Je vais vous raconter maintenant ma quatrième expérience.
Pascal a décidé que ma prochaine étape serait la sortie dans un magasin spécialisé érotique.
Mais avant de commencer, il faut que je vous raconte comment nous en sommes arrivés là.
J’ai réaliser ma troisième expérience avec succès, je vous invite à lire mon troisième récit si vous êtes curieux.
Après cela, Pascal m’a proposé de découvrir de nouveaux plaisirs. J’aimais déjà me punir et il m’a proposer de me fabriquer un martinet, chose que j’ai réalisé. Il m’a aussi proposé de me faire découvrir une partie inexplorée de mon corps. Je ne suis pas à l’aise avec cette partie de moi, je l’écoute malgré tout car il m’assure que je pourrais découvrir des plaisirs que je n’imagine à peine. Nous avons notre petit rituel le soir où nous varions les plaisirs.
Au fil de nos échanges, Pascal, me rappelle que ma prochaine journée de repos arrive bientôt (jour de repos au travail et absence de mes parents du domicile) et qu’il me dira au soir en quoi cela consiste. Il a le don pour m’émoustiller, moi qui ne sais pas attendre, en plus c’est dimanche et il pleut. Tout est réuni pour que mon esprit travaille.
Le matin, j’arrive a me contrôler plutôt bien, je cherche à le faire parler et j’arrive seulement à savoir que je devrais aller en ville et faire une course dans le même esprit que l’achat du préservatif, mais avec une culotte cette fois car comme toutes les femmes, il y a des jours sans.
Il en a trop dit et ça m’excite et pas assez pour être rassasiée. L’après-midi, je n’y tiens plus, je veux savoir ! Je lui propose que je veux bien sortir sans culotte avec juste un tampon sous la jupe.
Ça ne prend pas et il me répond texto « Vraiment prête à tout pour savoir, le cul à l’air avec un tampon… cochonne !!! ».
Je n’en démords pas, je lui réponds alors que c’était ma dernière chance de le convaincre et je lui écris plusieurs fantasmes qui me trottent dans le tête, pour ne pas dire galopent. Je me force même à trouver une formulation indécente pour l’une d’elle. J’espère bien le faire plier.
Que nenni, je viens juste de gagner le droit de devoir en faire plus : sans culotte pendant mes règles.
Il m’envoie également un petit message, d’apparence anodine, à propos d’un rendez-vous que je dois prendre, associée à une petite phase sur une situation où je rêverais d’être. Mon sang ne fait qu’un tour, seulement quelques lignes et mon ventre c’est mis à chauffer; il connais mieux la cochonne qui est en moi que moi même. Toujours excitée, je m’avoue vaincue, je devrais attendre le soir.
Au soir, il m’envoie ce qu’il m’a préparé, je suis heureuse de la confiance qu’il m’accorde mais je trouve la marche un peu haute, après tout je l’ai un peu cherché. Il m’autorise même à jouir ce soi là; la sortie ayant lieu deux jours plus tard et j’ai carte blanche sur la façon de me faire plaisir. Il est vraiment bon avec moi qui aie fait la peste toute l’après-midi pour qu’il me dise ce qu’il me réparait.
Le lundi, j’ai trouvé le moyen de fauter pendant mon le travail : bilan un gage supplémentaire.
Puis, je suis sortie chez une amie pour faire une petite fête, j’étais super contente d’y allez mais prise par la fatigue, je me suis endormie. Mes autres amies ont continuer sans moi sans me réveiller.
J’ai été réveillée vers 4 h du matin par mon téléphone. Mes parents s’étaient rendu compte que je n’étais pas rentrée. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais cela ne c’est pas bien terminé pour moi.
En plus Pascal, m’a écrit très tôt, avant de partir à son travail, et m’a fait part de sont mécontentement de ne pas avoir de mes nouvelles. La journée commence très mal et je ne peux pas le joindre. Je suis rentrée chez moi où j’ai fini ma nuit.
Le lendemain, je me suis habillée avec une jupe longue qui m’arrive au dessus du genoux, noire. un chemiser beige et un pull assorti.
Il pleut et avec du vent, j’ai donc pris ma veste marine à capuche et pas de parapluie. Je n’ai pas mise de culotte et juste un tampon.
J’ai mis une culotte dans mon sac et une serviette et un tampon de rechange comme il me m’a demandé.
Je n’avais pas le cœur à me caresser avant de partir, l’histoire de cette nuit avec mes parents me mine le moral.
Je suis partie un peu après 10h. Déjà en sortant le vent, plutôt fort. ma jupe s’envole par moment. J’ai vraiment les fesses à l’air, pas à ce que l’on puisse les voir car ma veste marine est un 3/4 et me protège. Je suis tout de même gênée. Contrairement a mon idée la ficelle du tampon ne me pose pas de problème.
J’arrive à l’arrêt de bus, pas le même que d’habitude, je dois passer à la fac, j’attends pas loin de 10 minutes et je commence à avoir froid. Je pense à ce que je vais devoir faire tout à l’heure, ça me réchauffe un peu mais pas encore assez.
Le bus arrive, je reste debout, ma jupe est un peu mouillée et m’assoir les fesses nues sur le tissus humide ne vas pas m’aider à me réchauffer.
Mon esprit est entre tout à l’heure et cette nuit : le chaud et le froid.
J’arrive à l’arrêt où je dois descendre puis j’ai encore quelques minutes de marche. Je fais une pause pour retirer un peu de monnaie, je ne veux pas payer avec ma carte dans le magasin. Là c’est le summum, une grosse averse fini de me tremper. Sous la veste marine, je suis au sec, en dessous ma jupe est une serpillère.
J’arrive à la fac, je ne suis pas la seule, cela fais quelque jours que la fac à ouvert ses portes pour les inscriptions. Je vais retirer ma carte étudiante, toutes les pièces était déjà là ce n’est qu’une formalité plus les frais entre l’université et la sécurité sociale étudiante, ça pique.
Je passe aux toilettes pour me soulager d’une petite envie, j’en profite pour changer de tampon et je vérifie mon état. La vue de mon intimité me réchauffe et je pense à ce que je vais faire d’ici peu de temps. Je me caresse un peu pour me donner du courage. Courage et excitation sont mêlés chez moi, vous le savez maintenant.
Une grosse demie heure est passée, je ressorts et je vais prendre le tram, la pluie s’est calmée et ma jupe a un peu séché. Il arrive assez vite et je monte en restant là encore debout.
Je trouve qu’il y fait chaud, je ne sais pas si c’est la pression qui monte où le chauffage. Il n’est pas allumé, c’est moi. Je ne mouille pas pour autant, je suis contrariée avec l’histoire de cette nuit.
Le compte rendu que je dois faire à Pascal est le suivant, expurgé de quelques détails que seuls Pascal a lu:
J’arrive à proximité du magasin et je descends. Je suis en retard par rapport à vos instructions, il est pas loin de 11h10. La boutique ressemble à une boutique de lingerie, vue de dehors. Je passe devant en « curieuse » pour jeter un œil à l’intérieur. Je fais demi-tour et une femme entre 40 et 50 ans en sort avec un sac rouge en sors. J’entre alors. Première impression, la décoration est sobre et chaleureuse, le bois et le rouge domine, il fait bon voir chaud par rapport à l’extérieur. J’ouvre ma veste. Je dois y rester au moins 20 minutes.
Je commence par la lingerie, ça va me permettre de me réchauffer doucement. Mon attention est attirée par les séries de redresses seins, ces dessous qui vous donnent l’impression d’avoir un soutien-gorge mais qui vous laissent les seins libres. Je suis très attirée par ce type de dessous, il ne sont pas si cher en soit mais c’est tout de même hors de mon budget cette semaine, je devrais à minima attendre mon premier salaire. Deuxième hic, comment je vais laver ces dessous chez mes parents. Ma mère pourrais comprendre, j’en suis beaucoup moins sûre pour mon père.
Je découvre aussi les strings ouverts, je m’imagines dedans lors d’une prochaine visite à faire. Je sens mon ventre qui prend un coup de chaud express, un peu comme dimanche après midi avec votre mail qui me rappelait cette même visite. Je regarde l’heure, presque 15 minutes sont déjà passées.
J’ai fais l’autruche dans les sous-vêtements et maintenant je vais pouvoir allez dans le rayon où je dois trouver le produit pour mon gage. le rayon n’est pas très grand, il y a plusieurs articles pour homme, femme, mixte. A usage spécialisé ou général, normal, chauffant ou refroidissant, les prix vont du simple au triple, ce sera l’un des moins cher.
Je regarde autour de moi, il y a d’autres clients : un couple, un homme et une femme, je ne m’attarde pas à les regarder je me concentre sur ma honte. J’ai pris un gel chauffant estampillé explicitement Anal Warming dessus. J’ai de petites contractions dans le bas ventre.
Non loin, il y a une panoplie de jouets. Les godes sont communs mais les plugs me font un peu honte, rapport avec cette partie de mon anatomie sans doute. Je pense à ce qu’un jour vous m’imposiez d’aller en cours avec un tel accessoire. Je suis toute émue, cela doit bien se voir sur ma tête, j’ai chaud, ou plutôt j’ai des suées. Maudite pluie qui m’a fait m’habiller chaudement. Entre les gels et les jouets, 10 minutes ce sont encore écoulées. Il me reste le pire, le passage à la caisse.
C’est une femme, la trentaine. Je suis rouge de honte et je lui tends mon billet. Elle me mets l’article dans un petit sac rouge, le logo est discret mis je ne vois que lui. Je n’ose même pas lui dire que je mettrais l’article discrètement dans mon sac à main. Le au revoir et bonne journée ne me fait pas le même effet qu’à la pharmacie. Elle a parfaitement vu à quelle cochonne elle avait à faire.
Je ressorts avec mon petit sac je fais quelque mettre et je mets l’article très vite dans mon sac à main et je jette le sac rouge dans une poubelle. Je réalise en l’écrivant que cela ne vous plaira pas.
Je vais vite rependre le bus pour rentrer. Il s’est remis à pleuvoir et je suis toute mouillée, sauf que là, il n’y a pas que la pluie.
Arrivée à la maison, j’ai froid, les suées ne m’ont pas aidée. je me change vite et je repense à cette nuit. Je n’ai pas particulièrement envie de jouir.
Je vais manger rapidement habillée chaudement et je vais commencer mon récit, vous le voulez pour 14h30 et je ne veux pas encore vous décevoir.
En me rappelant ce matin et en écrivant, je me suis beaucoup caressée et ce qui devait arriver, arriva. j’ai joui lorsque j’écrivais le passage en caisse. Cela a été progressif et doux, je l’ai entretenu mais je n’ai pas eu de spasmes. Je pense que cette nuit me bloque.
Nous avons échangé tout l’après-midi sur ma sortie, Pascal et moi. J’étais très contrariée par l’histoire avec mes parents. Mais il m’a rassuré et a réveillé la cochonne qui s’était rendormie. J’ai essayé de nouvelles choses cet après-midi. J’en voulais beaucoup, je n’ai pas eu le droit à tout mais j’ai eu une très belle jouissance, les détails resterons entre Pascal et moi.
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