Lorsque tu entrais dans la chambre, elle était faiblement éclairée par des bougies et des petites lampes disposées un peu partout. Il régnait dans la pièce une ambiance particulièrement intime réhaussée par un parfun légèrement envoutant d’encens émis par quelques unes des bougies et de batonnets.
J’étais entièrement nu, mon sexe fraîchement épilé.
Je t’acceuillais à la porte de la chambre. Tu étais maquillée et simplement vêtue d’une guépière dont les bonnets redresse seins laissaient apparaître ta poitrine aux tétons érigés. Les jaretelles soutenaient des bas noirs. Tu étais chaussée de chaussures à talons hauts de 10 cm. Les talons relevaient ta silhouette , galbant tes mollets, cambrant tes reins et ainsi faisant ressortir la croupe de tes fesses et portant en avant tes seins. Tu ne portais pas de string, ce qui laissait apparaître ton sexe nu et épilé. Le capuchon du clitoris était orné du petit bijou à la rose rouge prolongé par le petit pendentif de la chainette.
Mais la soirée avait commencé plus tôt.
Dans le courant de l’après midi, tu t’étais couchée nue sur le lit. Là, j’avais disposé sur ton sexe les bandelettes de cire et j’avais épilé ton petit minou. J’avais fignolé en enlevant avec une pince à épiler les quelques poils récalcitrant. Puis tu t’étais mise sur le ventre et j’avais épilé entre tes fesses. Enfin pour adoucir l’agression de l’épilation, j’avais passé un peu de crème sur ton mont de vénus, ton sexe et entre tes fesses.
Au passage, mon doigt s’était égaré sur ton clitoris. Doucement j’avais excité ton petit sexe érectile et je l’avais branlé. Sous la caresse tu avais eu ton plaisir.
Je te laissais nue sur le lit et j’étais allé à la salle de bain. Je t’ai préparé un bon bain chaud parfumé par des sels. Pour l’ambiance j’ai allumé quelques bougies. Puis je suis revenu dans la chambre. Te prenant par la main, je te conduisais vers la salle de bain.
Tu entrais dans le bain chaud. Et tu te laissais aller dans l’ambiance chaude. Tu appuyais ta nuque sur le rebord de la baignoire et fermais les yeux. Dans l’eau chaude, je te caressais, te laissant savourer l’instant. Puis, te tenant par la main, je te faisais te lever. Je prenais un gant de toilette que j’enduisais d’un gel parfumé. Je te lavais, caressant ton corps avec douceur. Je te lavais, massant tes seins, ton ventre, ton sexe, tes jambes, tes fesses et ta raie fessière. Puis tu te retrempais dans l’eau. Et tu te relaissais aller à savourer le moment. Dans l’eau je continuais de caresser ton corps. Je massais ton mont de vénus doux. Du bout du doigt je titillais ton clitoris au travers du capuchon le protégeant. Tes yeux fermés, ton souffle m’indiquaient que tu prenais plaisir à la caresse. Je faisais durer l’instant puis je te prenais par la main.
Je te faisais sortir de la baignoire. Avec un drap de bain, je te sechais insistant particulièrement sur tes seins, entre tes jambes et entre tes fesses. Puis j’enveloppais ton corps encore chaud du bain dans un peignoir éponge.
Restant dans l’ambiance chaude de la salle de bain,je te faisais assoir sur une chaise. Là, je te maquillais. J’ornais tes yeux d’une ombre bleu de fard à paupière et ourlant tes cils d’un mascara noir profond. Sur tes pommettes je posais une légère couleur. Ainsi, je réhaussais le bleu de tes si beaux yeux. Je passais sur tes lèvres une couleur presque neutre mais les faisant ressortir. Ouvrant l’échancrure du peignoir, je découvrais ta poitrine. Sur les aréoles de tes seins je passais un gloss légèrement rouge afin de les faire apparaître un peu plus.
