Seule en club
J’ai envie de baiser, d’être plus chienne que jamais. M ne m’a pas donné signe de vie depuis trois semaines et mon mari est parti pour 10 jours…je suis seule devant mon ordi à mettre en favoris des dizaines de sites de cul, des vidéos à gogo. Des pipes, des sodomies, et surtout des gangbang, qui m’excitent plus que tout, me font délirer.
Je me masturbe toute la journée jusqu’à en avoir mal aux mains et je me réveille en pleine nuit trempée de mouille.
J’ai toujours un gode à portée de main, je le suce, je le rentre partout, dans ma chatte, dans mon cul, espérant le faire éjaculer en vain.
Ça ne suffit pas, je deviens tarée, je vois des bites partout, des bites qui jouissent, que je veux sucer sur toute la longueur. Je me suis même fait un stock de photos de queues dégoulinantes de foutre que je mets en diaporama jusqu’à en lécher mon écran…
Qu’est-ce qui me donne cette énergie sexuelle intarissable ? Je dois vivre avec, mais la masturbation a ses limites, je veux que mon corps exulte, qu’il fasse bander les hommes, les mette en rut et qu’ils en prennent le contrôle.
Je n’ai plus le choix, je me sens comme une panthère en cage. Je vais sortir. Chercher de la chair fraiche, du gros gland pour ma bouche et mon cul, je ne pense plus qu’à ça, j’aime même commandé une pizza pour voir si le livreur se laisserait sucer. Mais quand j’ai caressé sa braguette, il est parti en courant, en marmonnant qu’il était désolé, qu’il était marié, et est remonté sur son scooter.
J’ai regardé les sites des clubs de rencontres sur Bordeaux. Il y en a qui me plaisent bien, je ne peux plus attendre mon mari qui tergiverse pour y aller en couple. Tant pis pour lui, j’irai seule…
Alors je me suis préparée, bain moussant, maquillage, lavement, épilation complète. J’ai mis le rosebud dans mon anus et en le cherchant dans mon coffre à jouets je suis retombée sur ma laisse.
Voilà une bonne idée !
Je l’ai enfilée et pour la dissimuler j’ai mis une robe-chaussette moulante avec un col haut. Aucun sous-vêtement, aucune lingerie, parfaitement nue et moulée sous la robe noire en fine laine. Mes seins sont incroyables, ils ne subissent pas la loi de la gravité et commencent déjà à pointer. Tu pointes ou tu tires ? Je me sens belle et prête à me faire dévorer par des loups affamés.
J’ouvre la petite boite à herbe de mon mari. Il en a laissé un peu. C’est bien la première fois que je fume sans lui. Je me prépare un bon pétard que je fumerai dans la voiture avant d’arriver au club.
L’herbe me fait beaucoup d’effet sans trop me fatiguer. Mes sensations corporelles sont décuplées, mon excitation est intense, les orgasmes montent lentement mais sont renversants. Seul petit bémol, le joint m’assèche la bouche. Il va donc falloir que je boive régulièrement.
22h12
J’arrive devant le club, me gare. Un beau videur bien baraqué m’indique que l’entrée est gratuite pour les femmes seules. J’entre.
Les lumières chaudes m’enveloppent. Partout où je regarde il y a des petites lampes rouges, des néons de couleur, des couloirs qui mènent on ne sait où, des escaliers. L’endroit est immense, j’ai l’impression d’être dans un parc d’attraction porno.
Il y a quelques couples assis dans des petits salons en cuir rouge ou dans des alcôves sombres. L’ambiance me saisit au ventre, la musique me chatouille les muqueuses. Je suis absolument en chaleur dans cet univers lubrique. Des regards me croisent. Les hommes seuls. Il y’en a pas mal, de tous les âges, plutôt bien habillés. Il ne reste qu’à bien les déshabiller…
L’action doit se dérouler dans des petits salons ou au sauna. Dans la grande salle quelques femmes sexy dansent entre elles, pour aguicher leurs compagnons certainement.
J’ai soif. Je vais m’assoir au bar et commande un jus de fruit pour me désaltérer. Le serveur m’énumère sa carte. Je choisis avec un petit sourire le nectar de banane.
Un homme s’approche déjà, la quarantaine en costard, genre habitué du lieu.
« Bonsoir »
« Bonsoir… »
« Vous êtes seule ? »
« Oui »
« C’est la première fois que vous venez ici ? »
« Oui »
« Suivez moi, je vais vous faire visiter »
Il me prend la main de façon très élégante et sûr de lui, me fait traverser la grande salle. Ça tombe très bien, je n’ai qu’une envie, me laisser guider toute la nuit, qu’on s’occupe de moi.
Il a une belle démarche et de belles fesses. J’ai déjà très envie de voir sa queue.
Il salue des gens au passage, qui lui demandent qui je suis.
« Une nouvelle amie » il ne connaît pas mon prénom, alors à je me présente brièvement.
« Louise »
Comme nous déambulons à travers le club, il met sa main autour de ma taille puis la remonte dans mon dos, me faisant frissonner.
Il a senti le bout de la laisse en cuir qui court le long de ma colonne. Surpris, il remonte le long de la lanière par dessus ma robe jusqu’au collier épais qui enserre mon coup. Il a compris. Me regarde avec un petit sourire complice.
« Ok je vais te préparer quelque chose. Il y a une salle parfaite pour les femmes comme toi »
Les femmes comme moi. Je trouve la phrase dégradante mais ça m’excite encore plus de me sentir humiliée.
Il me demande de m’assoir dans une petite niche avec des fauteuils et une table basse, où un jeune couple s’embrasse sur un canapé.
« Attends moi ici, j’en ai pas pour longtemps »
Il s’éloigne. Je le vois parler avec des hommes, qui se retournent vers moi, me désignant de la tête. Je mouille comme une folle. Je ne sais pas combien il va en voir mais apparemment tous sont intéressés par ce qu’il leur propose. J’ai envie de tout oublier, de me faire défoncer dans un gangbang où je serais l’unique chienne en chaleur, la vide couilles dégoulinante de foutre…enfin !! J’en rêve !
5 minutes après il revient me chercher.
« C’est bon, suis moi »
Nous traversons d’autres couloirs, d’autres salles jusqu’à arriver au pied d’un escalier.
« Enlève ta robe ! »
J’obéis et me retrouve nue avec ma laisse et mon plug anal, la chatte trempée, la bouche sèche. Instinctivement je me mets à quatre pattes pour monter les quelques marches couvertes de moquette et nous arrivons devant une porte.
« Mets la laisse dans ta bouche et reste là »
J’obéis encore. Quelques minutes passent qui me paraissent interminables. Puis la porte s’ouvre.
Un videur black vient me chercher, saisit ma laisse et me fait entrer dans un petit bureau avec des canapés. Et surtout des hommes. Au moins une dizaine. Des blacks, des bruns, des costauds…on dirait toute l’équipe de la sécurité du club. ils sont tous affalés la bite à la main en train de se branler en me voyant débarquer en chienne docile.
Je vais prendre cher, je le sais…mais c’est plus fort que moi, j’en crève d’envie.
« Fais la belle ! »
Je me redresse et me mets à genoux, en tirant la langue, les yeux suppliant une récompense.
Les bites grossissent à vue d’oeil, toutes plus belles les unes que les autres.
« Farid, donne lui son su-sucre »
Un jeune maghrébin très beau se lève et vient me fourrer sa queue dans la bouche, sans précaution, comme j’aime. Sa queue est énorme, il me baise la bouche en tirant sur ma laisse.
« Deux autres »
Deux autres se lèvent et viennent m’inspecter. Je pompe comme une folle pendant qu’on retire mon plug et qu’une bite se faufile dans mon cul, me faisant jouir instantanément.
« Deux autres »
Tout va très vite, ils sont tous autour de moi et en moi, me bouchent les trous, je glisse de partout, envahie de bites inconnues, je bouffe des glands comme un écureuil affamé, je me fais défoncer comme une poupée gonflable et je crie, je jouis, je ne peux même pas raconter la scène, la décrire tellement je suis saillie, assaillie, je ne remarque que plus tard que mon gangbang est filmé et qu’il est retransmis en direct dans le club sur écran géant.
Mon cul est heureux, il orgasme sans répit, les bites se succèdent, toutes plus grosses, plus dures, plus perforantes.
Les hommes ne disent rien, ne m’insultent pas, mais se relaient pour me baiser sans relâche, repartent boire un coup ou se reposer et reviennent dans mes orifices dès qu’il y a un peu de place.
Très pros.
Ça dure tellement longtemps que je ne compte plus mes jouissances, j’ai l’impression de chevaucher une fusée qui m’emmène au paradis des salopes, alors qu’ils me tirent les cheveux et sur la laisse en me bourrant comme des morts de faim. Toute ma tension corporelle s’est évanouie, je suis en apesanteur sur leurs queues bien dures, soulevée de terre comme une poupée, comme un robot sexuel. J’ai en tête la chanson de Bashung « Madame rêve » alors que ma chatte dégouline et que je bave sur leurs bites. Je n’ai plus du tout la bouche sèche et pâteuse….
« Allez, c’est l’heure du bukkake final »
C’est toujours mon hôte du bar qui donne les consignes. J’ai du tomber direct sur le patron sans le savoir.
Tous les hommes se mettent autour de moi, la queue à la main, me font assoir sur les genoux et se servent de ma bouche comme réceptacle vide couilles, comme vase à sperme. Les premiers jets jaillissent, je suis obligée de fermer les yeux pour ne pas être aveuglée, les éjaculations se succèdent sur mon visage et dans ma bouche, j’avale tout ce que je peux, il y en a tellement que j’ai l’impression de bouffer du yaourt mais cela me transporte en grande excitation et je récupère du sperme pour en enduire ma chatte et me donner un dernier orgasme, le visage et les cheveux recouverts de foutre, qui coule jusqu’à mes seins.
