— Salope ! Tu n’es qu’une salope ! Lui crachai je au visage après l’avoir giflée violemment.
Elle se tenait là, devant moi, les yeux brillants de larmes, les joues rouges, nue.
Son amant , mon propre frère , cachait son sexe derrière les draps défaits de notre lit conjugal.
— Toi tu ne perds rien pour attendre ! Lui dis je froidement. Tu as intérêt à rentrer chez toi et tout dire à ta femme, parce que ce soir je l’appelle.
— Non Vincent, s’il te plaît, ne fais pas ça , tu vas foutre ma vie en l’air . Murmura mon connard de petit frère .
— Fallait y penser avant de tremper ta nouille dans la chatte de la soeur de ta femme…
Eh oui, mon frérot avait fait la connaissance de la frangine de Marie lors de notre mariage. Quelques mois plus tard, ils convolaient à leur tour.
— Maintenant casse toi ! Je ne veux plus te voir !
Et je le balançai hors de l’appartement avec ses vêtements sous les bras.
Marie ne bougeait toujours pas comme tétanisée par la v******e de la scène, paralysée par la peur, la honte et la surprise.
Je n’aurai jamais du me retrouver ici mais le destin, sous la forme d’une mystérieuse disparition de clés de voiture m’ayant obligé à repasser chez moi pour en prendre le double, en avait décidé autrement.
Je les avais surpris, ma femme à genoux, les mains sur la tête, entrain de sucer la bite raide de son beau frère qui la traitait de » salope soumise » .
Je m’approchai d’elle. Elle eut un mouvement de recul pensant recevoir une nouvelle baffe.
Jamais je n’avais levé la main sur elle, jamais même n’y avais je pensé et , ma colère un peu apaisée, il n’était pas dans ma nature de la frapper à nouveau.
— Ce n’est pas l’envie qui me manque , lui mentis je, mais je ne vais pas te toucher. Va te laver, tu pues !!
Je la regardai se diriger vers la salle de bain, la tête basse, en me demandant comment j’allai bien pouvoir réagir. J’étais traversé par une foule de sentiments contradictoires. Je l’aimais ? oui, c’était la femme de ma vie. Pourrai je lui pardonner ? Oui, peut être, quoi que .. Je n’en étais pas sur .. Pourrai je lui faire à nouveau confiance ? Humm…
J’en étais là de mes réflexion quand elle fit son retour dans la chambre.
Je ne pus empêcher mes larmes d’arriver en la voyant s’avancer, nue sous une serviette cachant à peine son opulente poitrine.
Elle s’en rendit compte et vint s’asseoir à mes côtés.
— Pardonne moi . Me dit elle en me prenant la main.
Ce contact m’électrisa et toute mon émotion reflua vers mes yeux en un torrent de larmes inarrêtable.
Voila que maintenant, nous étions deux imbéciles à pleurer de concert , conscients que plus rien ne serait comme avant.
— Il faut que tu me racontes tout, sans rien me cacher. Je veux comprendre.
Elle hocha imperceptiblement les épaules comme résignée et elle entama son récit.
» Tout a commencé il y a 3 mois. Tu te souviens ? C’était en plein été , quand nous les avons invité à dîner. Il faisait une chaleur incroyable et je m’étais habillé de façon très légère . En fait , j’avais juste passé une robe de coton et un simple string. Ma poitrine battait librement sous le tissus comme tu aimes que je sois. Tu te rappelles ? Nous avions beaucoup bu, ma soeur avait du partir tôt dans la soirée et toi tu t’es affalé , ivre , dans la chambre. Vincent a commencé à être entreprenant. Il m’a demandé ce que je portais comme sous vêtements. J’étais un peu pompette, je lui ai dis que mes seins étaient libres. Il a fait semblant de ne pas me croire et m’a demandé de le lui prouver. En riant j’ai déboutonné ma robe et je l’ai entre ouverte. Il a voulu me toucher mais j’ai refusé et les choses en sont restées là. Le lendemain, j’ai reçu une photo de moi quasi nue, je n’avais pas vu qu’il tenait son portable à la main. Je n’ai su quoi lui répondre.
A partir de là , ma vie est devenue un enfer.
Il a sonné un matin quand tu étais absent. Il m’a menacé d’envoyer les photos à tous nos amis, de les publier sur le net. Il m’a dit que ça signerait la fin de notre mariage, que jamais tu ne me pardonnerais.
J’ai pleuré, supplié. Il est resté inflexible. Je lui demandé ce qu’il voulait pour effacer ces images. Il m’a répondu que c’était moi qu’il voulait. Il exigeait que je devienne sa chienne soumise, sa chose, son objet sexuel et que , quand il en aurait assez d’abuser de mon corps, il oublierait tout. J’étais prise au piège, morte de peur et de honte.
J’ai accepté.
Le jour même, il m’a fait mettre à genoux devant lui. Il a ouvert sa braguette et a sorti son sexe. Il m’a fait le sucer jusqu’à son éjaculation , me forçant à avaler tout son sperme.
Et puis il s’est rhabillé et m’a dit : tu vois , ce n’est pas si compliqué d’être une salope.
Les jours suivants, toujours en ton absence, il est revenu.
Il a exigé sa fellation puis il m’a fait mettre à quatre pattes et m’a baisé comme un soudard. Il m’a ordonné d’aboyer pendant qu’il me limait : » Tu es une chienne, crie comme une chienne »
Les jours qui ont suivi, j’ai voulu tout arrêter mais il m’avait filmée pendant nos ébats, j’étais encore plus à sa merci.
Pour me punir, il est venu me chercher ici un après midi. Il a exigé que nous sortions, moi nue sous un manteau. Il m’a emmené dans un bois et il m’a déshabillée. Il m’a ensuite attachée contre un arbre , mes seins face au tronc. Quatre ou 5 hommes, âgés pour la plus part se sont approchés. Il leur a dit que j’avais été désobéissante et que je méritai une punition. Il a commencé à me fesser . Je pleurai, j’avais mal. Les hommes m’insultaient en me traitant de » grosse pute » ensuite il m’a sodomisée sans préparation. J’ai hurlé, crié, supplié sans succès.
Il a jouit dans mes fesses et il m’a détaché en m’obligeant à me mettre à genoux. Les vieux se sont masturbés sur moi. J’avais plein de leur sperme sur le visage.
Depuis 2 mois, il vient deux ou trois fois par semaine et je suis sa pute comme il dit, il fait de moi ce qu’il veut. Voilà, tu sais tout «
Je restai ébahi par ce récit puis une violente envie de vomir me prit.
Je me réveillai , nauséeux, la bile au bord des lèvres.
Il faisait chaud, trés chaud. J’avais bu, trop de vin.
J’étais tout habillé , couché sur mon lit, il faisait nuit.
J’entendis des rires dans le salon. Je m’approchai doucement.
Marie était là, simplement vêtue de sa robe rouge qui lui allait si bien. Devant elle se tenait Greg, mon frère qui la mettait au défi.
Je vis mon épouse, hilare, commencer à défaire sensuellement les boutons de son vêtement estival……
J’entrai avec fracas dans la pièce. Marie sursauta et tenta de cacher ce qui n’aurait jamais du être dévoilé.
Le visage de mon frangin s’empourpra quand je le pris par le col pour le traîner dehors.
Quand enfin je revins vers elle , je souriai béatement…..
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