Histoires de sexe Histoires érotiques Histoires érotiques au travail

P atronne et putain

P atronne et putain



J’ai bossé deux ans en coursier dans une charmante PME de Seine et marne. J’ai du ce premier emploi au papa. Le paternel m’a toujours mis le pied à l’étrier. Je lui dois une fière chandelle. Il maugréait que j’étais dans les jupes de ma mère. Qu’il devait d’une manière ou d’une autre combattre cette indolence. Je pris mal cela au début. Au bout du compte je m’y suis retrouvé. Il m’a offert quelque répit dans la vie avant que je ne vole par la suite de mes propres ailes. Bref je conserve un souvenir ému de cette époque. Il m’est triste de passer devant ce portail à présent fermé.

>> Le patron de la boîte était copain de régiment du papa. Lors d’une conversation avec celui-ci au bistrot il crut devoir lui proposer d’embaucher son fainéant de fils. Outre de dépanner il voyait loin. Homme bon et indulgent il spéculait qu’un jour je me réveillerais et ferais de grandes choses. Il trouvait injuste qu’on condamnât trop vite la jeunesse. Mon père entra dans ses raisons. Surtout il trouva une aubaine que quelqu’un voulut bien de moi. N’empêche ne sachant rien faire de mes dix doigts on se rabattit sur cette idée que je pourrais faire des courses et rendre service à tout le monde.
>>
>>
>>
>>
>>
>> A ce titre on m’offrit un scooter flambant neuf. En ce temps j’avais l’âme bohème. Je n’aimais rien tant que de rouler au hasard des champs. Je me perdais en songeries. Celles-ci ne finissaient pas en vers comme Rimbaud. J’étais le plus souvent amoureux. Objet facile aux perfides et gueuses alentour. Assurément il fallait me fixer et me déniaiser un peu. Ma mère trouva trop dangereux et notamment pour l’hiver que je fis chaque jour le chemin aller-retour au bureau. On s’arrêtât à l’idée d’un studio à deux pas du boulot. Mon père trouva bon que cela m’éloigna un peu de ma mère.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> J’eus du mal à faire un peu mon trou. Les ouvriers me moquaient souvent. Du moins fut-ce au début. Je compris par la suite qu’il s’agissait du premier temps de l’initiation et de l’adoubement. Je n’étais pas prétentieux. Je ne convoitais de prendre la place à personne. J’étais plutôt du genre bon compagnon. J’aimais rendre service. Bref je me fis adopter de tous. Le patron trouva finalement qu’il avait eu une bonne idée. En effet je ne rechignais à aucune course qu’il pleuve ou qu’il vente. Il comprit qu’un poste sédentaire m’eût tué. J’avais sans cesse des fourmis dans les jambes.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Le premier jour j’avais été impressionné par la patronne. Une forte et belle femme brune. Elle dégageait une autorité des plus naturelles. Son mari ne prenait aucune décision sans obtenir son assentiment. Ainsi aurait-elle pu s’opposer à mon embauche. Bien plus tard sus-je que mon père avait été un de ses zélés amants. Je pus moi-même apprécier qu’elle était une garce. Elle gueusait partout. Son mari savait qui ne disait rien. Il eût été inconsolable qu’elle le quittât. Elle se contentait de ce pouvoir et de cet ascendant et de pouvoir s’épanouir en ses caprices et fantaisies.
>>
>>
>>
>>
>> Encore aujourd’hui j’aurais quelque mal à la décrire. Elle approchait alors l’âge funeste des cinquante ans pour une femme. Elle avait manifestement été une beauté ravageuse à vingt ans. Sa croupe s’était alourdie, ses formes arrondies. On salivait sur des seins lourds qu’elle tachait d’afficher. Ses traits de visage qui pouvaient passer pour anodins trahissaient au contraire un air décidé et volontaire au travers du gris des yeux. Elle était le plus souvent sobrement mise. Bien maquillée. Elle n’en portait pas moins court sa jupe ou sa robe. Elle avait la jambe magnifique.
