Aujourd’hui c’est dimanche et nous décidons d’aller nous balader en bord de mer. Avant de partir faire notre petite rando, je vais faire un tour sous la douche. Alors que je commence à m’épiler les jambes, les aisselles et le pubis, Alain entre dans la salle de bain pour prendre sa douche.
Il me dit :
« Et moi, je peux te raser ? »
Je le regarde étonnée et lui répons malicieuse :
« Pourquoi pas ? Oui, rase-moi la minette complètement. »
Mon homme trouve l’idée amusante et je m’installe sur le bord de la baignoire en écartant largement les cuisses. Il m’enduit le mont venus de mousse à raser. Très ému, je le vois attaquer le rasage délicatement. Il fait très attention de ne pas me blesser. J’aime cette sensation et ma respiration s’accélère. Je commence à mouiller et mon homme se met à bander. L’impression de me dénuder encore davantage et dévoiler encore plus mon intimité secrète l’excite beaucoup. Lorsque il a terminé de me raser le pubis, il se recul pour admirer le résultat.
Pour agacer un peu plus mon mec, je commence à me masturber en lui souriant. Il s’approche et remplace mes doigts par son gland qu’il fait glisser dans ma fente. Je prends sa queue et n’y tenant plus, je lui demande de me prendre là sur le rebord de la baignoire. Nous ne mettons pas cinq minutes pour jouir ensemble.
Quelques instants plus tard nous sommes en voiture, direction la mer. En montant vers le site de départ de notre rando, il y a quelques auto-stoppeurs. Je regarde Alain avec un sourire malicieux. Il me dit :
« T’as vraiment le feu au cul ! Je vois où tu veux en venir ! »
Sans un mot, il s’arrête à hauteur de deux mecs et leur demande :
« Vous allez où les gars ? »
« On voudrait aller à Landemer pour faire une rando ! »
Je leur réponds :
« Ca tombe bien, nous y allons aussi ! »
Les deux gars montent derrière et nous redémarrons. Arrivés sur les lieux, Alain s’engage sur un chemin de terre et arrive sur le parking de départ de la rando. Le parking est désert. Tout le monde descend et Alain me glisse à l’oreille :
« T’as pas envie de te les taper ? »
Je souléve les épaules et lui dit :
« Idiot ! Pas ici ! »
Il affiche un rictus vicieux et me lance :
« Si bien sûr ! Il n’y a que nous ? Mets-toi à poil on va rigoler ! »
Rougissante, je me déshabille devant les yeux incrédules des deux auto stoppeurs.
Une fois complètement nue, je dit à Alain :
« Prends-moi sur le capot de la voiture ! »
Je m’allonge sur le capot encore chaud les cuisses bien écartées, exhibant fièrement ma minette rasée, à mon mari et les deux auto stoppeurs, en attendant qu’il me prenne. Alain prend son temps et laisse aux deux mecs le loisir de découvrir mon intimité fraîchement rasée. Puis, il se place et enfonce enfin son dard dans ma chatte brûlante.
« Oh ! mon amour … j’aime ta queue ! »
Les deux auto stoppeur se sont rapprochés et nous regardent baiser incrédules.Je pousse de petits cris au rythme des voluptueuse pénétrations d’Alain. Il me baise langoureusement un moment. Les deux randonneurs, voyant que nous ne sommes pas farouches, se déshabillent. Alain fait signe à l’un d’eux d’approcher. Mon mari sort de mon conduit vaginal dans un bruit de succion mouette. J’ouvre bien mes cuisses et le jeune gars ne se fait pas prier pour lettre au chaud son dard dans mon con. Il s commence aussitôt à me baiser en respirant fort. Je n’arrête pas de gémir. Son copain nous regarde en se branlant. Mais, rapidement, son copain l’écarte pour prendre sa place. Son pote me retourne et me prend en levrette.
J’ai les fesses bien offerte dans cette position et les trois hommes me prennent à tour de rôle. J’anone des :
« Oh ! Oui … Ooooh ! Haaaa !!! C’est boooon … c’est bon … Ouiiii !!!! Faites-moi jouir !!! »
Tous ce petit monde s’active sur moi. C’est si bon que j’en ai les larmes aux yeux. Mes joues sont en feux autant que ma chatte gluante de cyprine dont les pénétrations successive émettent un clapotis délicat. Pendant que je me fait sauter, Alain me prend la bouche. Un des randonneur ne veut être laissé pour compte et comme son pote me bourre le vagin, mon œillet palpitant l’attire comme une aimant. Il crache sur mon anus et présente son gland à l’entrée. Alors le mec pousse fort. Il me perfore l’anus et je sens sa bite contre l’autre dans mes entrailles. Avec la douleur de cette double pénétration, j’ai failli mordre la queue d’Alain que j’ai dans la bouche.
Mon homme en me fourrant la bouche me dit comme une incantation :
« Je t’aime ma salope ! Oui c’est boooooon oui te voir embrochée comme ça ! Bouge bien ton cul putain ! T’aimes ça salope ? »
La bouche prise par sa queue je marmonne :
« Oh ! Oui, c’est bon ! Toi, t’aimes me voir baisée par d’autres mecs ? »
« J’adore, petite pute vicieuse ! »
Je n’en peux plus, ces bites qui violent mes entrailles, me rendent folle. Mes trois homme sont prêt à jouir et moi je m’envole dans des vocalises à vriller les tympans quand mon orgasme explose.
« Mais qu’est-ce qui se passe ici ? »
On sursaute et en se retournant, on voit s’approcher deux paysans. Le plus jeune des deux analyse rapidement la situation et dit à l’autre :
« Regarde-moi ça ! Cette salope est entrain de s’faire mettre par trois mecs ! »
Mes trois lascars s’écartent me laissant offerte aux deux nouveaux arrivant. Je regarde paniquée Alain qui semble plus curieux de voir la suite des événement que de venir à mon secours.
Ils m’empoignent fermement, me mettent à quatre pattes et le plus jeune plonge son pieux dans ma chatte ouverte et gluante de cyprine. Je pousse un cri de surprise plus que de douleur.
Pendant que le jeune pécore me laboure la chatte, le vieux semble avoir une idée lumineuse. Il sort de sa poche une clef à molette et m’enfonce le manche dans le cul. Cette insertion infamante et le contacte froid du métal dans mon cul surchauffé me font hurler. Le jeune me donne de grands coups de reins et le vieux tourne la clé dans mon cul. Désespérée, je regarde mes trois acolytes qui se masturbe devant ce spectacle sans me venir en aide. Ca dure pendant d’interminables minutes. Les deux hommes se retirent et me prenant par les cheveux éjaculent sur mon visage.
Du coup, les trois autres se mettent autour de moi et se branlent sur moi. Se sont les deux randonneurs qui giclent en premier. Ils arrosent mes seins de jets puissants. Alain, lui, essaye de viser mon visage et m’arrose la figure de longs jets crémeux.
Je suis pleine de foutre et j’adore ça, surtout devant mon mari qui semble être très fière de moi. Après une telle prestation, je suis épuisée et il n’est plus question d’aller randonner. Je n’ai plus de jambes. Alain remercie les mecs d’avoir participé à cette orgie et nous repartons chez nous. Le soir dans notre lit, Alain me prend dans ses bras et je m’embrasse tendrement. Je lui chuchote au creux de l’oreille :
« J’ai adoré notre expérience de cette après midi. Mais là, j’ai encore mal au cul. »
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