Ensuite, je te faisais relever et faisais tomber à tes pieds le peignoir. Je prenais alors une huile parfumée. J’en prenais dans le creux de mes mains et j’en oignais ton corps. Je te massais partout, passant mes mains dans la moindre endroit de ton corps. Pendant un moment, je massais ton corps, faisant pénétrer le produit.
Ensuite, je te passais une guépière que je refermais dans ton dos. Le bustier était constitué d’un léger voile de tulle brodé de petites roses rouge. Les demis bonnets eux aussi brodés de petites fleurs soutenaient tes seins. S’agissant de demis bonnets, les aréoles à la couleur réhaussée ressortaient juste au dessus du tissu, posées comme sur un écrin. Dans la partie basse pendaient quatre jaretelles. Je passais sur tes jambes des bas noir. J’accrochais les jaretelles. Puis je passais à tes pieds des escarpins aux talons hauts d’une dizaine de centimètres. Celà relevait ta silhouette, faisant ressortir tes fesses et ta poitrine. Puis, après t’avoir demandé d’écarter les jambes, je pris le petit bijou à la rose et je l’accrochais au capuchon du clitoris. Ensuite je sortais d’une boite un petit objet ovoîde couleur chair d’environ 3cm de diamètre pourvu d’une petite chaînette. Curieuse, tu m’interrogeais et te dis qu’il s’agissait d’un surprise et d’un petit bijou pénétrant. Je le mouillais à ma bouche puis le présentais à l’entrée de ton sexe tu écartais un peu plus les jambes et avec douceur je poussais sur le petit oeuf je l’introduisais en toi.
Ensuite je pris un petit tube de gel. J’en mis une noisette sur le bout de mon doigt et, délicatement, j’en enduisais ton clitoris, les lèvres de ton sexe en débordant légèrement à l’entrée de ton sexe. J’en apposais aussi un peu sur et autour des aréoles de tes seins. En prenant une noisette supplémentaire, j’en enduisais le pourtour de ton petit trou entre tes fesses. Presque de suite, je constatais à ton attitude, que le produit faisait son effet. Une douce chaleur envahissait la zone qui était enduite de pommade. Un afflux sanguin submergeait l’endroit, rosissant le clitoris, les lèvres et entre tes fesses. L’effet supplémentaire était le léger grossissement du clitoris et plus généralement de toute la zone enduite. Tout cela était du plus bel effet. Tu me regardais, intérrogative. Je t’expliquais que cela devait exacerber tes sens lors d’une caresse par exemple. Je joignais alors le geste à la parole. Je posais le doigt sur ton clitoris et le massais délicatement. Immédiatement, à ton attitude, je compris que tu ressentais l’effet du produit. Ton ventre se creusait et tu poussais ton mont de vénus en avant comme venant vers la caresse. Assez rapidement se déclenchait un orgasme libérant de ton sexe quelques gouttes de ta jouissance. Je portais mon doigt à ma bouche goutant le nectar de ton plaisir.
Je passais une serviette entre tes jambes pour essuyer les quelques gouttes. Puis nous descendions vers le salon.
Là, je te faisais asseoir dans un fauteuil. Mais pas normalement, enfoncée au fond. Non, les fesses au bord du fauteuil, les reins cambrés, le dos droit et les jambes écartées. Je m’asseyais dans le fauteuil te faisant face. Un moment je jouissais du spectacle offert par ta tenue et ta nudité. Tes seins offerts par le soutien gorge redresse seins, ton bas-ventre rose et gonflé où pendait le petit bijou, la petite chainette du bijou pénétrant. Quel plaisir de te voir ainsi offerte à ma seule vue. Comme j’aime que tu sois ainsi habillée lorsque nous sommes seuls tout le deux.
Je te servais un petit verre. Tout en parlant, moi jouissant de la vue, nous buvions. Je me levais et m’approchais de toi. Je me penchais vers toi. Tu levais la tête vers moi. Nos lèvres se joignaient enfin. Nos langues se mélaient. Ma main se perdait sur tes seins et je caressais tes tétons. Sous l’effet de la pomade je te sentais réagir immédiatement. Un petit voile de plaisir masquait tes yeux d’un rideau humide.
