très chers lecteurs et lectrices, ceci est mon histoire comment de garçon je me suis transformé en travesti.
Seules les identités ont été changées dans un souci d’anonymat.
Bonne lecture !!!
Tout ’abord il convient de me présenter et de planter le décor. Depuis tout jeune j’ai une attirance particulière pour les attraits féminins et surtout la lingerie. Depuis aussi longtemps que je m’en souvienne j’ai toujours adoré les femmes en collants noirs, jupe, talons.
Ce que je ne m’explique pas c’est mon passage à l’acte.
En effet, mon fétichisme était tellement présent qu’il m’arrivait d’emprunter de la lingerie aux mères et sœurs de mes amis. J’adorais la sensation de me glisser dans la peau de celles-ci. La caresse de la dentelle sur mon corps et la douceur des collants sur mes jambes me faisaient perdre la tête. Mes parents n’étant pas souvent présents je pouvais laisser libre court à mes pulsions et ainsi me changer en ces femmes que j’admirais tant.
Mais une plus particulièrement avait retenu mon attention. Il s’agissait de la mère de mon meilleur ami et c’était aussi ma dentiste. Virginie était une femme mariée, brune aux cheveux courts, de taille moyenne, de longues jambes fuselées toujours en collant noir ou fumés, des petits seins arrogants et pointant sans discontinuité, et elle portait des lunettes.
Je la connaissais assez bien étant donné que j’étais souvent chez mon meilleur ami et qu’elle faisait également partie du cercle d’amis de mes parents.
Je me suis surpris à fantasmer énormément sur elle, les séances (peu nombreuses) chez le dentiste étaient pour moi l’occasion de l’avoir rien que pour moi, pouvoir détailler sa tenue, voir poindre ses tétons sous son chemisier et sa blouse.
J’avais aussi la fâcheuse habitude de rendre visite à sa garde-robe quand j’étais chez elle. Je me mettais à fouiller ses dessous et de temps en temps je mettais une culotte ou un string dans ma poche. Sa lingerie était abondante et très classe, de la lingerie de luxe en pagaille, et elle avait le chic pour la parfumer avec un peu de parfum Chanel. Ces doux effluves me rendaient accro.
Je ne m’étais jamais fait prendre avec sa lingerie jusqu’au jour où elle a découvert le pot aux roses.
Avant cela elle ne se doutait pas que je lui empruntais sa lingerie… Mais ce jour-là, cela a changé ma vie…
Je me suis rendu comme souvent chez mon meilleur ami pour jouer aux jeux vidéo et pour patienter avant que Virginie ne nous emmène au restaurant pour retrouver mes parents et leurs amis. Nous jouions de bon cœur quand tout à coup mon ami s’est souvenu qu’il avait un rendez-vous important chez l’allergologue.
Après une discussion il me demanda si cela ne me gênait pas qu’il y aille et que j’attende ici le retour de sa mère pour qu’elle m’amène au restaurant. En effet, le rendez-vous devait durer longtemps. Je lui répondis que non que j’allais avancer sur notre jeu et que j’attendrais le retour de Virginie.
Son père est donc venu le chercher et je me suis retrouvé seul dans cette grande maison vide. A peine la porte fermée à clé, j’entrepris d’aller fouiller la garde-robe de Virginie. Il était 15h30 et cette dernière ne serait pas de retour avant 19h.
Je poussais donc la porte de la suite parentale, mes pas faisaient grincer le parquet. J’ouvris la commode aux merveilles. Mes yeux se sont repus de tout cet étalage de tissus, de matières. Dans ma tête je me demandais comment une femme comme Virginie, sous ses airs de bourgeoise, pouvait porter de telles parures de femme coquine. Je plongeais mes mains dans l’amas de dentelle, de nylon et de lycra pour en ressortir trois pièces: un string bleu et noir style camouflage de la marque Kenzo, un soutien-gorge assorti et une paire de collants noirs.
Sans plus d’hésitations je me suis mis nu dans cette chambre et j’ai commencé à enfiler délicatement la lingerie. Mon excitation était à son comble lorsque je remontais la ficelle du string dans ma raie. Ma verge était à deux doigts d’exploser sous l’effet de la lingerie. Mais je devais me retenir, ne pas jouir dans ce fabuleux bout de tissu. Je passais ensuite le soutien-gorge, étant menu cela ne posait aucun souci. Puis enfin les collants.
Pour moi ça y était, j’étais devenue Virginie. Une belle poupée en lingerie coquine, un aimant à hommes. Mon sexe était bien moulé dans son string et ne dépassait pas d’un pli malgré mon érection. Mes fesses fendues par la ficelle étaient devenues féminines, et mes jambes interminables grâce à l’effet des collants.
Je m’admirais dans le miroir, j’étais imberbe donc pas de vilains poils à l’horizon. Une vraie femme, mis à part mon visage masculin. Je caressais mon corps à travers les matières et ce qui devait arriver arriva, mon présperme tacha d’une grosse auréole le string de mon égérie. Pas le choix… Je vais devoir le subtiliser…
Bref, après quelques caresses douces et soyeuses, je me rendis dans la salle de bain pour parfaire ma copie de Virginie. Ne sachant pas me maquiller ni me démaquiller j’optais pour un peu de parfum et du rouge à lèvres. Puis en fouillant sous la vasque, j’ai été pris d’une forte décharge électrique en tombant sur les tampons de ma dentiste.
Des tampons avec applicateur, si tu veux devenir Virginie il faut agir comme Virginie me dis-je. Sans hésiter plus longtemps je me saisis d’un tampon et je commence à lire la notice. Cela ne me paraissait pas bien compliqué à mettre en place il suffisait de remplacer le vagin par l’anus et je deviendrais une vraie petite Virginie.
Avant de m’introduire ledit objet, j’empruntais à Virginie une paire de ballerines rouge puis je me suis à nouveau rendu dans la salle de bain. J’ai déballé mon petit tampon, j’ai baissé mes collants, décalé la ficelle du string et j’ai mis l’applicateur à l’orée de ma rondelle en l’enfonçant légèrement afin que le tampon s’insinue en moi.
Ce contact m’électrisa une fois de plus. J’avais l’habitude de me doigter mais jamais encore un tampon n’était venu combler mon trou encore vierge de tout acte sexuel.
En prenant une grande inspiration j’appuyais sur l’applicateur et comme par magie, le tampon me rentra dans le fondement. Une giclée de sperme est venue à nouveau tacher la lingerie. C’était trop bon… La sensation de ce tampon m’humiliant et me souillant… Huuuum quel bonheur d’être dans la peau de Virginie.
J’ai délicatement retiré l’applicateur, j’ai remis mon string dans l’axe de ma raie et j’ai remonté mon collant mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Virginie sur le pas de la porte de la salle de bain…
La découvrant ainsi j’ai cru tomber dans les pommes, pris de vertiges… Mon excitation était devenue du dégout, mes jambes flageolaient…
Virginie me regarda intensément sans expression mais me dit:
– Mais qu’est-ce qui te prend ??
Il était 16h15, Virginie était rentrée plus tôt, Maureen venait de naitre…
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