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Tic ! Tic ! – 7

Tic !  Tic !  – 7



La grande finale

Tic-Tic

Tic-Tic courait en criant, apeurer, terrifier :

— Tic-Tic veut pas mourir !!! Tic-Tic veut pas mourir !!! Tic-Tic gentil !!!

Il voulait sortir du musé a tout prit, car le mari idiot voulait lui fracasser le crâne. Mais Tic-Tic était perdu, dans son affolement il avait dû rater l’escalier. Il traversa une salle en faisant tomber des tas d’objets et, une fois sorti, il heurta soudainement une rambarde avec son ventre, perdit l’équilibre, bascula par en avant et tomba dans le vide en criant à plein poumon tout en culbutant plusieurs fois.

Cartier St-Henry

Dans le loft de l’obsédé, les deux policiers rester sur place, plus des techniciens et des inspecteurs regardait la poursuite sur les écrans d’ordinateur, comme on regarde une bonne série télé en riant en se tapant sur les genoux.

— Tic-Tic veut pas mourir — Tic-Tic veut pas mourir — Tic-Tic gentil – se moqua l’un des inspecteurs, mort de rire. Seigneur et on a envoyé le SWATT ici pour un idiot pareil.
— Hum ! fit son collègue. Apparemment, c’est là-bas qu’on aurait dû les envoyer à voir le fou qui lui coure après flambant nu et armé.

Tout le monde rit de plus belle jusqu’à ce qu’il heurte la rambarde et bascule par-dessus. Il tomba dans une immense pièce sombre, un étage plus bas, sur quelque chose d’énorme avec des défenses 4 fois plus longues que celle d’un éléphant d’Afrique et entourer de vague silhouette vraiment effrayante. L’image de la Go pro disparut un instant, clignota et revint.

— Mais c’est quoi ce musé, un musé des horreurs. Dis un des policiers. En tout cas y c’est pas tué, y repart a courir. Seigneur c’est quoi ça, un Bigfoot ?
— On dirait, fit l’un des techniciens en plissant les yeux. Pas croyable !
— Y as rien de mieux que la télé-réalité les gars, assura l’un policier. Pensez vous qu’on va voir la belle Marie Lemieux en déshabillé, ça se serait cool. Tantôt j’ai cru voir des filles qui couraient derrière eux dans un couloir sur un autre écran. Elle a de sacrées belles jambes cette femme-là.
— Ohhhh, firent-ils tous soudainement en étirant le cou et se rapprochant des écrans. C’est là qu’ils virent quelque chose de stupéfiant.

Paul

Je ne sait pas qui c’est ce malade de voyeur avec une caméra coller dans le front et habiller en sado-maso, mais si je l’att****, je lui fends le crâne. Sans doute un autre admirateur débile de Marie. Pourtant le musée est équipé de tout un système de sécurité à la fine pointe de la technologie. En tout cas j’ai trouver la source de se maudit bruit, ce Tic-Tic fatiguant, ça venait de lui, de son collier de chien avec des médailles. Et je l’avais entendu dans notre chambre en plus. Calver ! Popa pompait !

Je commençais à être essoufflé quand je le suivis dans une salle, j’en sortis juste à temps pour le voir basculer par dessus la rambarde surplombant la grande salle d’exposition du musée. « Pauvre lui quand même, » me dis-je pas vraiment malheureux en l’entendant hurler. Je me pencher pour regarder et le vit atterrir sur un mammouth grandeur nature, coucher sur le flanc, en train d’être dépecé par un groupe d’homme du Neandertal en cire. L’épaisse fourrure de l’a****l avait dû amortir sa chute, car il se releva et repartit de plus belle vers la porte d’entrée, mais en boitant. J’allais repartir vers l’escalier bien décider à le ratt****r quand j’entendis comme un troupeau qui s’approchait derrière moi en galopant. Je me retourner, intriguer, arme lever, en me demandant s’il n’était pas tout un groupe de voyeur finalement, juste a temps pour voir Marie surgir a son tour de la pièce en courant suivit par d’autres filles. Comme au ralenti, je vis ma femme qui courait sans slip ( allez donc savoir pourquoi ) un sein sortit de sa camisole, m’apercevoir et grimacer de peur en comprenant qu’elle ne pourrait jamais s’arrêter a temps. Son amie suivait, sans slip elle aussi et deux autres femmes, la prof et l’écrivaine, que je trouvai très sexy une fraction de seconde seulement, car tout ce beau monde me rentra dedans. Horrifier, je me sentis basculer à mon tour dans le vide avec Marie dans mes bras qui hurlaient à mort comme les autres filles qui suivait. Petit Jésus !!!

Tic-Tic

— Tic-Tic mal, dit-il en boitant jusqu’à la porte d’entré transit de peur en entendant derrière lui des hurlements effrayants. Il jeta un coup d’œil pour voir tout le groupe de femmes basculer dans le vide tout comme lui une minute plutôt et l’idiot de mari. Là, Tic-Tic avait vraiment peur en disparaissant dans l’entrée du musée.

