Depuis plus de six ans, nous pratiquons des jeux libertins ; candauliste, mon homme aime me voir me faire prendre, par un ou plusieurs compagnons et je dois reconnaitre que j’y prends beaucoup de plaisir. Comme beaucoup de femmes, je pense , j’ai d’abord était très réticente ; puis après de nombreuses discussions (la communication est très importante), j’ai accepté une sortie dans un club libertin, sortie qui s’est très bien passée et petit à petit, mes jeux sont devenus de plus en plus nombreux ; pour mon plaisir et je dois reconnaitre double plaisir : celui de pouvoir me rendre compte qu’à 56 ans j’attire encore les hommes et que j’aimais faire l’amour ( avec un petit a) avec eux, mais aussi et peut être surtout car je voyais le plaisir que Jean avait de « m’offrir » . Mais il y avait deux règles que j’ai toujours respectées, à savoir qu’il soit toujours au courant, présent réellement ou par téléphone connecté, et jamais deux fois le même homme.
Un événement allait bouleverser mes certitudes.
Nous avions un homme d’entretien pour le jardin depuis plusieurs mois quand il nous a appris qu’il avait trouvé un emploi à temps plein ; très heureux pour lui, mais pour nous, une nouvelle recherche, qui allait se révéler difficile ; pas de candidat ou plutôt pas de candidat sérieux la solution est arrivé avec le début des vacances ; notre jeune voisin tout juste 18 ans , nous a proposé de faire le travail, ayant besoin d’argent pour ses vacances ; très rapidement il a su se faire apprécier, autant par son travail que par son physique ; beau gosse, j’ai vite eu envie de lui et avec l’accord de mon homme ,j’ai décidé de tenter ma chance, mais celui-ci était un très timide et toutes mes approches restaient un peu veines.
Un matin, alors que je pensais être seule, à peine couverte par une nuisette cachant tout juste ma chatte, il est venu sonner ; sans réfléchir, je lui ai ouvert et il a pu me découvrir, son regard se perdant tantôt sur mes seins , tantôt sur mon ventre bien visible sous ma nuisette transparente ; profitant de son hésitation, le lui ai tendu la main, l’attirant dans la maison et me plaquant contre moi, je lui déposais un baiser sur les lèvres ; contre mon ventre je sentais sa tige grossir, mais il ne réagissait pas mon baiser ;prenant sa main, je l’ai déposée sur mon sein, dont les tétons pointaient sous le fin tissu , alors que la mienne se portait sur la bosse maintenant bien formée sous son pantalon.
« J’ai envie de toi, vient me prendre » mon envie me débordait ; c’était la première fois que je me comportais ainsi mais cela faisait longtemps que j’avais dit à jean mon envie de faire l’amour avec un très jeune amant et là l’occasion était présente.
« As-tu déjà eu des relations avec une femme » devant son hésitation, j’insistais « dis-moi la vérité » un peu perdu d’un signe de tète, il m’a fait non. Il était puceau ; me mettant sur le canapé, j’écartais j’ai encore envie de lui et me glissant sur la moquette, je me place en levrette, lui offrant la vue sur mon sillon sur l les cuisses, lui découvrant ainsi la vue sur ma chatte et mes doigts sont partis à la recherche de mon clito ; éberlué il me regardait immobile, ne sachant pas quoi faire ; j’ai alors compris que je devais le guider ; j’ai dégrafé sa braguette et fait tomber son caleçon, a ses pieds ; sa tige a jailli, longue , assez fine, le gland complètement décalotté, tressaillant de plaisir ; mon envie était trop grande et lui prenant le vit offert, je le présente à l’entrée de la grotte ; comme il était puceau, je n’avais pas besoin de capote et j’allais pouvoir sentir sa semence dans mon ventre ; sa queue bien au fond de ma matrice, j’ai commencé à bouger mon basin, puis très vite il a pris le relais ,, me percutant fougueusement ,accroché à mes hanches, il découvrait la possession d’une femme ; « vas-y bourre moi, laboure ma chatte, maintenant tu es un homme et je suis à toi » sa bite me remplit le ventre et pour une fois, je jouis très rapidement ; sa queue glisse maintenant au milieu de ma cyprine et soudain je le sens se cabrer ; j’ai envie qu’il me féconde, et l’enserrant entre mes jambes autour de son corps, je m’ouvre complétement et ses jets , chauds, nombreux , puissants me percutent le fond de mon vagin ; lui aussi jouit, encore sans doute étonné de sa réaction et de la mienne , car quand il a jute, je n’ai pas pu retenir mes cris de jouissance.