Ta main se portait à mon entre jambe et, au travers du tissu, tu massais mon sexe dèjà en partie dressé. Tu guettais mon approbation du regard. D’un petit mouvement de tête je te donnais mon accord. Tu défaisais les boutons et abaissais le vêtement sur mes chevilles. Tes doigts saisissaient ma tige et lentement tu entamais un lent mouvement de va et vient. Petit à petit, l’érection se poursuivait et finalement se fit plus triomphante. Tes doigts se portaient vers mes couilles que doucement ils faisaient rouler. Puis tu approchais ta bouche et dans un seul mouvement tu enfournais mon sexe. D’abord lentement, puis accélérant tu allais et venais le long de ma hampe, ta bouche à chaque mouvement me donnant toujours plus de plaisir. Excité par l’ambiance érotique, ta tenue sexy, le spectacle de ton sexe offert, et la fellation je sentais mon plaisir monter du fond de mon ventre et se ruer vers ma tige. J’attirais ta tête à mon ventre, et la maintenais. A cet instant je jouissais, avec un râle, dans ta bouche. Puis je te laissais aller et venir pour que tu extrais les dernières gouttes de ma semence. Enfin, levant la tête vers moi, tu ouvrais la bouche. Sur la langue tu avais gardé mon éjaculation. Toujours me regardant, tu refermais la bouche et tu dégluties. Lorsque tu rouvrais la bouche je constatais, avec un immense plaisir, que tu avais avalé. Je me penchais de nouveau vers toi et t’embrassais à pleine bouche. En plus d’aimer ta tenue, j’adorais que tu me suces et surtout, avec beaucoup de fierté, que tu avales le fruit de mon plaisir.
Je relevais mon pantalon et allais me rasseoir face à toi. Toujours assise sur le bord du fauteuil tu continuais de m’offrir le beau spectacle de ton sexe et de ta poitrine aux tétons dressés.
Une fois fini nos verres, nous nous dirigions, enlacés, vers la cuisine. La table était dressée pour deux. Quelques bougies et lumières tamisées éclairaient la pièce. Nous avions pris des plats cuisinés et tout était déjà chaud au four.
Tu me disais que tu ferais le service. Je m’assis donc à table te regardant aller et venir. Je regardais tes fesses nues encadrées par les jaretelles. Entre tes jambes je voyais la chainette dorée sortant de ton sexe. Et lorsque tu me faisais face je jouissais du spectacle de ta fente ornée du petit bijou et de tes seins parrés et rosés. Tu prenais un plat et t’approchais de la table. Tu déposais le plat sur la table lorsque j’appuyais sur un bouton de la petite télécommande que je tenais dans me creux de ma main.
Je lisais dans toute ton attitude ce qui pouvait se passer en toi. D’abord se fut la surprise, puis tes reins qui se creusaient, tes reins qui se cambraient faisant resortir tes fesses. Puis ta main qui se portait entre tes jambes en même temps que tu me regardais avec de grands yeux bleus humides et interrogatifs. Je te montrais alors le boitier que je tenais en main et te disais que c’était la télécommande de l’oeuf vibrant que j’avais inséré en toi. J’appuyais alors de nouveau sur le bouton. L’oeuf se mis alors a vibrer dans ton sexe. L’effet de la vibration était amplifié par la pommade. Tu écartais les jambes, vascillante, tête rejetée en arrière, bouche ouverte et tu exhalais un souffle rauque plein de plaisir, jouissant, là, debout. Je passais mon doigt entre tes jambes carressant ton sexe. Ta jouissance avait de nouveau mouillée ton entre jambe. Je me léchais les doigts. Je m’agenouillais à tes pieds et, te tenant par les fesses nues, j’approchais ma bouche de ta source. Avec avidité je léchais ton clitoris et ton sexe goutant ton jus. Puis je me relevais et me rasseyais. Tu te penchais vers moi et à pleine bouche, tu m’embrassais. Puis tu me disais que tu aimais mes surprises. Et puis tu continuais de faire le service. Lorsque tu t’asseyais à ta place, tu posais juste le bout de tes fesses sur le bord de la chaise, jambes ouvertes. Lorsque tu te levais, je pouvais voir, sur tes fesses, la marque de la chaise. Vision enchanteresse.
