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Mûres14/pour la fête des mères,je t’encule

Mûres14/pour la fête des mères,je t’encule



Le jour de la fête des mères, Marlène, ma fine rousse mûre était venue se faire téter ses petits seins tout sensibles, se faire lécher sa fente de petit lutin vicieux, fente rose et rasée. J’aurais pu profiter de me faire longuement et savamment sucer dans sa bouche de velours, mais cette fois, je voulais directement la fourrer.
Une fois la queue bien engagée dans son vagin, je lui maintient les jambes serrées avec les miennes de chaque côté, la rendant encore plus passive, comme une poupée qui se fait piner. J’aimais bien enfiler Brigitte de la même façon.
C’était comme si j’étais couché sur une jolie vieille poupée, avec des traits fins, une vieille princesse aux longs cheveux blonds, la vieille reine pinée par son jeune page.
-vous aimez, ma reine, la manière dont votre serviteur vous enfile? dis-je à Marlène
ma belle rousse plutôt soumise, heureuse de se sentir pute, de m’offrir sa langue et ses trous roses selon mes voeux pour que je lui fasse offrande de mon foutre, se prend au jeu.
– C’est bien mon fils. Baise-moi bien.
Elle reprend le délire de Solange, qui m’appelait « mon fils » quand je la fourrait en lui tétant ses gros seins.
-Est-ce que ma grosse queue vous convient, ma reine?
-oui, mais elle est à moi, cette queue. Elle doit venir me piner lorsque je le désire. j’ai la priorité. Et surtout pas cette vieille salope de Brigitte. J’exige de connaître tous les détails, tout ce qu’elle t’a fait, où et quand tu l’as enculée. Tu dois tout me raconter!
-Elle est bien punie de sa jalousie. Tout ce que j’ai pu connaître comme jouissance avec elle vous revient, ma reine. Chaque coup de langue, chaque giclée partie dans son cul, revient à ma mémoire. Cela fait vibrer ma queue, et je vous présente ces jouissances comme une offrande, qui vient en écho vous donner du plaisir. La langue de Brigitte a fait frémir ma queue, et cette queue ne frémit à ce souvenir que pour faire plaisir au vagin de ma maîtresse.
Le vagin de la petite dame rousse aux cheveux bouclés reçoit de profonds et lents coups de bite.
-Vous êtes toujours satisfaite de la façon dont je vous baise?
Marlène se libère de sa position étriquée, et se tourne en levrette.
-Baise-moi fort, maintenant. Vite et fort.
Elle a la tête tournée sur l’oreiller, tandis que je m’active. Elle devient rouge.
-Oui, comme ça, vas-y. Fort. Arrête maintenant.
Elle se retourne.
-Raconte-moi encore..
-quoi donc, ma reine?
-Brigitte. Comme vous baisiez…
-Parfois, elle voulait me grimper dessus. Je n’aimais pas trop cette position, son vagin me serrait moins…mais cela lui permettait de jouir à sa guise. Elle cherchait des angles précis pour s’empaler sur ma queue. La vieille dame échevelée, perdant toute retenue, le chignon à moitié défait, les yeux fermés, la bouche entr’ouverte, se poinçonnait la chatte sur ma bite, parfois de face, juste sur moi, parfois déviée, presque de côté, si bien que ma queue risquait à tout moment de s’échapper de son vagin.
Marlène a écarté les cuisses. elle m’attire en elle, et guide mes mouvements en agrippant mes fesses.
La maîtresse se branle avec un jouet vivant. Elle se gode avec moi. J’obéis strictement à ses impulsions. J’adore servir ainsi son plaisir.
Je dois m’enfoncer d’un coup, très fort, puis ressortir lentement. Le gland au bord de la vulve…et soudain, une nouvelle impulsion de ses mains sur mes fesses…mon coup de rein obéissant propulse ma bite au fond du vagin, arrachant un soupir à ses belle bouche entr’ouverte.
-continue…avec Brigitte.
-oui maîtresse. Je risquais de débander au bout d’un moment, lorsque Brigitte, les yeux fermés, jouait toute seule à califourchon sur ma queue. Même si c’est toujours exquis de voir une jolie grand-mère se faire jouir. Dans son propre intérêt, elle avait trouvé comment ranimer mon érection.
Je continue de prêter ma bite qui sert de gode à Marlène, et de rendre mon corps docile à ses mouvements.
-La salope se penchait vers moi, et dans une pluie de cheveux blonds, les traits déformés parce qu’elle se penchait beaucoup, toute essoufflée, elle tendait vers ma bouche une longue langue obscène. Je sortais la mienne pour lécher la vieille dame qui travaillait dur à se donner un orgasme. Nos langues sorties se caressaient comme deux serpents. Le jeune homme et la vieille dame se donnaient un mal fou pour jouir. Le jeu de ma langue me procurait des élancements électriques de jouissance, ce qui faisait se redresser ma queue. Ses cheveux qui m’entouraient me donnaient l’impression de faire un rêve érotique sous un saule pleureur. Mais c’était son vagin qui pleurait, et coulait jusque sur mes couilles.
-Comme ceci?
Marlène me tire la langue, une langue bien détendue comme une actrice porno qui va recevoir la giclée.
-Oui, comme cela, dis-je en léchant la langue offerte.
-qu’est-ce que tu voudrais maintenant?
Le côté soumis de Marlène reprend ses droits.
-T’enculer. Mais lèche-moi d’abord un peu les couilles.
Elle s’exécute.
-Je fais bien? tu penses à Brigitte?
-oui, c’est bon.
-Tu voudrais qu’on te lèche toutes les deux?
-Ce serait le rêve.
La jouissance est toute proche. Je vais gicler dans le cul de Marlène en quelques va-et-vient.
Marlène se graisse l’anus, se tourne sur le côté comme d’habitude, et je sodomise ma belle amie.
-J’aimerais obliger Brigitte à me bouffer les couilles pendant que je t’encule.
L’idée m’enchante. Le sperme ne demande qu’à fuser dans le canal serré de ma jolie rousse. La giclée pourtant puissante est retardée par les étranglements saccadés de l’anus de Marlène. Je lui tapisse le cul avec mon sperme, que je lui envoie en plusieurs giclées saccadées.
elle est satisfaite, comme nourrie par le foutre. Une bonne sodo pour la fête des mères.

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