>>
>>
>>
>>
>>
>> D’ailleurs je me souviens exactement de la première fois où lui et elle me reçurent en leur bureau. Lui pontifiant m’exposait tout le détail des missions auxquels on me vouerait. Elle, assise peu loin en son dos dans un fauteuil avait croisé très haut ses cuisses balançant au bout du pied si joli,un escarpin noir. Elle semblait ainsi battre la mesure d’une symphonie imaginaire. Un sourire barrait son visage. De cette façon elle me manifestait que tout cela n’était que jeu, parodie d’autorité. Que son mari ne décidait rien. Qu’elle seule déterminerait au quotidien mes emplois.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Elle put ce même jour vérifier que je n’étais pas moins que les autres rétif à son charme et à sa sensualité. En ce temps les femmes mûres m’indisposaient. L’impudicité et la vulgarité de quelques-unes m’avaient pour le coup traumatisé. Je m’étais réfugié dans le giron de garces plus jeunes lesquelles pour autant ne m’avait rien apporté. Mon instinct me dit que cette femme pourrait être cette bonne fée qui disposerait enfin des clefs du royaume des sens et du plaisir. Nous nous comprîmes d’un seul regard. Elle eût pu me dédaigner. Elle crut en moi. Une première pour moi.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Pour une fois je tins à ne pas décevoir un adulte. Je fis maints efforts et progrès. Le patron prit cela pour lui. Cette imbécile ne comprit pas qu’il devait cet exploit à sa jolie femme. Celle-ci chaque matin me convoquait aux aurores. Nous définissions ensemble la feuille de route. Peu à peu en effet elle voulut que j’y participe activement. Elle faisait appel à mon sens critique. Elle voulait que je m’améliorât. Que je fis des propositions. Avec elle je crus dans mes capacités. Je pris de l’assurance. Elle n’en attendait pas moins de moi. J’étais fier qu’elle fut fière de moi. Tout avançait.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Très vite en devins-je entiché et amoureux. Je n’avais guère vu venir cela. Cette révélation éclatât de façon fort triste quand je sus sans ambages qu’elle avait un amant au moins dans l’usine. Un jeune italien, beau gosse avec lequel elle disparaissait une heure dans une remise près des camions. Les autres rigolaient. Cela se faisait à l’insu du patron absent qui devait savoir. Certains allaient coller leur oreille contre le mur. Il disait qu’on entendait gémir. Décidément le Luigi qu’est-ce qui lui mettait à la vieille. Une heure plus tard on la voyait revenir digne, le cheveu ébouriffé.
>>
>>
>>
>> Un jour et après qu’elle se soit fait sauter, elle croisa mon regard. Je ne pus réprimer le sentiment que celui-ci dut exprimer. Je vis dans le sien qu’elle n’appréciait pas. Il lui sembla que je la jugeais. J’eus droit le reste de la journée à son mépris. Elle me renvoyait à mon statut de petit morveux voire de puceau qui n’entendait rien à la chose. J’étais honteux et malheureux car je vis la menace qu’il n’y eût plus de complicité bienveillante entre nous. J’étais désolé d’avoir été jaloux. Elle le comprit car dès le lendemain je retrouvais son sourire. Cette sorte d’épreuve nous avait rapproché.
>>
>>
>>
>>
>>
>> De ce jour-là elle partit à l’offensive. Un soir tandis que je déballais mes courses. Elle clope au bec installée derrière le petit bureau, elle jeta sans coup férir la question : « T’as une petite amie ? » Notez bien sûre qu’elle me tutoyait tandis que je la vouvoyais. Ce genre de question m’avait toujours décontenancé d’autant que cette fois cela émanait d’elle. Elle ne fut pas étonnée de mon embarras. Son sourire observait ainsi la même bienveillance. Elle poursuivit : « Tu sais les filles c’est important. Si t’en ignore le mode d’emploi, elles te mèneront par le bout du nez. »
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> En un instant je vis qu’elle venait courir à mon secours. En ce domaine aussi elle voulait m’enseigner, m’éclairer. Elle confortât le propos. « Tu sais. Je pourrais être de bon conseil. » A cela j’eus l’esprit de répondre naïvement : « Oui volontiers. Vous avez deviné que je suis dessus un bien grand nigaud. » Elle éclata de rire. Je vis que nous étions devenus amis. A présent je n’affectais plus de comportement jaloux ni possessif quand elle revenait des bras de Luigi. Même qu’une fois je sus la couvrir au retour impromptu du patron. De toute façon elle ne rendait de compte à personne.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Je pus croire que nous en restâmes là. Mais par des propos insidieux elle me signifia peu à peu que j’étais plus joli garçon que je ne croyais et que du moins une femme comme elle pouvait me trouver à son goût. Ainsi elle me demanda si je faisais du sport car j’avais une poitrine puissante et des épaules bien bâties. Je lui répondis piteusement que je devais cela à l’hérédité et donc à mes parents. J’étais plutôt feignant quant au sport. J’avais eu du talent au foot mais j »avais négligé par trop les entraînements. Puis soudain elle me demanda si j’avais couché avec une femme de son âge.