J’avais l’impression que tout ce que j’avais construit pendant ces derniers mois s’était évaporé en quelques jours. Mon père revint avec un ami à lui pour continuer de déménager les affaires de ma mère. Je me retrouvais un peu comme un con, à bosser, et à rentrer dans mon appartement un peu vide, et surtout, seul. Mes parents m’avaient proposé à deux reprises de venir manger à la maison un dimanche midi. J’avais refusé à chaque fois. Et je ne sais pas trop ce qui me fit changer d’avis la troisième fois. Sans doute l’ennui. Plus rien ne se passait dans ma vie. J’avais le sentiment d’être dans une impasse.
C’était vraiment compliqué de manger et d’avoir une discussion avec eux. J’étais vraiment très mal à l’aise, d’être à nouveau à la maison, comme 8 mois auparavant, comme si rien ne s’était passé entre temps. Mon père me fit un laius comme quoi il fallait savoir aller de l’avant, pardonner les erreurs, donner une seconde chance aux choses. Ma mère était souriante, visiblement heureuse d’avoir retrouvé son foyer, ses habitudes, et son confort.
Quand mon père me proposa à nouveau de revenir vivre à la maison, elle sortit de son silence et insista :
– Tu as ta chambre ici, tu n’aurais plus besoin de travailler. Papa gagne suffisamment bien sa vie, et nous aurions plus de temps ensemble.
– Je trouve un peu idiot que tu travailles pour payer ton loyer, alors qu’on peut te loger, ajouta mon père.
Je dus prendre le temps de la reflexion. J’appreciais mon indépendance. Je devais peser le pour et le contre. Ce qui m’insupportait le plus, c’est chaque fois que mon père prenait ma mère dans ses bras, ou l’embrassait. Je ne m’imaginais pas voir ça tous les jours.
Pendant que ma mère préparait les cafés, je décidais de monter voir ma chambre à l’étage. Je passais devant la chambre de mes parents, dont la porte était ouverte. Je pus voir rapidement que le dressing de ma mère était bien rempli, et qu’elle avait fait installer une table de maquillage dans un coin de la chambre, où de nombreux produits cosmetiques étaient rangés. En entrant ensuite dans ma chambre, j’en convins que rien n’avait bougé. Toutes mes affaires étaient à leur place. Ca me fit d’ailleurs sourire de revoir ma collection de BD, quelques CD que j’adorais, et divers objets que j’avais un peu oublié.
J’entendis des bruits de pas dans mon dos, et en me retournant, je vis mon père. Il posa sa main sur mon épaule et me dit :
– Tu sais ça ferait vraiment plaisir à ta mère que tu reviennes. A moi aussi bien sur, mais tu manques beaucoup à ta mère.
– Je ne sais pas trop… J’apprécie mon indépendance. (je mentais un peu, mais je préfèrais tenir tête à mon père)
– Reste quelques jours, et tu prendras une décision définitive ensuite.
La proposition était tentante. Après quelques secondes, je hochais la tête. Mon père m’adressa un sourire, et fit demi-tour pour annoncer la nouvelle à ma mère.
Lorsque je redescendis pour prendre le café, ma mère était tout sourire. Elle vint vers moi et m’embrassa sur la joue.
– Ca me fait tellement plaisir. On est à nouveau tous les trois réunis, me dit-elle.
– Rien de définitif maman… Juste un essai… J’hesite un peu…
Elle me tendit mon café, toujours avec un grand sourire. Mon père me donna une petite tape sur l’épaule. Après une courte discussion, je décidais de retourner à l’appartement, chercher quelques affaires de rechange pour quelques jours. L’aller retour me prit environ deux heures, à cause des embouteillages, et puis je pris le temps de bien fermer les volets et couper le gaz à l’appartement.
A mon retour, la table était débarrassée, la cuisine rangée, et mon père regardait la télé dans une demi obscurité dans le salon. Je montais à l’étage, et posait mon sac d’affaires sur mon lit. J’avoue que j’étais content de retrouver ma chambre et mes affaires. On était partis si vite, j’avais presque tout laissé. Je repassais devant la chambre ouverte de mes parents, et je vis que la porte de leur salle de bain était ouverte. Je m’y rendis, et trouva ma mère en train de prendre son bain dans sa baignoire d’angle. Elle se passait de l’eau sur le visage, assise les jambes pliées, un peu penchée en avant. En me voyant, elle m’adressa un beau sourire. L’atmosphère était chaude et ça sentait bon.
– Tu me manque maman, je reviens pour toi…
Ma mère se tourna un peu vers moi.
– Je suis tellement contente que tu sois là. Tu merites ce confort. Ca me faisait mal de te voir travailler autant. C’était compliqué pour moi que tu m’entretiennes.
– C’est quand meme un retour en arrière… Et puis quand je vois tout ce que papa t’offre, je ne me sens pas de taille pour rivaliser. J’ai l’impression qu’il t’a beaucoup gaté depuis ton retour.
S’installant bien face à moi, ma mère écarta les jambes lentement, m’offrant une vue parfaite sur sa chatte, à nouveau un peu poilue et bouclée. Elle posa ses mains sous ses seins, pour les redresser un peu, et me fit :
– Bouge pas s’il te plait.
Elle descendit sa main vers sa chatte, et commença à se carresser doucement le clitoris dans l’eau. Elle me regardait droit dans les yeux. Je sentis ma queue devenir dure instantanément. Elle se masturba un peu plus vite en me voyant sortir ma queue, et me branler en la regardant également.
– Tu mérites ce confort… On le mérite tous les deux… Et j’ai envi que tu me prennes tous les jours… Plusieurs fois… Quand ton père est dans la pièce d’à coté, ou quand je viens te voir seule pour te dire bonne nuit.
– Maman… J’ai quand meme une question… Tu fais souvent l’amour avec papa ?
– Tous les soirs… Parfois à contre coeur, mais je lui dois bien ça… C’est difficile de lui refuser.
– Ca ne me plait pas…
– Je ne peux pas lui refuser… Oh attends, attends….
Les doigts de ma mère s’agitèrent fort contre son clitoris, et elle me mordilla la lèvre inferieure en continuant de me regarder. Comme je voyais qu’elle allait jouir, je me mis à me branler fort également, et à la regarder nue face à moi. Mon sperme gicla dans le bain, tandis que ma mère jouissait face à moi.
On reprit nos esprits doucement, et ma mère murmura :
– Tu devrais descendre voir ton père. Je vous rejoins vite.
– Je me repètes… Mais ça ne me plait pas qu’il te fasse l’amour.
– Tu es jaloux ?
– Il y a de quoi non ?!
– Ne t’inquiete pas… Et fais moi confiance. Donne moi juste du temps. Dans un couple c’est la femme qui a le pouvoir et qui dirige l’homme, avec un vagin et des idées, tu peux faire ce que tu veux. Je n’oublie pas ce que ton père nous a fait. Il va subir les conséquences, mais je vais prendre mon temps pour apprécier ces moments.
Je compris que ma mère n’en dirai guère plus ce soir, et il fallait que je descende.
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