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Businesswoman ou prostituee

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Ce fut mon petit secret. En une fois je me suis vengée et d’un mari et d’un patron. Pour aller vite il s’agissait d’un séjour éclair et professionnel à Munich avec ledit patron. Je dus ce mécompte à une défection impromptue d’une collègue que je détestais particulièrement. Cela devait durer trois jours et être incontinent pénible. Plus jeune j’adorais ce genre de raout. Je savais qu’outre de bosser, on y bouffait, picolait et baisait à tout-va. Le patron m’avait sauté il y a longtemps. J’avais pris quelques ans et cultivait maintenant d’autres amants. J’eus préféré cette fois-là qu’il me dédaignât.

Dans l’avion il avait cru devoir me draguer lourdement. Je lui faisais remarquer que la secrétaire qui nous accompagnait était singulièrement jeune et jolie et lui procurait sûrement les voluptés requises. Il me fit observer qu’il savait les goûts lesbiens de celle-ci et qu’il ne voulait lui infliger ses caresses inappropriées. Ce porc mentait. Je savais ce dont j’eus confirmation par la suite qu’il ne lui imposât pas moins ses vices ce qui ne l’empêchât pas en même temps de vouloir jeter son dévolu sur une autre. Étant vrai que ce genre d’homme et de patron n’aime rien tant que de dominer et d’assujettir.

Nous devions grosso modo att****r quelques contrats pour le proche orient. Nombre de nos concurrents écumaient la même manifestation. Le premier jour marqua notre faiblesse et notre déficit en communication et défaut de séduction. Nous étions immanquablement distancés. Je vis pour une fois mon patron trahir son dépit en mettant ler genou à terre. J’étais assez choquée qu’il acceptât si vite la défaite. Je le lui fis entendre dans la chambre. J’avais cru devoir en effet céder de guerre lasse. Il m’avait sauté, pris en levrette et par le cul. Je dus me prêter à toutes ses vices.

Son truc notamment était qu’on le vit ou surprit en train de besogner une femelle. Pour cela et notamment il baisait ou se faisait sucer selon sur un balcon ou devant une grande baie vitrée afin que d’hypothétiques voyeurs pussent se repaître du spectacle. Ainsi dus-je ce jour-là et avant que l’un l’autre prissent sa douche le sucer longuement. J’étais accroupie devant la belle vitre inondée de soleil. On ne pouvait voir que ma nudité et découvrir ce que je faisais de sexuel à un homme. Je ne suis pas pudique étant même exhibitionniste. Seulement j’étais mécontentée que ce fut avec lui.

Je mis un point d’honneur à le bien sucer et lui vider les couilles. Je sais que je n’y couperais pas et devrait avaler tout son sperme. Le goret en effet jouit dans ma bouche. Il témoignât dans un râle long, sa jouissance. Il m’avait humilié et était content. Un peu furax et après que nous eûmes savouré ensemble un copieux petit déjeuner je lui exprimais mon point de vue et plan. J’avais repéré qu’une grosse huile des émirats arabes était sensible aux charmes de notre secrétaire sybarite. Il y avait là une opportunité. Je me proposais de la creuser. Mon boss peu convaincu haussa des épaules.

J’en fus assez mortifiée. J’essayais fut-ce désespérément de sauver la situation et cet imbécile se contentait de mépriser ma proposition. J’avais envie de le planter là et de lui signifier qu’il n’aurait plus à me toucher. Il n’avait qu’à bénéficier des faveurs des nombreuses cover-girl qui sévissaient çà et là. J’avais mieux à faire à présent. Me reposer, me faire manucurer et faire quelques longueurs dans la piscine de l’hôtel. J’en avais par-dessus la tête. En fait j’avais travesti un peu de la réalité. Ledit arabe s’intéressant davantage à moi qu’à la petite secrétaire. Mon boss n’en sut jamais rien.

Un singulier hasard fit que je croisais dans le hall de l’hôtel l’émir _ appelons le ainsi. Nos regards se croisèrent. J’accélérais mon pas. J’entendis derrière moi le sien précipité. Il me hélait maintenant en son mauvais anglais. Le mien n’était pas plus parfait. Je me retournais. Il était petit et gros. Ridicule avec une petite barbiche. Ses yeux me dévoraient derrière ses lunettes. J’étais curieusement flattée qu’un tel désir pour moi s’exprimât avec autant d’ostentation et de candeur. Balbutiant, il me proposait de boire un verre avant que notre conférence ne commençât dans une heure. J’acceptais.