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Je crus que le ciel allait me tomber sur la tête. Mon regard baissé et toute ma rougeur attestaient que non. Tant bien que mal je lui balbutiais que l’été dernier une tante avait bien essayé de m’attirer en son lit. Que je m’étais enfui comme un voleur. Elle voulut savoir le détail. Son regard brillait de convoitise. Je mesurais à l’instant l’impudicité de cette femme. C’était une invétérée vicieuse. Je compris à présent le vieil ouvrier qui devant moi l’avait taxé de « super putain ». Je n’en distillais pas moins mon récit. Celui-ci étant encore prégnant à mon esprit.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Nous avions loué l’été dernier près du Lavandou une vaste maison où deux, trois de nos familles avaient pu s’agréger. S’y nouèrent quelques intrigues. Moi notamment ayant le béguin d’une de mes cousines laquelle me snobait ostensiblement. Naïf je m’en ouvris à l’une de mes tantes. Elle avait toujours été à mon écoute. C’était une fort belle femme. Je lui savais une réputation libertine. Elle avait viré couguar. Elle ne dédaignait pas de coucher avec des camarades de son fils. Cette après-midi-là tout le monde s’était précipité à une étape du Tour de France.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Tout au chagrin de mes amours contrariés, je préférais bouder dans mon lit. Ma tante snobant ce sport d’imbécile préféra aussi garder la chambre pour s’y reposer. Peu après et par envoi de SMS elle m’invitât à la rejoindre. Elle prétextât qu’elle voulait poursuivre la conversation de l’autre fois. Je n’y vis point goutte de traquenard. Venu sans prévention j’arrivais en une chambre tout de pénombre et saturée de son fort parfum. Un drap la couvrait en partie. Je n’eus pas idée qu’elle était nue en dessous sans une culotte. Nous commençâmes à discuter. Elle fumait en regardant la télé.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Je mis un temps à m’apercevoir tandis que par imperceptibles mouvements, le drap avait glissé que le haut de ses cuisses s’était dégagé laissant entrevoir l’espace où il dut y avoir une culotte et où je vis nettement et malgré une pénombre sa chatte, bronzée et toute lissée. Elle perçut bien où mon regard convergeait et sans manifester quelque pudeur elle ne se ravisa pas pour autant pour en couvrir l’objet. J’étais gêné tentant malhabilement de détourner le regard et de poursuivre imperturbablement notre conversation. Soudain comme par défi elle rejeta le drap et s’étira.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Elle était là devant moi totalement nue. Pas peu fière d’offrir à mon regard ce corps qu’elle savait remarquable et dont tous nous avions pu nous repaître sur la plage ou sur le bord de la piscine. Elle n’avait cure que je fus son neveu. N’offrait-elle pas ce tel spectacle à ses jeunes amants ? Elle infléchit alors tout son discours : « Tu sais tu devrais oublier cette gamine, cette petite sotte. A ton âge tu devrais t’amuser avec d’autres femmes. » Je compris le message. Tel un serpent elle se coulât jusqu’à moi. Elle mit d’autorité ma main sur son sein. Elle commença à me branler.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> J’étais tétanisé. Un drôle de désir m’emplissait. Je succombais sous cette vague et ce tsunami. Je pense qu’elle serait parvenue à ses fins si à ce moment-là nous n’entendîmes des pas sur le gravier. Quelqu’un approchait. La garce eût continué qui n’avait pas peur d’un intrus mais moi couard je me levais du coup et m’enfuis. Elle m’en tint rigueur le reste du séjour. Je sais qu’elle coucha comme pour se venger avec un de mes cousins, voyou notoire. A ce récit ma patronne releva opportunément le détail que sans l’irruption de l’intrus je me serais laissé tripoter sans fin.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Penaud j’en dus en convenir. Donc j’étais coquin et demandeur autant qu’un autre. Ma tante bonne personne somme toute était allée ce jour-là au-devant de mes désirs. Ma patronne démêlait habilement l’écheveau de mes sentiments et de mes sensations. Je n’étais pas l’insolite et le monstre que je croyais. Il fallait m’accoucher à moi-même. A cet instant elle releva significativement sa cuisse. Elle fit en sorte que je pus examiner à loisir son bas et la naissance de celui-ci où affleurait une chair blanche, belle et grasse. J’eus aussitôt une érection violente, irrépressible.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Elle dut deviner manifestement cela car elle sourit. Elle écartât ensuite ses cuisses pour que je vis sa culotte rose. Façon de dire qu’elle avait elle une culotte. Non pas comme ma tante. Enfin elle ajouta de vive voix : « Je ne supporterais pas que des pas sur le gravier vous fasse fuir. » J’eus un sourire en forme d’assentiment. Non je ne m’enfuirais pas du moins avec elle. J’attendais d’apprendre. J’attendais la première leçon. Elle ne tarda guère. Le surlendemain elle prétexta qu’elle devrait ramener de la grande ville un lourd objet et que je pouvais l’accompagner à cet effet.