Sur le mammouth

— Outch, fit Marie affaler sur Paul, tu ma cogner la tête. Pis lâche mes fesses.
— C’est toi qui m’as cogné la tête pis c’est pas moué qui te pogne les fesses.
— Ouuuu, fit la prof, en se retournant sur le dos, j’ai les boules a l’air et mes seins me font mal, chut tomber dret dessus. Outch ! Quelqu’un veut mes les masser ?
— Je suis vivante, fit l’écrivaine, la tête entre les cuisses de Marie, les mains sur ses fesses. Moi aussi mes seins on amortit la chute et la fourrure du mammouth.. On aurait dû se casser le cou.
— Moi je me suis foulé un poignet, je pense, fit Marie-France en s’assoyant, maudit Paul a Marde, c’est toujours comme ça avec toué.
— Moi ! J’ai rien fait, c’est vous autres qui m’êtes rentrés dedans, fit Paul encore sonner par la chute. Tasse touée Marie, dit-il en la repoussant sur la prof, le malade va se sauver. Y as un fou de voyeur habiller en sado-maso qui se promène avec une caméra les filles et vous courez dans le musé a moitié nue. J’ai manqué quelque chose ?
— Hein ! Quelle malade Paul ? Fit Marie en se relevant péniblement, ça va pas ben dans ta tête. Tu courais après le chat, pis té tout nu. Lâchent mes seins Sylvie tabarouette, ça chatouille.
— Un chat habiller en sado-maso avec une caméra taper au front ? Ben oui. Drôle de chat Marie. Et oui, je suis tout nu et, à ce que je vois, les filles, vous portez pas grand-chose non plus et le gars vous a sans doute filmé. C’était un voyeur Marie, je te jure. Il va sûrement mettre ça sur internet si on l’att**** pas. Et eh, ta camisole est déchirée Marie.

Marie se regarda pour découvrir qu’elle avait un sein à l’air, une de ses bretelles avait lâché, plus moyen de le cacher. Bof, au point où elle en était… « Internet, Paul as dit internet ! Merde ! »

— Té sérieux Paul ?
— À ton avis, qu’est ce que je faisais à courir avec un casse-tête iroquois la bombe sans slip ?
— Je sais pas, fit Dorine une fois debout, mais c’est beau à voir. Pas de prépuce Paul, tien dont.
— Ehhh…
— Il est ou le malade ? demanda Marie en scrutant les environs. Je vois rien, faut allumer les lumières et appeler la police, mais après c’être rhabillé, hein ! Y peut pas sortir de toute façon, l’alarme se déclencherait.
— Il a bien réussi à rentrer Marie, déclara Paul en faisant les yeux doux à Dorine qu’il trouvait trop mignonne, tout comme Sylvie, la prof qui se relevait, les seins a l’air. Wow !

C’est à ce moment qu’ils sursautèrent tous en entendant une alarme assourdissante et des lampes puissantes s’allumèrent tout partout dans le musée.

Tic-Tic

Tremblant de peur Tic-Tic réussit de peine et de misère à débarrer les nombreuses serrures et ouvrit la porte d’entrée en déclenchant une alarme si puissante qu’il faillit faire dans ses slips de femmes. Il se recula un peut et regarda a nouveau derrière lui et soulager, il vit, sous les lumières qui s’allumait le groupe se relever lentement sur la chose sur laquelle il venait de tomber et sans le poursuive. Tout sourire, certain d’avoir le temps de fuir, il sortit sur le porche pour tomber face à face avec deux policiers tremper par la pluie, dont une jolie petite Noire avec de gros seins qui soulevait sa veste, qu’il fixa. L’autre policier le braquait avec son arme en hurlant pour qu’il se couche à plat ventre. Mais Tic-Tic était fasciné, par les seins tout en se demandant quelle couleur de petite culotte elle devait porter. La jolie policière lui sourit en plus, avant de lui planter un taser gun sur un mamelon.

— Tic-Tic, aime ça, dit-il étourdit et tout tremblant en tombant à genoux les yeux révulser. Le coup de teaser l’avait fait bander à nouveau, comme d’habitude. Son sexe, toujours sortit s’éleva rapidement.

Corinne, étonner que le malade ne se lamente pas de douleur, le menotta dans le dos, dégoûter que le gars ait le sexe a l’air et en érection en plus et avec un gland percer. Seigneur ! Elle le força a ce relever vraiment surprise qu’il ne soit pas plus sonné que ça.

Tic-Tic, en voyant que le grand gars avec elle parlait a sa radio en regardant 4 autres policiers arriver, donna un violent coup d’épaule a la policière qui en tomba sur le cul, il fit demie tour rapidement et rentra dans le musé, toujours en claudiquant et en se plaignant comme un petit chien quand il entendit un coup de feu qu’il sentit lui effleurer la tête. Tic-Tic se dit – dans la tête de malade — qu’il n’avait qu’à s’excuser à Marie Lemieux et retourna vers la grosse bête.

