirer bien plus qu’auparavant, maintenant qu’elle se rappelait à moi. J’entretins avec habileté la conversation, et appris qu’elle venait de rompre avec son petit ami du lycée. Je reconnus-là cette constante, que j’entrevoyais déjà à l’époque, qu’ont les femmes de se servir de leurs vieux amis comme objets de consolation. Seulement, j’avais maintenant réellement envie d’elle. Je commençai à éplucher les photos de ses réseaux sociaux, nourrissant mes fantasmes. Chose que je n’aurai jamais pu croire un an auparavant, et permise par un déclic profond que je ne m’explique toujours pas, je commençais même à m’imaginer coucher avec elle, même si j’aimais plus que tout ma petite amie. C’était beaucoup trop fort pour moi, je passais mes journées à regarder ses photos ; elle me faisait bander. Je sentais de plus en plus à travers les messages que nous échangions que C. avait besoin de quelqu’un, quelqu’un qui lui fasse du bien, c’en était presque à se demander si cette gamine n’était pas devenue nympho. Elle ne l’avouait pas, mais elle avait besoin de sexe, et savait me le montrer lorsque nous discutions, tout en sous-entendus.
Mais venons-en directement à la partie la plus intéressante de ce récit, qui intervint après quelques semaines d’échanges dématérialisés. J’avais désormais bien l’intention d’accomplir mes fantasmes de lycéen, je voulais la goûter, et puis, rien qu’une fois, après tout, ça n’engage à rien. Il s’agissait simplement de pimenter ma vie de couple devenue quelque peu routinière… Au détour de nos discussions devenues de plus en plus chaudes et lourdes de sous-entendus, bien qu’aucun échange de photos dénudées n’ait eu lieu, je finis par lui donner rendez-vous, déterminé, sinon à la baiser tout de suite, au moins à prendre sa température…
Nous nous revîmes donc l’après-midi du 14 avril 20XX, dans un célèbre café littéraire parisien de Saint-Germain des Prés. Nous étions en terrasse, le temps était beau, le gratin germanopratin était là, et elle-aussi, plus belle que jamais. La lumière baignait sa belle chevelure blonde, illuminait son visage d’ange et surtout sa jolie bouche, dont je devais connaître l’étendue des capacités plus tard dans la journée… Elle portait aussi une mini-jupe, sans collants, et l’un de ses fameux chemisiers, à travers lequel j’imaginais déjà sa petite poitrine. Dès les premières secondes, j’ai su que nous allions coucher ensemble, ce jour-là, peu importe l’endroit. Dans les toilettes du café, de mon école, un train, à même le trottoir, n’importe où. Elle aussi, en avait envie. Elle commença par me parler de ses études, de sa préparation littéraire et des gens odieux qu’elle y fréquentait. Très vite cependant, la conversation n’était plus qu’un prétexte pour nous rapprocher toujours plus. De façon complètement spontanée, presque honteuse (c’était en tout cas le sentiment que j’éprouvait à ce moment, la honte complète, absolue, de tromper celle que j’aimais), nous nous sommes embrassés. Penauds, à cette table, au pied d’une église, nous sommes restés longtemps silencieux, à nous dévorer du regard. C’était, avec un peu de recul, complètement incompréhensible : nous n’étions que bons amis au lycée, et voilà que, après des mois sans s’être vus, nous nous étions embrassés, et allions, c’était dès lors une certitude, se donner l’un à l’autre sauvagement.
Tout est ensuite allé très vite, nous avions de toute façon perdu le contrôle de nous-mêmes. Assis à cette terrasse, entourés de gens parmi les plus en vue de la capitale, nous avions commencé, sans un mot, à nous toucher. Elle avait délicatement posé sa main sur mon entrejambe, j’avais la mienne sous sa courte jupe, sur sa culotte. Je la sentais déjà se laisser aller, elle mouillait. Je crois que si nous n’avions pas été, l’un et l’autre, si timides habituellement, nous aurions fait l’amour directement dans les toilettes de l’établissement. Arrivant tout de même à me maîtriser, je trouvai la force de payer l’addition, et proposai à ma compagne d’un jour de la mener chez moi. Elle refusa.
– « S’il te plaît, viens chez moi, mes parents ne sont pas là et j’ai de quoi m’amuser dans ma chambre… » me dit-elle.