Au cours du repas, de temps en temps et sans prévenir, j’appuyais sur le petit bouton déclenchant les vibrations. Assise, debout, ton corps se cambrait et tu jouissais dans la position où tu te trouvais.
J’appréciais le spectacle. Les orgasmes a répétition et les effets de la pommade firent que tes pommettes rosirent un peu plus, tes tétons se dressèrent et restèrent érigés, ton clitoris et ton sexe se gorgèrent d’afflux sanguin et restèrent enflés.
A la fin du repas, je te laissais un moment à la cuisine et montais dans la chambre. J’enlevais mes vêtements et préparais le reste de la soirée.
C’est là que tu me rejoignais, toujours appréciant le spectacle.
Tu te tenais sur le pas de la porte, jambes écartées. En ombre chinoise je voyais les chainette pendante entre tes jambes. La pièce était elle aussi éclairée par des bougies et des lumières tamisées. Je te pris par la main et te faisais approcher du lit.
Tu me regardais et je t’expliquais mes désirs pour la soirée. J’allais t’allonger sur le lit, sur le ventre. Sous toi j’allais mettre deux coussins qui allaient te maintenir surélevée. Une fois ainsi couchée, j’allais t’attacher par des foulards aux quatre coins du lit, bras et jambes écartés, comme écartelée. Tu me dis oui, que tu voulais bien. Tu te couchais donc sur les coussins et je t’attachais. Les coussins faisaient se relever ta croupe et te maintenaient légèrement surélevé.
Pour compléter et augmenter le plaisir, je repris de la pommade. J’en remis sur ton clitoris et entre tes fesses, autour de ta petite rondelle. J’en remis aussi sur tes tétons. Le fait de simplement masser ton clitoris te faisait de nouveau basculer dans le plaisir.
Je caressais tes fesses, passant mon doigt entre tes monts. Puis descendant je l’introduisais dans ton sexe butant sur le petit oeuf. Puis sortant je titillais ton clitoris. Tu réagissais de nouveau prenant du plaisir.
Enfin, je faisais le tour du lit. Je me penchais vers toi et t’embrassais. Nos langues se mélèrent à grandes goulées. En même temps, par en dessous, mes doigts prenaient posséssion d’un sein. J’en massais le téton qui réagi immédiatement. L’aréole se contractait et le téton s’érigeait ferme et dur.
Puis, me redressant, je m’agenouillais devant toi. Ma bite dressée se trouvait près de ta bouche. J’y glissais mon sexe et tes lèvres se refermaient juste sous le col du gland. Je tenais ta tête et lentement, d’un mouvement de rein, je m’enfoncais. Ta langue épousait parfaitement ma tige la guidant cmme un rail. J’allais et venais à plusieurs reprises me retenant d’éjaculer. A plusieurs reprises je me servais de la télécommande déclenchant ainsi chez toi une onde de plaisir de plus en plus rapide au fur et à mesure des déclenchements.
Enfin je me sortais de ta bouche, me penchais vers toi et t’embrassais à pleine bouche. Lorsque je me redressais, je voyais tes grand yeux bleus innondé de larmes du plaisir des orgames successifs.
Je faisais alors le tour du lit. Entre tes jambes grandes ouvertes, je voyais ton abricot gonflé et rosé, ton clitoris gorgé et gros, et tes fesses elles aussi écartelées qui laissaient voir ta rondelle elle aussi rosie et gonflée par la pommade. Dû aux orgasmes, le jus de ton plaisir avait coulé hors de ton minou et inondait ton intimité. Je portais ma bouche à ton entre jambe. Avidement je lêchais ton clitoris, ton sexe et, toujours remontant, entre tes fesses, ta petite entrée divine. Sous la caresse tu pris une fois de plus ton plaisir. J’actionnais l’oeuf qui te donnait, assez rapidement, une fois de plus du plaisir. Puis, tirant sur la chainette, je le sortais de toi. Du bout du doigt que j’avais humecté à ton sexe, je caressais le tour de ton petit trou, l’introduisant et avec quelques aller retour le préparais. Ensuite, je présentais l’oeuf et poussais légèrement. Pour aider, tu creusais le reins accentuant le relevé de tes fesses et leur écartement. Je poursuivais la poussée et, petit à petit, je voyais l’oeuf entrer en toi. Du bout du doigt je le poussais pour l’introduire dans ton écrin. Puis je m’agenouillais dans la fourche de tes jambes, présentais mon gland à ton sexe et, saisissant tes hanches je poussais en avant te pénétrant jusqu’à ce que mon pubis touche ton sexe.
Je m’apercevais alors que nous étions inondés de sueur. Des gouttes perlaient au bout de tes cheveux et le voile de la guépière était imprégné. Ta peau luisait sous la lumière tamisée.
Alors que je t’avais empalé, l’oeuf dissimulé entre tes fesses, je me penchais et par en dessous mon doigt caressait ton clitoris. De l’autre main, j’actionnait la télécommande et, me couchant sur toi, je lâchais l’objet pour prendre un sein dans ma main.
L’effet fut immédiat. Au fond de tes fesses l’oeuf se mit a vibrer. L’onde se propageait parcourant nos chairs. Tes mains se saisissaient des liens et tu tirais. Ton corps entier se contractait. Je sentais sous moi la progression de cette crispation qui semblait progresser vers ton bas ventre. Les muscles de tes fesses, de ton anus, de ton sexe se tétanissèrent emprisonnant ma hampe dans le chaud fourreau humide.
La vibration de l’oeuf se transmettait aussi à mon corps par mon sexe planté au plus profond de toi. Celà remontait le long de l’urêtre, vers les profondeurs de mon corps qui lui aussi se contractait de plaisir.
Je sentais a fond de mes reins le déclenchement de mon plaisir. Par vagues succéssives je sentais le flux parcourir le fin canal, passer le cap des testicules et arriver à la verge.
Tes muscles comprimaient encore ma bite. Ton corps était entièrement contracté. Ta tête battait dans tous les sens, tu tirais sur les liens,tu criais sous le plaisir.
Puis enfin, l’oeuf cessait de vibrer. Immédiatement ton corps se relâchait, la pression devenait moins fortes. Ce qui c’était concentré au même endroit comme une implosion, explosait dispersant le plaisir à la moindre de tes terminaisons. Tu me hurlais alors un « VIENS! » tonitruant. Tout en continuant de branler ton clitoris et de caresser tes seins, je poussais mon sexe au pus profond. La pression moins forte libérait ma semence. Dans un cri qui se mêlait au tien, je me deversais au plus profond de toi à longs jets chauds.
Le plaisir à l’état pur. Si le paradis avat été doté d’un sens, c’est à çà qu’il ressemblerait. Après la v******e, un immense relachement laissant une impression de sortir de son corps et de voler.
Inertes. Ton corps complètement relâché, tes yeux fermés et ta respiration lourde. Mon corps lui aussi relâché, mes mains toujours sur ton clitoris et tes seins, couché de tout mon long sur toi goutant au contact de tes fesses relevées par les coussins. C’est dans cette position que, sans que nous y prêtions attention, nous sombrons tout les deux dans l’inconscience.
Plus tard, j’émergeais. Regardant autour de moi je te voyais toujours endormie et toujours attachée au quatre coins, écartelée. Je te libérais. Alors que je me trouvais a genou derrière toi, une envie me prenais. Je me caressais et mon sexe se redressait. Doucement pour ne pas te réveiller je me couchais sur toi. Je me guidais et te pénétrais. Belle endormie, tu ne te reveillais même pas assommé du plaisir des orgasmes successifs.
Planté en toi, goutant le plaisir d’étre en toi, je m’applatissait sur toi et me rendormais. Sans chercher à épancher mon plaisir. Juste être en toi.
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