Quand la douche de foutre se termine, les hommes repartent s’assoir et le patron s’approche de moi. Je m’inquiète d’avoir été filmée mais il me rassure en disant que ça ne sortira pas du club, qu’il y a pas mal de femmes qui sont passées dans cette salle pour le même genre de traitement et qu’il garde précieusement les archives.
Il me retire la laisse et me guide vers une grande salle de bain où je peux me doucher.
Quelle fabuleuse soirée où j’ai eu l’impression d’être un super héros, capable de déclencher toutes les éjaculations presque sans rien faire, juste parce que j’étais suffisamment désirable pour les exciter, tous ces hommes.
J’ai un gros coup de barre maintenant, je reprends mes esprits avec une certaine culpabilité. C’est con, je n’ai pourtant rien fait de mal, je n’ai blessé personne, au contraire. Mais telle est la morale ancrée en nous qui nous rappelle toujours à la bonne conduite, même inconsciemment.
Je me rhabille. Mon guide me montre le rosebud que j’ai oublié et avec un petit sourire vicieux soulève ma robe pour le réinstaller dans mon anus. Je le laisse faire, comme anesthésiée.
« Tu veux partir ? »
« Oui je vais rentrer »
« Ok alors suis moi »
Il m’emmène vers une sortie de secours, sans passer par le club et nous arrivons très vite sur le parking sombre.
« Bravo Louise, t’es une bombe, reviens quand tu veux »
« Ok »
Je retrouve ma voiture. Je m’installe au volant pendant que des images de l’orgie me reviennent à l’esprit. Je suis extrême et j’ai joui comme une folle, je n’ai rien à me reprocher.
Je découvre le reste du pétard que j’ai laissé dans le cendrier et décide de le finir en suivant, en laissant ma tête basculer en arrière sur mon siège. Je suis tarée. Quand je suis excitée plus rien ne m’arrête. je me console en me disant que mon comportement de salope rend les hommes heureux. Je revois les images des gangbang des films des années 80 et 90 que j’aimais tant. Ça y est, moi aussi je l’ai vécu.
J’en étais à mes divagations sans remarquer que deux hommes se sont approchés de ma voiture, la queue à la main, devant ma portière. Ils sortent une lampe torche et m’éclairent le visage. Ils sont très excités apparemment.
« C’est elle la salope qu’on a vu se faire défoncer ! »
« Tu vas nous sucer aussi, t ‘en es plus à deux bites près !! »
Ils ont bu. Malheureusement il n’ont pas réussi à tirer leur coup ce soir.
Comme j’ai laissé mon carreau ouvert pour la fumée, un premier passe sa main et me tire les cheveux pour approcher ma bouche de son sexe. Je tente de me dégager mais son emprise est forte, brutale. Je garde les lèvres serrées quand il me présente sa queue à la bouche. ça le met en fureur
« Fais pas ta sainte, on sait ce que tu aimes !! »
Il me gifle, agrippe le col de ma robe pour faire sortir complètement ma tête de la portière. Le deuxième appuie alors sur mon crâne pour m’écraser la bouche sur la queue de son pote.
J’ai peur, je ne veux pas qu’ils me cognent, je préfère encore les sucer vite fait bien fait et quitter cet endroit, tout ce qu’ils veulent mais pas finir la nuit à l’hôpital….
J’ouvre la bouche. Sa queue me viole les lèvres aussitôt, entrant jusqu’au fond de ma gorge pendant que ses mains utilisent ma tête comme un jouet.
« T’aimes ça, la pute ?!!! Suce bien t’auras du bon jus !
Je ne peux pas nier que c’est moi qui les ai mis dans cet état mais quand même, ces hommes sont des porcs avinés, rien d’autre…
Il se branle avec ma bouche et jouit très vite, enfonçant sa queue au plus profond, m’obligeant à avaler. J’en ai des larmes qui coulent. Mon gangbang était finalement plus délicat.
« Ah…bouffe tout salope !!!! »
Quand il a fini, son pote prend sa place, avec la même v******e et me fait bouffer sa queue en entier. Celle là est deux fois plus épaisse, je suffoque et manque de m’étrangler quand il lâche toute la sauce bien au fond. J’ouvre la gorge autant que je peux, je sens son gros gland soulever le voile de mon palais et cogner contre mon larynx en déchargeant la purée. Il reste immobilisé au fond de ma gorge en martyrisant mon crâne pendant que son sperme coule tout seul dans mon ventre, faisant palpiter sa grosse queue qui pue. Je reste en apnée, ses couilles entre mes lèvres, en attendant qu’il me lâche.
Ça y est. C’est fini. Il retire son manche et le remet dans son pantalon.
« J’t’avais dit que c’était une pute !! »
Il se cassent. Je suis sauve. C’est tout ce qui compte.
J’ai l’horrible sentiment d’être responsable de ce qui vient de m’arriver, de le mériter.
Ils ont raison. Je ne suis qu’une pute.
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