>>
>>
>>
>>
>>
>> J’étais moins angoissé que concentré sur cette nouvelle situation. On eût dit un enfant à sa première communion. Je ne voulais pas décevoir. J’avais confiance en elle de toute façon. Sagement assis à ses côté set regardant au loin sur la route je n’osais regarder de même ses cuisses. L’habitacle de l’auto était saturé de son fort parfum. Je soutenais tant bien que mal la conversation. Elle me crut désemparée. Elle me demanda avec un demi-sourire : »ça va ? » Je répondis que oui. Que je n’avais jamais été si heureux. Cette réponse banale et spontanée gagna à la rendre heureuse elle-même.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Aussi rangea-t-elle peu loin la voiture sur le bas-côté de la route. Je perçus qu’elle avait tourné la tête et m’observait. J’étais effrayé de croiser son regard dont je percevais l’intensité. Enfin me prenant par la main le menton elle imprima à ma tête, un simple demi-tour. Ses lèvres s’écrasant sur les miennes. Elles étaient douces et chaudes. Les miennes cédèrent peu après. Sa langue vint se marier à la mienne. S’enroulant l’une dans l’autre. J’entrais dès ce jour-là dans son intimité infernale. Il y eût un abîme et après une pluie d’étoiles. Je passais de l’Enfer au Paradis. Baptisé pour toujours.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> J’eus droit ce jour-là à cette chose qu’on appelle fellation dont on dit tant de bien chez tous les garnements. Elle prit son temps. Suçant elle dit que j’avais une belle bite. Que c’était gâchis que de n’en pas s’en servir pour contenter une femme. Elle eût une pensée émue pour ma tante qui n’était parvenue à ses fins. Elle était la première. Elle n’aimait pas particulièrement s’occuper d’un puceau mais pour moi elle ferait exception. Ce fut au retour que dans un champ, cuisses écartées elle me reçut m’initiant à l’océan et son nouveau rivage. Éjaculant au fond j’eus un début de larmes.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> J’étais adoubé. Il sembla que la tendresse qu’elle me témoignait par nombre de caresses lui apportait aussi à elle. Usant de ses termes, elle trouvait cela mignon et si rafraîchissant. Elle me dit que j’étais un élève valeureux. Qu’elle m’apprendrait de l’amour et du sexe tout ce qu’elle savait. Par la suite elle m’annonça que je n’aurais cependant aucun droit sur elle. Qu’en d’autres termes elle ne renoncerait pas à ses autres amants. Je dus me tenir à cette ligne. Les miettes concédées étaient pour moi déjà un grand festin. J’appris remarquablement. De l’innocence je parvins vite au vice.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Le matin machinalement et après m’être assuré que personne ne venait je lui présentais ma bite au bord de la bouche pour qu’elle me suçât. Elle adorait ce geste impérieux et s’exécutait volontiers en putain respectueuse. Immanquablement après elle se penchait de moitié sur le bureau m’abjurant d’écarter le fil du string. Puis de l’enfiler ainsi sauvagement. Bientôt je pris goût à investir l’autre trou. J’adorais user du terme vulgaire : enculer. Je lui disais : « J’ai trop envie de t’enculer. » Elle recherchait cela. Filialement nous vînmes souvent à baiser dans mon studio à deux pas du bureau.
>>
>>
>>
>>
>>
>>
>> Fort étonnamment nous parvînmes je crois à tenir incognito notre relation. Son Luigi était un satané jaloux. Il m’eût occis s’il savait. Désormais les jeunes filles n’avaient plus de saveur. Je les trouvais puériles, insignifiantes. J’aspirais aux vrais femmes. Si ma tante eût dit oui je l’aurais sur le champ sauté. Peu de temps après j’en vins un matin à baiser une de mes pratiques chez qui je faisais des courses. Elle m’allumait depuis longtemps. Elle fut étonnée qu’enfin je passas à l’acte. J’en fis une de mes régulières. Elle était non moins salope que la patronne. Ma mère releva le changement.
>>
>>
>>
>>
>>
>> Elle voulut savoir le nom de la fille qui m’avait ainsi dévergondé. Je ne pouvais décemment lui dire la vérité. Je la laissais dans le doute que ce put être une voisine, garce notoire qu’elle détestait. Elle acceptât la fatalité que cette fille eût déniaisé son fils. C’était un mal pour un bien. Mon père trouva bon que je devins enfin un homme. Devant moi il en félicita et le patron et son épouse. Il dit riant: « Finalement il aura tout appris chez vous». A l’instant j’eus un regard complice vers ma chérie. Celle-ci écarta les cuisses. Nous n’avions de cesse d’être dans une heure pour baiser tels deux fous .

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire