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Une curieuse baise nocturne

Une curieuse baise nocturne



Il était 3 heures 12 du matin. Je m’en souviens, car c’est la première chose que j’ai vue en ouvrant les yeux. Dans mon dos, Maria gémissait. C’est ce qui m’avait réveillé. Elle gémissait de plaisir et elle remuait tout en prononçant des paroles indistinctes. Elle rêvait. Je me suis tourné et j’ai constaté qu’elle était en train de se masturber dans son sommeil.
J’ai secoué son épaule.
« Marie. »
Elle n’a pas réagi. Ses cuisses étaient écartées et sa main droite s’agitait sous le drap. Je me suis mis à bander légèrement.
« Marie, réveille-toi. »
« Quoi ? dit-elle en sursautant. Qu’est-ce qu’y a ? »
« Tu étais en train de rêver. »
« Oh,. Pardon… »
« Ce n’est pas grave, dis-je en faisant glisser un doigt sur sa cuisse. C’est même plutôt agréable. De quoi tu rêvais ? »
« Je… fit-elle en éloignant sa main de son entrecuisse. C’était… Je suis vraiment désolée de t’avoir réveillé. »
« Raconte-moi, qu’est-ce qui se passait ? »
Elle soupira dans l’ombre, puis referma un peu ses cuisses. Je n’ai rien ajouté, je l’ai laissée reprendre ses esprits. Je bandais toujours et mon doigt filait doucement sur sa peau, au niveau de l’aine.
« C’était bizarre, dit-elle. J’étais dans un chemin… avec un homme. »
« C’était qui ? »
« Je ne sais pas exactement. Je ne sais plus… »
« Qu’est-ce que vous faisiez ? Qu’est-ce qu’il y avait de suffisamment excitant pour que tu te masturbes ? »
« Eh bien, j’étais toute nue, appuyée contre une voiture blanche. »
Mon doigt s’achemina sur son mont de Vénus qui était lisse. Je sentis le corps de Marie frémir, puis elle continua :
« L’homme était habillé et… il me caressait pendant que nous parlions. C’est à cause de cette vidéo, tu sais… »
« Quelle vidéo ? »
« Celle où il y avait un couple dans une voiture, garée dans un chemin forestier, et des hommes qui se masturbaient en observant la femme qui se caressait côté passager. »
« Oui, je m’en souviens très bien, on est tombé dessus par hasard. Tu penses que c’est cette vidéo qui t’a inspiré ce rêve ? »
« Oui, je crois. Sauf que là j’étais seule et en dehors de la voiture. Tu n’étais pas là et j’étais nue, et le mec me masturbait en me disant que son copain n’allait pas tarder à arriver. »
« Et ça t’excitait… »
« Oui. »
« Qu’est-ce qui t’excitait au juste ? »
« Oh oui, touche-moi, vas-y… »
Mon doigt venait d’atteindre son clitoris et je me suis mis à jouer avec, doucement. Marie venait de rouvrir ses cuisses et ma bite commençait à être sérieusement raide.
« L’homme était assez âgé, dit Marie. Comme dans la vidéo. Et j’y ai repensé dans la semaine. »
« Tu t’es dit quoi ? »
Je sentis qu’elle tournait la tête vers moi dans l’ombre.
« Je ne sais plus quel matin de la semaine c’était, après que tu sois parti au boulot, avant de me lever, je me suis masturbée en y repensant. »
« Qu’est-ce qui t’a plu dans cette vidéo ? »
Elle se remettait à jeter des petits soupirs sous les mouvements de mon doigt. J’ai senti la main de Marie s’approcher sous le drap, jusqu’à ce qu’elle trouve ma queue. Elle s’est mise à la branler délicatement.
« Ce qui m’a plu, dit-elle, c’est que cette femme s’était mise à poil devant des inconnus, alors que son mec était à côté d’elle. Ce qui m’a plu, c’est qu’elle se branle en les regardant. Et puis qu’elle finisse par sucer une queue, puis deux, la salope… J’ai envie que tu me baise… »
Je ne me suis pas fait prier. J’ai fait passer mon corps par-dessus sa cuisse, puis elle a guidé mon gland vers l’entrée de sa chatte. Elle était trempée et elle s’est mise à gémir de nouveau, comme dans son rêve.
« Oh oui… viens… viens… »
Je l’ai enfoncée jusqu’au fond, puis je l’ai ramenée juste au bord. Je l’ai enfoncée de nouveau et Marie s’est mise à se masturber le clitoris.
« Et dans ton rêve, c’était toi qui le faisais, dis-je. Sauf que je n’étais pas là. Et ça semblait te procurer beaucoup de plaisir. »
« Oui, dit-elle. »
« J’étais à poil devant ce mec que je ne connaissais pas et… Oui, en effet tu n’étais pas. »
« C’est ça qui t’excitait ? »
« Non, c’était le fait d’être à poil devant un inconnu. »
J’accélérais mes va-t-et-vient.
« Tu aurais envie de le faire en vrai ? dis-je. »
Elle n’a pas répondu tout de suite. Elle aussi avait accéléré le mouvement de son doigt. Je devinais vaguement son visage dans la pénombre, et elle avait les yeux fermés.
« Peut-être, dit-elle. »
« Ne dit pas peut-être. Réponds-moi oui ou non. Est-ce que tu aurais envie de le faire en vrai ? Est-ce que c’est ce que tu as imaginé quand tu t’es branlée l’autre matin ? »
« Oui. »
« On le faisait en vrai ? »
« Oui. »
Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps, alors je me suis retiré et j’ai laissé reposer ma bite sur son pubis.
« Ça me plait d’imaginer qu’on le fait, dis-je. Ça me plait d’imaginer que ma nana se met à poil devant des mecs qui sont venus pour se branler. Ça me plait qu’ils voient la chatte de ma nana, putain… »
J’ai de nouveau enfoncé ma queue et j’ai continué :
« Ça me plait d’imaginer que tu finis par sucer une bite inconnue et que tu te fais tripoter les nichons devant moi. »
Marie poussait des petits « oui » à la fin de chacune de mes phrases, pour confirmer que ça lui plaisait aussi, alors j’ai ajouté :
« Quand tu t’es branlée en y repensant l’autre matin, qu’est-ce que tu faisais d’autre ? »
Elle soupirait, mais elle venait d’abandonner son clito. Elle se suçait les doigts et elle avait rouvert les yeux. Elle me regardait dans le noir.
« Je faisais comme dans mon rêve, dit-elle. Je sortais de la voiture. »
« Et puis ? »
« Si tu ne m’avais pas réveillée, je suppose que je l’aurais fait. »
« Qu’est-ce que tu aurais fait ? »
Elle respirait vite, presque au rythme de ma bite qui allait et venait dans sa chatte. Un bâton dans un pot de miel.
« Ils m’auraient pénétrée. »
« Tu aurais été jusque-là ? »
« Oui. C’est pour ça que j’étais dehors avec l’homme. Il attendait juste que son copain arrive pour qu’il en profite aussi. »
« Et quand tu t’es masturbée l’autre matin, tu allais jusque-là ? »
« Oui. »
« Salope. »
« Oui. »
« Dis-le-moi. »
« Je suis une salope. »
« Encore. »
« Je suis une salope. »
« Pourquoi dis-tu que tu es une salope ? »
« Parce que je me fais pénétrer par des inconnus, et toi tu es dans la voiture, tu regardes. Il y a plusieurs mecs, un peu âgés. Ils me prennent tous, chacun leur tour. Et… je suce des bites en me faisant baiser. »
« Ils n’ont pas le temps de mettre de capotes… dis-je. »
« Non, ils n’en mettent pas. Ils me pénètrent tous sans capote. Il y en a même qui m’embrassent sur la bouche avec leur langue. »
« Salope. »
« Oui, je suis une salope. »
« Je vais éjaculer sur ta chatte de salope. »
« Oui, vas-y… »
« Et dès demain, je vais chercher des endroits près de chez nous, où tu pourras enlever ton soutien-gorge et baisser ta culotte devant des inconnus qui se branleront pendant ce temps. »
« Oui, fais-le. »
« Je suis sérieux, je vais le faire, Marie. »
« Fais-le, je suis d’accord. »
« Tu es bien sûre de toi ? »
« Oui, et si tu ne le fais pas, c’est moi qui chercherai un endroit où le faire. J’irai tester en ton absence et je te dirai si ça vaut le coup d’y revenir ensemble ou pas. »
« Salope, dis-je en me retirant. »
J’ai déchargé et j’ai senti ses mains qui étalaient tour à tour les giclées et les gouttes que je semais sur son ventre et sa chatte.
J’étais étourdi et mon corps vibrait.
Soudain, une main me cogna l’épaule et j’entendis la voix de Marie :
« Chéri ! »
« Quoi ? répondis-je ? Qu’est-ce qu’y a ? »
« Tu étais en train de rêver, dit-elle. »
« Oh, pardon… »
« Ce n’est pas grave, dit Marie en approchant un doigt de ma queue qui dégoulinait de sperme. »

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