Mon ventre me brule de plaisir, et sa queue, encore bandée continue à me posséder ; puissante jeunesse qui lui permet de me posséder alors qu’il a joui ; j’ai encore envie de lui et glissant sur la moquette, je me place en levrette , lui offrant ainsi la vue sur ma chatte, dégoulinante de sa semence ; il a vite compris cette offrande et en male découvrant sa puissance, il s’enfile d’une seule poussée entre mes petites lèvres gonflées par le plaisir ; j’aime cette position, car c’est ainsi que je ressens le mieux le sexe qui me possède et lui ne se pose pas de question ; il vient de découvrir le plaisir avec une femme offerte et ses pulsions sont furieuses ; il me possède, me défense, me baise ,m’amenant plusieurs fois à la jouissance, jouissance qui déferle, me bouleverse et me transporte vers un nirvana rarement atteint ; pour lui c’est sans doute très différant ; il possède une femme, et découvre la pouvoir de son sexe, le pouvoir de la domination , car je suis à lui ; je crie mon bonheur et mon envie de lui, lui réclamant encore plus sa queue qui m’apporte le plaisir .Sa jeunesse me comble, son endurance me transporte et à nouveau je jouis ; collé contre mon basin, la queue enfoncée au plus profond, il se libère enfin, jutant pour la deuxième fois ; à nouveau je lui traduis mon bonheur « vas- remplis moi de ta semence , féconde moi, je suis à toi, vide toi dans mon ventre offert «
Quand il sort de mon ventre, un long filet de sperme s’écoule entre mes lèvres encore toutes écartées ; j’aimerais qu’il me lèche, qu’il mette sa langue dans mon conduit dilaté, mais, il ne me bouge pas, tout à son récent plaisir.
Repus il s’est écroulé à côté de moi, sans doute encore étonné de sa bonne fortune ; il me regarde et une question fuse, question qui allait changer mes certitudes « tu voudras bien que je revienne ? » et pour la première fois, sans avoir consulté jean je lui réponds que oui mais que je n’avais pas envie qu’il parte maintenant ; j’avais encore envie de le recevoir, de lui faire découvrir les richesses de sa fortune, et moi de lui appartenir sans réserve. Un long moment de repos côte à côte, main dans la main, quand doucement mon ventre me titille ; me penchant sur son ventre, ma bouche se pose sur sa queue détendue ; ma langue caresse le membre qui vient de me faire jouir et celui-ci réagit, frémit puis se gonfle ; mes lèvres s ‘entrouvrent et gobent le gland, avant d’avaler la totalité de la queue ; étonné, il ne tarde pas à réagir et le sexe maintenant complètement tendu, il essaie de se relever ; le maintenant sue le sol, j’accélère ma sucette ; m’enfonçant jusqu’à la glotte, je le branle, je le suce, lui triturant en même temps les couilles et le résultat ne tarde pas : ses jets fusent dans ma bouche, débordant de mes lèvres ; les ongles enfoncés dans ma peau, il jouit, se vidant complétement ; je me redresse alors et plaquant ma bouche sur la sienne, je lui redonne un peu de sa semence ; d‘abord rétissant, il se lâche et répond à mon baiser, nos deux langues se mêlant .Je n’ai pas joui ; simplement joué avec lui et c’est à mon tour d’en profiter ; m’allongeant de nouveau, j’ écarte les cuisses , remontant mes jambes sur ma poitrine et lui prenant la tête, je la lui pose sur mon ventre « à toi maintenant, lèche moi, fais-moi jouir avec tes lèvres » pour lui c’est aussi une nouveauté et maladroitement sa bouche je pose sur mes petites lèvres ; il m’en faut plus et je le guide dans la recherche de mon clitoris, puis je l’encourage à me pénétrer avec sa langue ; il apprend vite et mon désir monte, mon ventre s’offre à ses lèvres ; sa bouche aspire et me nettoie la matrice, vite remplie par mes secrétions de cyprine ; me mordillant parfois le clito, il me fait rapidement prendre mon pied et quand mes cris emplissent la pièce, il s’arrête inquiet « je t’ai fait mal » « je le rassure « non au contraire , tu me fais jouir, continue bois mon plaisir « à nouveau je jouis perdant un peu le sens de la réalité ; ce n’est plus sa bouche qui s’appuie sur mon ventre , mais à nouveau un sexe bien bandé e posant mes jambes sur ses épaules, je m’embroche directement ; cette fois c’est lui qui même la danse, et il me baise comme un vrai taureau ; ma chatte pourtant bien ouverte, est comblée par ce jeune et vigoureux sexe ; sans aucun doute ses précédente jouissances lui permettre de me prendre vigoureusement puissamment et surtout longuement ;il va ainsi me posséder un très long moment, me regardant parfois fièrement, sur de son pouvoir sur moi ; et moi je m’offre, me livre l’encourageant, lui assurant que sa bite est la meilleur que j’ai eu, ce qui d’ailleurs n’est pas faux, car malgré sa jeunesse et son inexpérience , il me fais jouir plusieurs fois, avant de se rependre en moi ; et pendant cette journée, il me prendre encore deux fois, avant que je le chasse, mon cocu de mari ne devant pas tarder, mais surtout après lui avoir assurer que demain je l’attendrais, et qu’il pourrait rester le soir ; il me fallait encore cependant que je m’organise.
A suivre
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