Bruno et Tommaso (Chapitre 4)
De retour à son presbytère, Ernst téléphona au Père Philas et lui demanda de venir le rejoindre au presbytère. Le Père Philas accepta et fut sur les lieux 30 minutes plus tard. Il était impuissant, mais tellement poilu qu’il se laissait abuser et demandait ensuite des services en compensations hors normes selon ses visées dans le cadre de l’Église.
-Heureux de vous voir cher Père Philas!
-Heureux aussi, dit le vieux prêtre. Je suis à votre disposition!
-Suivez-moi cher Père, allons dans ma chambre…soeur Hildegarde, suivez-nous.
-Oui je vous suis, dit-elle toute heureuse.
-Bien commençons par vous déshabiller, dit Ernst au Père Philas.
Philas enleva sa soutane et comme il était nu en dessous, ce fut vite fait. Ernst ne pu s’empêcher de lui toucher les aisselles qu’il avait des plus poilues. Ernst se mit lui aussi complètement nu et son pénis devint raide comme un pied de table. Soeur Hildegarde regardait le Père Philas et se caressait le sexe.
Ernst se coucha sur le lit et demanda au Père Philas de le sucer. Philas entoura le pénis d’Ernst déjà en érection et se mit à passer le bout de sa langue sur le bout du pénis pendant que soeur Hildegarde tirait les poils sous les bras de Philas, appuyée sur les fesses du vieux religieux. Ernst râlait comme un torturé d’un plaisir paradisiaque et se retenait pour ne pas éjaculer afin de jouir uniquement du plaisir d’être en érection.
-Vous pouvez cesser maintenant, je ne veux pas décharger maintenant, c’est trop bon.
Le Père Philas se releva la tête et dit à la soeur Hildegarde qu’elle pouvait continuer à lui triturer les poils de ses aisselles. Hildegarde cessa un moment et se déshabilla. Ernst enlaça Hildegarde et la pénétra. Celle-ci gémit et reprit ses caresses sous les bras de Philas en jouissant du va et vient du pénis d’Ernst introduit dans son vagin. Le Père Philas prit les testicule d’Ernst en coupe et les massa doucement. Ernst râla encore une fois de plus jouissant dans le vagin de la soeur.
Pendant 20 minutes, Ernst baisa Hildegarde avec une lenteur d’escargot et il eut une jouissance hors du commun et au fond, il n’avait pas envie d’éjaculer tellement son pénis était dans un état des plus agréables. Philas d’une main caressait les testicules d’Ernst et de l’autre caressait une aisselle d’Hildegarde. Alors que le Père Philas faisait cela, son propre pénis était flasque et pendait sous la forêt de poils qui le couvrait et cela faisait jouir Hildegarde et Ernst tous les deux épris du fétichisme des poils. De temps à autres, Philas s’arrêtait puis se grattait sous les bras à travers ses toisons géantes et reprenait là où il avait laissé. Cela excitait Ernst et Hildegarde de le voir faire.
Ernst finit par éjaculer dans un long râlement ayant les deux aisselles trempées de sueurs. Hildegarde de son côté avait eu une multitudes d’orgasmes. Philas les voyant satisfaits était aussi bien content.
-Mon Père, vous êtes pour nous le plus bel objet de jouissances, je suis gêné de vous le dire car au fond, vous n’êtes pas un objet, mais une personne sur qui on peut tellement avoir un plaisir incomparable, dit Ernst.
-Bien vous savez cher Ernst, je suis content de rendre service aux gens qui savent apprécier mes services et vous êtes de ces gens-là.
Ayant dit cela, il se gratta encore les deux aisselles.
-Permettez-moi ceci, dit Ernst, laissez-vous masturber, peut-être vous banderez et finirez par jouir comme moi…!
-D’accord, dit le Père Philas mon pénis est prêt, j’aimerais tant que ça fonctionne.
Ernst prit le pénis par son extrémité aide son autre main se mit à le frotter doucement.
-Vous pouvez y aller plus fort, dit le Père Philas.
-J’ai peur de vous tirer les poils trop fort, ils sont si abondants et longs, remarqua Ernst.
-Ah, dit le Père Philas, pour jouir, me faire tirer les poils serait une faveur que vous me feriez. Allez-y, ne vous gênez pas.
Après une bonne demie heure de masturbation, le Père Philas avait finalement une érection. Faut dire que soeur Hildegarde toute nue s’exposait au vieux religieux.
-Ah, ah, faisait le Père Philas, par tous les poils que j’ai aux aisselles, la supposée puissance du mâle doit prévaloir sur l’impuissance. Comment poilu comme je suis, je ne pourrais pas éjaculer comme vous cher Ernst.
Puis, le Père Philas éjacula dans un plaisir inimaginable. Son râlement traversa l’air de la chambre comme un bruit de tonnerre et réjouit Ernst et Hildegarde.
-Merci, merci, dit le Père Philas, j’espère qu’on aura une autre séance du même genre. J’aime tellement vous caresser tous les deux, poilus comme vous êtes sous vos bras.
Les trois demeurèrent nus et Hildegarde servit le vin…!
À suivre…
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