Je me souvins alors qu’au-dessus de son lit trônait un cadeau d’un goût excellent, offert par l’un de ses amis gays : un gode tour Eiffel. Il faisait au moins quarante centimètres, et je faillis m’effondrer rien qu’à l’idée de voir ses petites lèvres glisser dessus pour mon plaisir. J’acquiesçai donc immédiatement, trouvant l’idée excellente, et particulièrement bandante : plus tôt, j’avais rêvé la prendre dans sa chambre, à même la moquette.
Le trajet jusqu’à la gare X, d’où partait le train en direction de chez elle, fut particulièrement éprouvant. La ligne 1X, en temps normal, était déjà infernale. Mais cet après-midi-là, la ligne bondée et les premières chaleurs rendaient insoutenable la promiscuité qui y régnait. Heureusement, C. et moi étions collés l’un contre l’autre, de sorte que le voyage me fût un peu plus supportable. Je sentais la chaleur de son corps, et surtout ses petits seins, dont les mamelons étaient durs, contre ma poitrine. Nous nous sommes encore embrassés, sur le trajet, très longuement. A son contact, je bandais vigoureusement, elle devait sentir mon pénis bien dur au niveau de son ventre ; elle me dévorait du regard, et j’en faisais de même.
Gare Saint-Lazare, on attrapa de justesse le train en direction de son village, fort heureusement d’ailleurs, car nous n’aurions pas supporté d’attendre trente minutes de plus : vous l’aurez compris, à ce moment précis, nous ne voulions chacun qu’une chose au monde : elle, jouir comme elle n’avait jamais joui, et moi, la pénétrer le plus tôt possible. Par chance, notre rame était vide, un tel événement relevant du miracle lorsque l’on prend autre chose qu’un ter Le Creusot – Limoges. Plus personne pour nous voir, c’était le moment pour laisser libre cours à notre passion. Chose intéressante, je crois qu’à partir de là, nous ne nous sommes plus rien dit, en tout cas plus rien qui ne releva pas du registre de l’ébat sexuel. En l’absence de spectateur, nul ne s’étonnera que le désir soit monté très vite entre nous. Pendant cinq bonnes minutes, nous nous sommes à nouveau embrassés, cette fois beaucoup plus langoureusement. Nous avons ensuite lentement sombré dans l’ivresse de l’amour, et ce fût elle qui ouvrit les hostilités lorsque, assise à côté de moi sur la banquette du train, elle déboutonna ma braguette. Elle prit mon pénis en érection et commença à me branler, poussant des petits gémissement de plaisir alors que je cherchais à passer ma main entre ses fesses. Elle me prit rapidement dans sa bouche, léchant mon gland avec dextérité et, qualité rare chez les femmes d’aujourd’hui, avec une simplicité touchante, qui confine à la plus pure générosité. En guise de contre-don, je lui retroussai sa jupe, de manière à voir ses magnifiques petites fesses, puis commençais à masser son clitoris à travers sa culotte mouillée de cyprine. Je lui mis alors un premier doigt. Elle avait une délicieuse petite chatte humide, glabre, et très serrée. J’appris par la suite qu’elle n’avait été pénétrée que trois fois dans sa vie, son ex-petit ami détestant cet exercice. J’allai de toute façon combler ce manque. Pendant vingt minutes, dans une rame heureusement toujours déserte, elle continua sa fellation, et je continuai à la doigter, ajoutant au gré de ses envies un doigt supplémentaire. Elle tremblait de plaisir, et avait visiblement du mal à continuer de me sucer lentement. Du liquide séminal avait coulé de ses lèvres et s’épandait sur son menton, ses joues, elle en avait jusque sur son nez ; tout cela menaçant de dégouliner sur un bien public (et accessoirement sur le chemisier de la demoiselle), je trouvai la force de lui tendre un mouchoir pour qu’elle se nettoya, puis elle reprit sa fellation. Alors que nous allions arriver en gare de X, je sentis que j’allais éjaculer. Elle avait déjà joui, laissant échapper un petit cri dans le wagon, c’était à mon tour. Brusquement, je la repoussai sur le siège d’en face, lui déboutonnant d’une main le chemisier, continuant de me masturber d’une autre. Au moment où le train marqua l’arrêt, le sperme gicla entre ses seins et sur son visage effarouché. Alors qu’une femme montait dans le train, elle eut tout juste le temps de se rhabiller en vitesse et de lécher la semence qui dégoulinait de sa bouche, et moi de refermer ma braguette sur mon sexe toujours en érection. On sortit en vitesse, sa maison n’était qu’à une centaine de mètres de la gare, j’allais enfin pouvoir venir en elle.

A suivre…

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