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Coup de canif

Coup de canif



Depuis plusieurs semaines nous travaillions dure pour répondre pour fournir des éléments de métallerie sur le musée de la pais à Caen. Nous bossions des 80 heures par semaine dans les ateliers à Lyon.
Pour les gars sur le chantier c’était pareil, même peut être encore plus, ) tel point que pour la fête des mères ils ont tous émis le souhait à la direction de rentrer auprès de leur famille pour se reposer à cette occasion.
Je fus alors invité à monter à Caen, pour m’occuper des intérimaires pendant ces 4 jours. J’avais 28ans et cela faisait 8 mois que nous étions mariés.
Au café de la place, qui nous hébergeait, je fut accueillis par une jeune femme très sympa de 20 ans à peine et plutôt assez mignonne que je m’empressais de dragouiller. Elle était blonde, avec une petite poitrine, toute fluette et très souriante. Le courant passa direct entre nous, le coup de foudre.
Nous faisions des journées de dingue 7h/12h30 puis repas au bar et retournions sur le chantier de 14h à 20h30 on rentrait exténués.
Pour moi, chaque fois que l’on rentrait était un enchantement car je retrouvais ma petite serveuse, avec qui je flirtais magnifiquement.
Au bout de 2 jours nous avions tous les 2 très envie de nous enlacer, mais ce n’était pas facile avec les horaires de malades et sa présence au bar.
Le midi du troisième jour je passait devant le comptoir pour me diriger aux toilettes en lui faisant un clin d’œil… Au moment ou j’allais ressortir des toilettes elle rentra, un peu anxieuse, je l’attira immédiatement à moi, pour l’embrasser à pleine bouche, et faire parcourir mes mains sur ses délicieuses petites fesses et sur ses petits seins qui pointaient au travers de son chemisier blanc? Elle répondait au quart de tour, nous entrâmes un peu plus en retrait dans les toilettes d’où s’échappaient des soupirs, et des bruits de tissus terriblement sexy… un bruit dans le couloir nous fit interrompre notre étreinte. Je retournais dans la salle, elle restait un instant pour se remettre en ordre de marche.
Je croisais en sortant, le regard de Sophie une collègue ingénieure qui me fit une petit sourire de complicité. Visiblement c’était elle le petit bruit.
On recommençait ce manège en fin de repas avant de retourner sur le chantier en se donnant rdv au soir. Ce soir là, nous sommes rentrés du chantier à 20h, avons mangé en vitesse pour retourner finir des tests de fonctionnement et d’équilibrage de la cinétique du livre géant. Après nous être croisé une fois pendant le repas dans les toilettes, je lui dis de venir me retrouver après 23h00 dans ma chambre… ! Nous sommes rentrés à 23h30… personne, je pris une douche et m’assoupis sur le lit.
A minuit et demi, j’entendis gratter à la porte, je réussis à me lever comme un zombie et la fit rentrer, elle enleva son gilet, pour me montrer qu’elle s’était mise en beauté pour l’occasion, elle portait un bustier blanc, qui faisait pigeonner ses petits seins, une mini jupe flottante, sous lequel un shorty hyper sexy, lui moulait son petit cul d’écolière. J’étais crevé, mais voulais absolument profiter d’elle, de cet instant divin.
Je l’allongeais alors sur le lit, pris sa bouche de mes lèvres et entrepris de la dévêtir. Elle était trop mignonne, paraissait tellement fragile, que j’avais presque peur de la froisser. Je glissais mes doigts sous son shorty pour découvrir les profondeurs de son intimité humide, plus mes doigts la caressaient plus elle gémissait, mon annulaire partait à la recherche de son anus, qui lâcha à la plus petite pression et lui déclencha un petit cri « chuuutt doucement ma belle ». Elle se redressa me renversa et vint entre mes jambes, elle embrassa et aspira mes testicules tour à tour, descendit plus bas à la recherche de mon anus qu’elle lécha divinement, et revint me prendre la queue en bouche et m’aspirer comme une déesse. Bon sang que cette fille était douée, elle ne mit pas longtemps à me faire jouir dans sa bouche en avalant tout sa broncher. Elle vint alors m’embrasser et me roula une pelle qui nous unissait par le sperme dans un sommeil réparateur.
A 5h00 elle se réveilla pour retourner chez elle se préparer, mais avant nous avons profité un peu l’un de l’autre. Je l’ai prise à 4 pattes en lui cognant les fesses de mon pubis, ma queue était au paradis dans cette chatte délicieusement chaude et humide, mon pouce forçait son anus et je me délectais de la vison de ce si jolie petit cul, défoncé à la lueur du lampadaire de la rue. Je la laissais partir en nous promettant de remettre ça dès ce soir.
Après le déjeuner je pris les devants en appelant ma moitié pour lui dire, qu’on avait trop besoin de moi ici, et que je ne rentrerais pas comme prévu lorsque les collègues seraient de retour, pour les aider à finir dans les temps. Elle a bien pas été contente, et je me sentais fautif, mais ma petite Babeth méritait ce renversement de programme.
C’est donc 12jours que je passait dans les bras de ma délicieuse Babeth, avec qui je crois que nous avons tout fait dans le peu de temps que l’on avait pour nous. Embrassade et pelotage entre 2 portes, dans les escaliers, lorsqu’elle montait s’occuper des chambres, le soir elle quittait son poste à 21h00 et revenais en douce vers 23h00 passée des nuits de débauche avec moi.
A la fin de cette magnifique période, je suis rentrè chez moi plus crevé que jamais, et ai mis un temps certain à reprendre le rythme de ma nouvelle vie de mari. Combien de fois me suis je dis que cette Babeth, aurait dû être la femme de ma vie… !

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