Peut-être me mis-je dans la tête de démontrer que ma thèse, ma théorie avait raison. Il fallait que mon plan fut réaliste ou fut réalisé. Une chose était acquise, je plaisais à cet homme. Je crus devoir cependant m’en assurer. Je lui jetais d’emblée à la figure que j’étais une femme mariée et fidèle. J’énonçais cela avec un petit sourire qui témoignait sûrement du contraire. Niveau sexe et libertinage je n’avais guère de leçon à recevoir. Peu savaient que j’avais des fois partouzé et je n’avais pas dédaigné par jeu un jour à me prostituer sur Paris avec la complicité d’un vieil amant.

Cependant j’étais une femme libre. Je voulais suivre mon désir et baiser et me donner à celui que j’aurais élu dans l’heure. Mon patron décidément ne comprenait rien à cela. Je n’étais plus la petite stagiaire ou mijaurée qu’il avait les premiers temps éblouit ou soudoyé. Je voulais d’une certaine façon lui en faire la démonstration. Mon émir dévorait mes cuisses qu’une jupe trop courte lui livrait. Je les croisais davantage plus haut afin qu’il savourât que je portas des bas et qu’on put voir un peu de la chair affleurer à la naissance de ceux-ci. J’adorais en cette façon exciter les mâles.

Point n’est besoin de vous dire qu’une heure plus tard dans la belle salle de conférence je poursuivis ma danse des sept voiles. L’émir était vis-à-vis de moi à quelques mètres. Flanquée de mon patron je signifiais à tous et ostensiblement que je boudais celui-ci. Il parut que ce comportement et ce témoignage de disgrâce fit plaisir à mon ami émir. Peut-être pour cela vint-il lors de la pause vers nous. Après m’avoir salué ainsi que la petite secrétaire, il fit des amabilités à mon patron. Il lui laissât entrevoir des perspectives d’affaires. Tout cela nous parut sérieux. Mon patron renaissait.

Cet imbécile eût du s’apercevoir que le cher émir ne lorgnait pas sur la mignonne secrétaire quoique j’en eus dis. Je fis en sorte que mon patron ne perçut rien du jeu entre l’arabe et moi. Au contraire le laissais-je pérorer et se pavaner. Il me dit content : « On dirait que ce con voudrait faire affaire avec moi. C’est inespéré.» J’avais mon plan en attendant. Je savais que le dernier jour il y aurait relâche l’après-midi. Nous ne prendrions l’avion que fort tard le soir. Dans un mail j’expliquais audit émir qu’il devait inviter à déjeuner la jolie secrétaire et s’afficher avec elle. Nous nous verrions peu après.

Mon patron ne put que constater que mon pronostic était vrai. L’émir en pinçait pour notre gouine. Pourvu que cette mijaurée ne gâchât rien et ne le déçut pas. Il crut devoir souffler à celle-ci, une forte consigne : « Ne mécontentez pas ce monsieur. Il vous en coûterait. » Je dus courir au secours du désarroi de la petite. Je l’assurais qu’elle se devrait contenter de déjeuner et pas davantage. Tout se passât bien à cet égard. Elle obtint même de son hôte quelques parfums et bijoux. Ce jour-là- j’observais de loin le théâtre des opérations. Je pus rejoindre rassurée une certaine chambre d’hôtel.

J’adore me grimer, me saper, m’attifer en pute. J’en deviens quasi méconnaissable. Un monstre d’impudicité et de putasserie je deviens. Je voulais épater voire jusqu’à choquer mon petit gros arabe. Cet idiot devait être par trop familier de ces femmes de mauvaise vie même si celles-ci se qualifiaient légitimement de luxe. Je ne prétendais pas à leur beauté ni à leur sophistication. La vraie prostitution requiert d’autres qualités et talents. On appelle cela l’art du lit. A mon avis l’amant ou le client doivent avoir envie d’y revenir. Aussi escomptais-je bien subjuguer mon nouveau venu.