St-Henry

— Wooow ! firent les gars les yeux river aux écrans. Il retourne en dedans et bander devant la belle Corinne… Wow, Bob a tenté d’abattre le fou.
— Moi, dit un policier après un coup de taser, j’aurais pas pu me relever.
— Moi non plus dit un autre et…. C’est pas vrai, je rêve, regarder moi ça sur l’autre écran, Marie Lemieux une boule a l’air et l’autre, comment elle s’appelle déjà ?
— C’est Marie-France Corbeil, sans slip, j’y crois pas les gars, fit un technicien. Wow !
— Ouuuuu… Firent-ils tous en cœur.

Encore sur le Mammouth

— Justement, c’est de lui dont tu parles Paul ? Cria Marie-France à cause de l’alarme stridente en se levant tant bien que mal en tenant son bas gauche contre son ventre. Vas s’y Paul, attaque, hurla-t-elle en riant mord le, bon chien.

Elles rirent en apercevant le gars qui venait de sortir de l’entrée, vraiment ridicule en sado-maso avec ça caméra au front, les mains dans le dos et bite a l’air. Il claudiquait vers eux, en marmonnant quelque chose. Mais tout à coup un coup de feu claqua. Tout le monde se figea.

Le gars couru pour s’agenouiller juste devant Marie entre deux guerriers de la préhistoire en disant très fort :

— Désolé, Tic-Tic est désolé, Madame Lemieux. Tic-Tic, plus recommencer. Tic-Tic, vous redonner vos petites culottes, toute la collection, mais y peut tu en garder juste une ?

Marie avait du mal à comprendre ce qui se passait. Pourquoi il lui parlait de ses slips ?

Tout le monde le regardait méduser tellement il était étrange et soudain juste derrière lui apparurent 6 policiers qui courait, arme au poing et qui les éclairait en plus avec leur puissante lampe de poche. Marie, complètement décourager, soupira longuement avant de réaliser qu’elle n’était pas vraiment présentable. Seigneur ! Elle se cacha derrière Paul qui lui cachait son sexe en disant :

— Paul !
— Oui mon amour.
— T’es mort.

St-Henry

— Woooohhhh !!! firent encore les gars tous en même temps.
— WAIS ! Ça, c’est de la télé-réalité. Marie Lemieux un sein a l’air sans slip et Marie-France Corbeil sans petite culotte non plus, et l’autre les boules a l’air. J’hallucine les gars.
— Reston professionnel, dit un autre tout sourire. Ça enregistre, vous pensez ?
— Et Paul Lemieux tout nu, fit un technicien. Hummmm… Oui, ça enregistre. Yes !

Les autres s’écartèrent légèrement de lui.

Pauvre Paul

Marie et les autres venaient de passé une heure épouvantablement longue a donner leur version des faits toujours dans la salle d’exposition, envelopper dans des couvertures amener par les policiers et Madame Dumoulin morte de rire. Maintenant elle était partie se coucher, les policiers et les ambulanciers avaient vidé la place et Paul barrait la porte et réenclenchait le système de sécurité. Il revint pour découvrir les filles toute décoiffer, les traits tirer, elle avait mal partout et Marie-France avant un poignet bander, juste une méchante foulure.

— Je savais bien que cet étudiant-là était pas nette Marie. Dit-elle. Bon, comme ça j’ai de belles fesses les filles ?

Rien, même pas un sourire.

— Eh, ça nous ferait du bien d’aller nous étendre non ?
— Bonne idée, fit Sylvie, j’ai trop mal partout, bonne nuit les filles.
— WAIS, fit Dorine, moi aussi j’ai mal aux boules tabarnouche, bonne nuit, a demain.
— Moi aussi fit Marie, bonne nuit Paul, et merci pour la balade. Tu dors sur le divan, j’ai besoin de récupérer avant d’affronter la meute de journalistes demain et de t’étrangler.
— Hein !
— WAIS, bonne nuit Paul. Fit Marie-France en suivant Marie.

Paul resta seul et désespéré avec les hommes et les femmes de Neandertal et le Mammouth. Pauvre lui, il faisait peine a voir. On aurait dit un petit chien battu.

— Merci le mammouth de nous avoir sauver la vie, je peux tu dormir sur ton dos ? Oui ! Merci.

Paul grimpa et s’installa pour la nuit avec sa couverture et soudain il entendit Marie dire du deuxième au-dessus de lui pencher sur la rambarde et complètement nue – une vraie déesse.

— On te niaisait idiot, vient nous rejoindre dans la chambre, je te dis que la Sylvie, est cochonne en tabarnouche.

Paul se redressa comme si on venant de déclencher un piège a rat sur l’une de ses couilles. Il grimpa 4 a 4 les escaliers et quand il entra dans la chambre ce fut pour trouver 4 filles nues en train de se caresser. Il laissa tomber sa couverture et plongea dans le tas.

30 minutes plus tard… il ronflait.

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