J’étais très jeune quand mon père nous a quittées et je suis restée avec ma mère et j’ignorais alors quelle pouvait être sa vie sexuelle. Elle me laissait à la garde d’une baby-sitter et c’était le plus souvent notre voisine de palier. Je ne la revoyais que le lendemain matin. Ma vie sexuelle a commencé quand j’ai été réglée et que mes poils et ma poitrine ont commencé à pousser. Il y avait des filles au collège qui en parlaient mais j’étais trop timide pour discuter avec elles de ce qui nous arrivait. Mes poils avaient envahi mon ventre et l’intérieur de mes cuisses et mes seins avaient d’énormes aréoles qui me faisaient honte quand je me regardais dans le miroir de ma chambre ou de la salle de bains. Un jour, ma mère m’a recommandée de ne jamais rester seul avec un garçon parce qu’elle ne voulait pas que je tombe enceinte. C’est ce terme de tomber qui m’a troublée car j’avais des tantes qui avaient été ou étaient enceintes et jamais personne n’avait parlé de la façon dont ça avait été provoqué. L’une de ces tantes qui était fière de sa grossesse m’avait fait poser la main sur son ventre. Elle avait soulevé sa jupe et j’ai vu qu’elle n’avait pas de petite culotte et que son ventre n’avait aussi aucun poil et au contraire de moi, ses petites lèvres étaient énormément saillantes et giclaient entre ses cuisses.
J’étais timide comme je l’ai déjà dit mais j’avais bien envie de faire ce dont se vantaient mes copines du collège. Il y en avait une qui sortait avec un des garçons du lycée, un copain de son frère. Un jour, elle a raconté qu’elle avait fait l’amour avec lui et qu’elle en avait encore mal au ventre. Toutes les filles voulaient savoir ce qu’ils avaient fait et ce qu’elle avait réellement ressenti. Une des filles lui avait même demandé comment c’était quand on joui. « Maman me fait prendre la pilule, avait ajouté la fille parce que j’ai chaud au cul ! » La plupart des filles s’exclaffaient. Moi, j’ai trouvé ça ridicule mais ça ne m’a pas empêchée de faire comme elle et le premier garçon qui m’a dit explicitement qu’il voulait coucher avec moi a remporté la timbale. Ça s’est passé dans une grange sur une botte de paille et j’en avais plein les cuisses. Quand à mon amant, une fois son trophée accroché, il m’a oubliée.
Je suis restée un bon moment sans connaître autre chose que la masturbation. Je ne pouvais plus m’en passer. Je me masturbais matin et soir et la plupart du temps avec une carotte volée dans le cellier et qui m’abusait jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Je suis allée au lycée comme les autres filles et les années ont passé. J’en voulais presque à mon ex-amant d’un jour de ne s’être pas vanté de m’avoir eue parce que quand je repoussais des avances, les autres garçons n’insistaient pas et les filles comme moi ont vite fait de passer pour des lesbiennes. J’en connaissais des lesbiennes, dans ma classe, deux filles qui se bécotaient dans les recoins du lycée à l’abri des regards. Je les suivais discrètement et je les regardais faire jusqu’au jour où elles m’ont attrapée à mon jeu et ainsi découverte et après une discussion et alors que je ne les avais vues que s’embrasser, elles ont exigé plus de moi comme le fait de n’avoir rien sous ma robe le mercredi quand on sortait ensemble toutes les trois. Elles me doigtaient et me faisaient avoir des orgasmes pendant que l’une d’elles m’embrassaient à pleine bouche. J’étais heureuse avec ces filles et un jour nous sommes allées dans le petit bois près de la rivière. Elles avaient apporté un appareil photo, un appareil qui développait les photos aussitôt après les avoir prises mais je ne me souviens plus de la marque et nous en avons fait deux douzaines, les premières habillées et les autres avec nous trois nues sur l’herbe.
C’était vraiment excitant mais c’était déjà les derniers beau-jours de l’automne et si nous voulions continuer, ou plutôt si je voulais continuer, je devais recevoir mes amies chez moi. et nous avons continué à faire des photos érotiques dans ma chambre. Nous faisions l’amour pendant qu’une des filles du trio photographiait. Mes amies m’autorisaient parfois à garder des photos mais elle emportaient tout le reste et c’est comme ça que ma mère les a trouvées en fouillant dans ma chambre. Qu’est-ce que j’ai pris et même une paire de gifles que ma mère a regrettée et je lui ai reproché de n’être jamais là et ça a été une séance de confessions réciproques. Je ne lui ai rien caché et je lui ai avoué que j’avais fait l’amour avec un garçon et que je le faisais avec mes copines. Elle m’a serrée dans ses bras et elle m’a expliqué que mon père que nous n’avons jamais revu l’avait dégoûté des hommes et qu’elle passait son temps avec des femmes et qu’il y en avait une qu’elle devait me présenter parce qu’elles étaient amoureuses l’une de l’autre.