Il fut convenu d’un rendez-vous pour 14H30. Samir _ c’était son prénom _ fut ponctuel. Un bon point pour lui. Il se comportait en parfait gentleman. Il n’avait pas mégoté sur la qualité de la chambre. Une surface remarquable emplie de stuc, de marbres et de miroirs et un lit qu’on eût crut grand comme un terrain de tennis. On avait envie de s’y rouler et d’y passer le restant de ses jours. Nu mon émir était encore plus pitoyable qu’au moral. Il n’avait pas une queue démesurée. J’en aurais presque regretté celle du patron mais une prostituée fait fi de tels détails chez le client ou autre.

Quand il s’introduisit dans la chambre dont il avait une clef j’étais mi-nue allongée sur le lit à lire un magazine. Il ne put réprimer son étonnement. Je devais être fort maquillée car il marqua un temps d’arrêt comme s’il ne fut sure que j’étais la bonne personne. Cela m’arrachât un sourire au prix duquel il dut me reconnaître. D’un pan du mur munie d’une commande électrique il fit émerger un mini-bar. En un éclair j’eus une coupe remplie d’un bon champagne. Nous trinquâmes. Il m’avoua qu’autant que moi il était content de rentrer chez lui dans son foyer et retrouver femme et enfants.

Il se crut autoriser à m’infliger les photos de ses gosses. Maintes fois les clients par trop familiers ont sacrifié à ce genre d’exercice avec moi ce que j’estime très saugrenu. Quelle inspiration perverse les oblige à mêler le plus cher de leurs affectations familiales avec une marchande du cul ? Il faut croire que cela exacerbe leur libido et améliore leur érection. Il est vrai que le cochon peu à peu commença à me caresser et à me lécher le nichon que j’avais à la fois beau et rebondi. Un léger hâle ajoutait à la séduction de ma peau. Je me savais en mes quarante ans encore assez irrésistible.

Sous son petit ventre bientôt je vins à quérir sa petite bite pour la faire enfler dedans ma bouche. Je savais y faire. Depuis le collège j’avais cette réputation énorme de pipeuse. Peu d’hommes ont su y résister. Celui-ci ne dérogea pas à la règle. Je pris mon temps lui épargnant cependant de se répandre prématurément. Il était à point à présent. Je me cambrais écartant les fesses afin qu’il me bourrât la chatte en levrette. Il était aux anges, au septième ciel. Ses jurons en Arabe en témoignaient. Je faisais la pute pour mon patron. Ils m’en seraient redevable. O quelle abnégation.

Il était fou ivre de mon corps. Je m’abandonnais à sa bouche et à sa langue gloutonne et à ses mille caresses. Je n’étais pas peu fière de susciter un tel enthousiasme. Assurément je ferais ce que je voudrais du bonhomme. Je dus lui suggérer cependant de disposer entièrement de moi et notamment de m’enculer ce que je goûtais. Sa petite queue était active furieusement tonique. Ce cochon me suscitât un orgasme. Belle et divine surprise. Je lui en su gré en lui rendant des baisers fougueux sur la bouche. Nous nous remîmes au champagne. Nous étions ivres et plein de rires.

Il ne fut point étonné ni offusqué que je lui parlas affaires. Il avait deviné un peu de ma démarche. Il me dit que de toute façon ce business l’intéressait. Je ne l’avais que conforté en son choix. Bref il adresserait un mail pour rassurer et contenter mon patron. Je triomphais. Il put à nouveau me foutre une heure durant et notamment s’enfoncer autant qu’il put dans mon anus. Nous échangeâmes nos numéros. Il voulait me revoir. Il passait quelque fois en France. Cette partie de sexe m’avait revigoré. Je pris la douche avec le sentiment d’un devoir bien accompli. Mon séjour était été réussi.

Notre amie secrétaire obtint une promotion à titre de récompense. Moi de même car le patron dut convenir que j’avais eu raison depuis le début. Il m’assurât que désormais il s’attacherait davantage à mes conseils et mes intuitions. Je jubilais. Mon amant arabe ne manquait jamais en passant sur Paris de m’honorer. Il m’avouât ce dont je ne pus m’offusquer qu’il trouvait les call-girl ici sans saveur et qu’il me préférait. Je goûtais de bon cœur son compliment. Certains clients me l’avaient de même prodigué après que je me fus prostituée à eux. N’étais-je pas finalement une putain avisée ?

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