Cette nuit-là, pour la première fois depuis longtemps, je l’ai passée dans le lit de ma mère mais quand je lui ai demandé de me faire avoir un orgasme elle n’a pas voulu le faire elle-même et ma mère s’est contentée de guider mes doigts et de me regarder. Je me suis masturbée et elle passait son doigt sur mon front pour relever ma mèche et j’ai joui. Je n’avais jamais autant joui et ma mère m’a dit que si je n’avais pas été sa fille, ce serait moi son amante. J’ai rencontré son amie le dimanche suivant. Elle avait le même âge que ma mère mais elle était aussi plus ronde et sa poitrine était énorme mais elle était aussi très gentille. Sur le soir, ma mère m’a annoncé que son amie passerait la nuit avec elle et j’étais dans la salle de bains en train de faire ma toilette quand la femme est entrée. Elle était en peignoir et elle m’a demandé où ma mère rangeait sa poire à lavement. Elle s’est assise sur le bidet et elle s’est rincé le vagin. Je n’avais jamais vu ma mère faire ça et je m’étais toujours demandé à quoi pouvait bien servir cette poire puis la femme s’est mise sur les toilettes et elle s’est rincée l’anus en me disant qu’il fallait être très propre avant de faire l’amour puis elle a sorti un faux sexe de son nécessaire de toilette et j’ai remarqué qu’il y avait des bretelles. J’ai demandé à la femme à quoi ça servait. « Ah, tu voudrais bien le savoir, je vais te le dire ! » Elle m’a tout expliqué, que les femmes ont trois orifices pour l’amour et que ce n’est pas toujours le vagin qui procure le plus de plaisir, que ça se passe plus souvent dans la tête puis elle a mis le faux sexe dans sa bouche et elle en a présenté le bout sur sa fente et elle l’a un peu enfoncé dans son vagin avant de l’enfoncer dans son anus puis de le retirer et de me le présenter dans ses doigts. Je lui ai demandé si c’était elle qui allait s’en servir ou ma mère. L’amie de ma mère m’a répondu que précisément ma mère aimait enculer les femmes, sans doute pour se venger de mon père qui l’avait si souvent enculée !
Elle m’a laissée seule dans la salle de bains et elle est allée rejoindre ma mère. En sortant à mon tour, je suis allée écouter à la porte de leur chambre. Elles semblaient se disputer et je n’ai pas eu de mal à comprendre que son amante disait à ma mère qu’elle finirait par m’avoir et que j’aimais tout, de la bite à la vulve en passant par le trou du cul. Je suis retournée dans ma chambre et je me suis cachée la tête sous mon oreiller avant de refaire surface et de me masturber. J’étais décidée à éviter l’avenir que la femme m’avait promis et j’ai aussi cessé de faire l’amour avec mes copines et je me suis concentrée sur mes études mais je n’arrêtais pas de me masturber. J’ai passé mon bac et je suis entré dans une école de secrétariat. J’allais commencer à travailler quand j’ai rencontré un homme. Il avait dans les trente-cinq ans et j’en avais dix-neuf et il était beau et quand nous avons fait l’amour j’ai pu constater que le gode dont se servaient ma mère et son amante n’était pas très loin de la réalité. Ses couilles lui pendaient à mi-cuisse et sa verge était presque aussi grosse que mon bras et il ne lui a pas fallu longtemps pour me laisser épuisée sur le lit. Quand j’ai rouvert les yeux, il m’avait ouvert les cuisses et il mitraillait ma chatte et il avait aussi fait des gros plans de mon visage et de mes seins. « Regarde comme tu es belle, m’a-t-il ensuite dit pour que je regarde les photos ! » Il avait placé ma main sur mon ventre et m’avait enfoncé mes doigts dans mon vagin et il me les avait même enfoncés dans l’anus.
Je lui ai dit que j’aurais préféré le faire moi-même et il m’a dit « Chiche ! » J’ai pris l’appareil et je l’ai photographié. Il bandait et son sexe était magnifique. Après, je l’ai sucé et mon ami m’a photographié. Il n’a plus arrêté et moi aussi pendant qu’on faisait l’amour et à la fin de la séance, mon amant a suggéré que ce serait plus facile si quelqu’un nous photographiait et il a ri quand je lui ai demandé si ce serait un homme. « Tu préfères une femme ? » « Tu préfères faire l’amour avec une femme, m’a-t-il répondu ? » Il avait attrapé la balle au bond et je ne pouvais plus me déjuger. Je rêvais d’une femme photographe et c’est une amante que j’ai eue devant le photographe mais je n’en ai pas eu moins de plaisir. J’ai continué à me faire photographier et ce fut une autre femme qui a pris la suite puis un jour mon ami n’est pas venu et la femme a pris des photos pendant que je faisait l’amour avec un autre homme et quand j’ai raconté ce que je faisais à ma meilleure amie que je venais de retrouver, elle m’a demandé si je savais ce qu’ils faisaient de ces photos. Pour moi, c’était juste le plaisir de les faire mais pour elle, je devais finir devant des pervers sur Internet ou dans des revues de cul. C’était avec elle que j’avais eu le plus de plaisir quand j’avais fait l’amour avec mes deux copines et elle voulait que j’arrête de poser pour des photos. « Et les miennes, lui ai-je demandé ? » « Tu les veux ? Je les ai toutes dans un album ! » Je les voulais et je me suis rendue compte qu’elle était amoureuse de moi. Elle m’a dit de ne pas gâcher ma vie. On m’avait proposé d’aller aux Etats-Unis et j’ai réussi à l’emmener avec moi.
Elle voulait vraiment que j’arrête mais j’étais sérieusement mordue par le sexe et j’avais envie d’encore plus de sexe et être professionnelle. Mon amie m’a suivie malgré elle et j’ai tourné avec des pros qui tenaient la distance et bandaient pendant près d’une heure et me prenaient par mes trois orifices à la fois. Un jour, je suis rentrée à l’hôtel où elle m’attendait. J’avais hâte de lui montrer le tatouage. Je m’étais faite tatouer et son prénom et des fleurs sur mon sein gauche. Elle en a pleuré et moi j’en voulais encore plus. J’avais repéré des dessins qui me rendraient encore plus belle et j’ai continué et aujourd’hui j’en ai une douzaine sur le corps et dernièrement je me suis fait mettre des piercings mais je le raconterai plus tard. Ce qui m’inquiétait c’est que j’avais le sentiment que j’étais enceinte. Je prenais la pilule mais j’avais sans doute oublié d’en prendre une et quand je lui ai dit mon manager m’a répondu que plus vite mon ventre serait gros et plus vite je tournerai et j’ai laissé faire la nature. Mon amie était désespérée et moi j’étais de plus en plus accroc aux sexe et au tournage. Je n’étais plus seule avec mon amant ou mon amante ou avec les deux. Je tournais dans des partouzes et plus mon ventre grossissait et plus j’accélérais la cadence. J’avais des litres de sperme que m’accordaient des dizaines d’amants en une seule séance. J’ai accouché et six mois après, alors que je donnais le sein à mon fils, la police m’a ramassée. Il avaient des tas de films comme preuve et j’ai fait un an de prison. Je n’étais pas de taille et comme on m’avait reconnue, je devais encore plus subir l’assaut de ces femmes en manque de sexe.
Après ma sortie, j’ai vite consommé mon pécule et il fallait que je trouve un travail mais on m’attendait au tournant et j’ai dû me prostituer. Je faisais la sortie des usine les soirs de paye avec d’autres filles. Elles étaient un peu jalouses de moi et je devais me surpasser pour satisfaire la trentaine de clients qui m’étaient attribués chaque vendredi soir puis on m’a offert d’aller travailler dans un bordel. La concurrence était grande mais je m’y suis faite une place mais ça n’empêchait pas mon souteneur de me faire sortir tous les vendredi pour que je satisfasse ses amis. Il me présentait comme une putain et j’en étais vraiment devenue une. Je ne pensais plus qu’à me faire de l’argent que je dépensais dans des vêtements qu’on me volait et ainsi de suite et j’avais l’impression que plus je travaillais et plus on me volait puis un jour un couple est arrivé au bordel et ils recherchaient des ventres. Des jolies filles pour leur ventre pour des couples qui ne pouvaient pas avoir d’enfants. Ils ont ajouté qu’on serait inséminées naturellement ou artificiellement. On pourrait continuer à travailler au bordel mais il nous faudrait donner le change et c’est cette dernière raison qui a fait tiquer notre patronne. J’avais déjà eu un enfant et je ne savais pas ce qu’il était devenu et c’était un peu la même chose qu’on nous proposait. J’ai réussi à convaincre plusieurs filles et j’ai été inséminée la première une nuit dans le cabinet d’un médecin. Ne restait plus qu’à attendre et heureusement la graine avait pris chez moi et chez les autres et à mesure que notre ventre prenait de l’ampleur et plus nous avions de succès. J’ai joué plusieurs films avec mon gros ventre dont un qui m’a beaucoup plus où je jouais le rôle d’une femme qui s’occupait de sa maison en attendant son mari mais ce n’était pas lui qui arrivait, mais un livreur avec qui je faisais l’amour, puis un releveur de compteur, le jardinier aussi et entre ces séquences, je faisais ma vaisselle, nue, mon repassage et même la cuisine. puis mon mari arrivait et il m’enculait pour ne pas faire de mal à mon enfant. Ça a été une fille cette fois-là et je ne sais pas exactement combien d’enfants j’ai mis au monde pendant toutes ces années. J’ai cessé de travailler au bordel et de prêter mon ventre quand j’ai eu quarante-huit ans et je suis rentrée en France et c’est ainsi que j’ai retrouvé mon fils que mon amie avait récupéré et ramené avec elle. Ils vivaient ensemble et elle était même enceinte de lui !
J’ai eu du mal à me faire à une vie normale. Mon amie voulait bien m’héberger et me nourir mais elle ne voulait plus coucher avec moi et mon fils se méfiait. J’ai retrouvé une vieille amie qui m’a confié son club et j’ai repris mes habitudes de coucher avec les femmes, toutes celles qui veulent de moi.
Louise
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